Figures De Style Bérénice

Baroque et classicisme 1) : Baroque C’est un style artistique qui s’est développé en Italie et qui c’est rependu dans toute l’Europe du seizième siècle et qui se termine au milieu dix-septième siècle. C’est un style qui utilise beaucoup les figure de style comme les métaphores les hyperboles et pleins d’autres. Le baroque se caractérise principalement par la profusion des actions dans les œuvres. Dans les pièces de théâtre, on relèvera surtout le recours au merveilleux Grande œuvres baroque :

théâtral, la comédie de mœurs, qui rompt avec la farce grossière et bouffonne en vogue à l'époque[2]. Avec les pièces qui suivront : Clitandre, la Veuve, la Galerie du Palais, la Suivante, la Place Royale, Médée et l’Illusion comique, apparaît un nouveau style de théâtre où les sentiments tragiques sont mis en scène pour la première fois dans un univers plausible, celui de la société contemporaine. En 1635, il écrit sa première tragédie, Médée. En 1637, Le Cid lui donne une gloire européenne mais la querelle

lieu commun : la passion de Didon Didon est plus qu'une figure mythique : c'est un véritable « lieu commun ». « Il est vrai que je n'ai point poussé Bérénice jusqu'à se tuer comme Didon... », écrit Racine dans la préface de Bérénice. Le rapprochement est énoncé sous le forme d'un distinguo, mais il est bien réel. Didon demeure, au dix-septième, le modèle de toute passion qui refuse le compromis ; il est donc à l'arrière-plan de Bérénice. Avec Virgile, l'amour impossible, la passion poussée jusqu'à

Une pièce tragique se doit d'avoir un sujet mythique ou historique. Ses personnages sont des héros, des rois ou du moins des personnages de la très haute noblesse. Le style adopté doit être en accord avec la hauteur de ceux qui profèrent le texte. La plupart des tragédies sont écrites en alexandrins et elles respectent toujours un style élevé. On a souvent assimilé tragédie et fin malheureuse. Même s'il est vrai que la majorité des tragédies finissent mal, ce n'est pas un critère de définition car certaines

définition de cet objet d’étude « Théâtre : texte et représentation » met en valeur les spécificités de ce genre que vous avez étudié en Seconde dans la perspective des registres (comédie, tragédie). ‡ Il vous est donc nécessaire d’envisager Bérénice dans le contexte de l’histoire littéraire pour le texte mais aussi de garder à l’esprit le problème de la mise en scène de cette pièce. En effet, le théâtre - surtout à l’âge Classique - s’appuie sur un art de l’illusion, illusion consentie par

Les procédés d'écritureLycée 1ère et 2nde Méthode Les procédés d’écriture Chaque auteur a son propre style, sa propre écriture. Le style de l’auteur peut être analysé selon plusieurs procédés d’écriture : les registres de langue, les procédés littéraires parmi lesquels les fameuses figures de style, etc. Qu’est-ce qu’un procédé d’écriture ? Une manière d’écrire qui mérite d’être analysée en fonction de l’interprétation qu’on en fait dans le contexte où elle est employée. Exemple On

l’effroi et la pitié. Il traduit la conscience de l’homme victime du destin, de ses propres passions, ou plongé au sein d’un dilemme insoluble.  Traits d’écriture : o un style ample, un registre de langue soutenu ; o le champ lexical du destin, de l’impuissance, de l’aveuglement, de la passion ; o des figures de style (parallélisme, gradation, anaphore…).  La tragédie en France En France, la tragédie se développe au XVII e siècle, décline au XVIII e siècle, disparaît au XIX e siècle pour

une force qui les dépasse la Fatalité/Destin/Dieux et dont le dénouement est malheureux, issue toujours fatale. ╚►Auteur ? Racine : tragédien à succès du XVII° (2° moitié du XVII°), auteur d'Andromaque, Bérénice ╚►autre tragédien du XVII° ? Corneille (1° moitié du XVII°) Le Cid, Tite et Bérénice, Cinna 2° Remarques sur la forme Rimes et vers ╚►nombre de syllabes ? Alexandrins (12 syllabes) en rimes suivies, ton élevé ou « sublime ». RETENONS : Forme proche du poème pour toucher, émouvoir d'où nécessité

d’Icare. 3. Des destinées tragiques (question 4) Le tragique affleure à plusieurs reprises. Les deux frères sont qualifiés de « rejetons égarés d’une sorte de folie médiévale » (l. 4-5), le terme « égarés » étant pris dans son double sens propre et figuré. La haine qui les oppose se laisse deviner à travers la formule « ils y cheminent indéfiniment à la rencontre l’un de l’autre » (l. 6), le paysage flamand servant de décor à leur duel fratricide. La démesure du paysage « colossalement gris », son aspect

Les techniques du récitGérard Genette, Figure III : derniers chap résument la focalisation interne et focalisation 0. · Voix narrativesQui parle ? Il y a plusieurs types de voix narratives : · Personnage : NARRATEUR INTRADIEGETIQUE qui est personnage du récit · Homodiégétique  : Recherche du Temps perdu , Proust et bien fondée sur un sujet qui raconte ce qui lui