Film Comique

de légende sainte, conte merveilleux et incohérent. Une plaisanterie destinée à avertir le lecteur du jeu qui va suivre. Par opposition, elle permet d'affirmer la vraisemblance du récit. Seconde critique du religieux : le réalisme caricatural et comique. Kerbabon : Allusions grivoises : « aimé de ses voisins après l'avoir été... ». Ridiculisation du clergé en dénonçant son comportement. Tout le clergé fait ripaille. Il lit Rabelais et non St augustin. Ces deux auteurs s'opposent de façon criante

LE COMIQUE DANS GARGANTUA Rabelais est un des maitres du rire. On trouve chez lui tous les degrés du comique : les farces les plus lourdes, héritées du Moyen Age, la gauloiserie poussée jusqu'à la grossièreté, les jeux de mots, calembours et traits d'esprit, la caricature grotesque, la comédie d'intrigue, la parodie, et jusqu'à la comédie de caractère la plus fine. Il y a toutes les formes, tous les tons; il y en a pour le gros public, pour les étudiants et pour les érudits les plus cultivés,

Conclusion | Une scène qui annonce le renversement des rôles : la progression de la scène montre comment Arlequin gagne progressivement son autonomie. A la fin de la scène il tutoie son maître et déclare : "je ne t'obéis plus". | | Une scène comique : la présence d'Arlequin, sa bonne humeur, son ironie. |

est une comédie créée par les comédiens italiens en 1725 et publiée à Paris la même année. Dans un contexte Maître-Valet, Marivaux oscille entre deux pôles différents : l'utopie et la comédie de mœurs.Il met également en scène deux tonalités, l'une comique (Arlequin) et l'autre tragique (Euphrosine).L'île des esclaves, une île loin de la société civilisée, est un monde où les rôles sociaux sont renversés. Ceux qui ont été les maîtres dans la société civilisée deviennent les servants, ou les esclaves

». • Hyperboles et marques de généralité accentuant le dépréciatif « toujours », « jamais », « tout ». • Désir d’amplification, superlatifs, négations -> grossissent le trait du portrait : le personnage est réduit un seul trait ->  caricature = comique. 3) La dénonciation de l’hypocrisie sociale • Célimène n’hésite pas à médire pour continuer de plaire. • Critique de l’excès des courtisans peints par ces portraits. ⋄ Molière dénonce l’hypocrisie sociale. Conclusion       La peinture

existait déjà 37 versions antérieures. C'est une version à la fois moderne et comique où le vocabulaire fin et soutenu est mêlé au vocabulaire courant et actuel. Cette scène reprend le thème de la séduction d' Alcmène, épouse d'Amphitryon, par Jupiter, qui a pris les traits de son mari dans un but bien précis, cet extrait étant fondé sur un quiproquo. Le commentaire s’attachera à exprimer les trois «lieux communs» comiques et mythologiques exploités par Giraudoux. [En premier lieu, il s'agira de

roi se meurt » il y a un comique de parole par les ordres que donne le roi, par exemple ligne 3 le roi dit « Danse. Danse. Alors, au moins, tourne toi, va vers la fenêtre, ouvre là et referme-la » car il est tellement affaibli par sa maladie que même sa femme n’arrive plus a lui obéir pour des gestes simple ou ligne 18-19 « J’ordonne que les arbres poussent du plancher (pause). J’ordonne que le toit disparaisse », ainsi que dans « Caligula » les ordres du roi sont comique, ligne 7 « Rions ensemble

efficace et les éléments d'une réécriture fidèle. En premier lieu, Raymond Queneau attribue un coté burlesque à la réécriture qu'il présente dans ce poème. Tout d'abord, par un jeu avec les codes poétiques. C'est d'une part par le registre comique que se manifeste la volonté de parodier les deux poèmes de Ronsard. Il apparaît nettement dès la première lecture avec l'emploi d'expressions phonétiques telles que "xa va" (v.5) et "sque tu vois pas"(v.33), la familiarité de l'expression "ce que

Commentaire général sur la scène : C’est l’éloge du tabac, emprunt tout droit tirer d’un jeu des humanistes : il consistait à faire l’éloge de chose dont on ne peut pas faire l’éloge ( c’est l’éloge paradoxal. Ceci permet de mettre en place le comique de Molière : - Cette éloge débute par une référence antique (Aristote), seulement c’est absurde car à cette époque le tabac n’existait pas. Pour Sganarelle, cela permet de montrer sa culture mais au contraire ça montre son inculture. - L’art

hypocrisie qui ne peuvent que dégoûter le spectateur. A la fin de la pièce Dom Juan est puni de ses péchés par la mort (en effet les didascalies l’indiquent comme avalé par la terre) : un dénouement digne d’une tragédie, mais très rapidement le registre comique resurgit avec la réplique finale de Sganarelle : « Mes gages, mes gages ! » qui souligne sa peine non pour la mort de son maître mais pour la perte de son argent. Finalement Dom Juan ne va jamais se repentir, personne ne réussira à le convaincre et