Film Le Corniaud

sociaux et l’on a souvent dit que le rire prolongeait la vie. Phrase de lien Le corpus est composé de plusieurs documents tels qu’une œuvre d’Henri Bergson , d’un extrait de roman de Charles Baudelaire, d’un article de Jim Holt ainsi qu’une affiche de film. Nous parlons de rire à différents degrés et il s’emploie et se présente dans diverses circonstances. En premier lieu nous verrons les différents aspects et caractéristiques du rire et dans un second temps les effets du rire qu’ils soient positifs

ci-après Louis de Funès sur le tournage du film Le Gendarme et les Extra-terrestres, en 1978. Données clés Nom de naissance Louis Germain David de Funès de Galarza Naissance 31 juillet 1914 Courbevoie (Seine) Nationalité Drapeau de France Français Décès 27 janvier 1983 (à 68 ans) Nantes (Loire-Atlantique) Profession Acteur Pianiste Films notables La Traversée de Paris (1956) Le Gendarme (saga, 1964-1982) Trilogie Fantômas (1964-1967) Le Corniaud (1965) La Grande Vadrouille (1966) Oscar

The Guardian pour Courier international en 2009, plus encore Henri BERGSON dans son essai Le rire un essai sur la signification du comique paru en 1900 et Charles BAUDELAIRE dans « De l’essence du rire » au Salon de 1846, ainsi que l’affiche du film Le Corniaud paru dans les salles de cinéma en 1965 qui montre que les deux comédiens Bourvil et Louis de Funès ont une contraction des muscles de la mâchoire et des autres muscles du visage en générale. Mais ce phénomène garde toujours aujourd’hui une part

article traduit d'une publication dans The Gardian pour courrier international, supplément au n°978-979-980,1er - 18 août 2009, de Jim Holt qui s'intitule "Quinze muscles faciaux et quelques bruits involontaires". Le document 4 est l'affiche du film "Le Corniaud" de Gérard Oury, 1965 dont les principaux protagonistes sont Louis Defunes et Bourvil. Ces quatre documents ne traitent pas seulement du rire proprement dit, mais ils mettent en exergue le caractère humain que prennent les animaux qui à travers

comme pour revenir à l’origine même du rire. Comique qui dans un autre écrit, celui de Charles Baudelaire, est essentiellement déclenché par le rieur lui-même. Jim Holt y voit lui une liaison obligatoire entre rire et humour. Enfin l’image, affiche de film, démontre à quel point le rire peut être communicatif et donc synonyme de lien social, voire de complicité. À travers les différents éléments du corpus on peut distinguer qu’il est donc question de définir le rire. C’est pourquoi il est intéressant

Naissance 31 juillet 1914 Courbevoie (Hauts-de-Seine) Nationalité Français Décès 27 janvier 1983 (à 68 ans) Nantes (Loire-Atlantique) Profession Acteur Pianiste Films notables La Traversée de Paris (1956) Le Gendarme (saga, 1964-1982) Le Corniaud (1965) Trilogie Fantômas (1964-1967) La Grande Vadrouille (1966) Oscar (1967) La Folie des grandeurs (1971) Les Aventures de Rabbi Jacob (1973) L'Aile ou la Cuisse (1976) Louis de Funès, de son nom complet Louis Germain David de Funès de Galarza

phénomène de groupe, on aura observé comment le succès d'une comédie est d'autant plus marqué que le public est nombreux. Le rire est en effet contagieux, il crée une communion, une complicité précieuse dans la dynamique de groupe tout comme dans le film « Le corniaud » de Gérard Oury 1965 dans lequel un personnage naïf est clairement abusé par un homme d’affaire. Henri Bergson pour qui le rire est toujours un rire de groupe, cache derrière une pensée d’entente, de complicité afin de rassembler plusieurs

rire. Par exemple, on rit de la chute d'une personne car cela ne nous ait pas arrivé à nous mais à autrui. Ainsi on se sent supérieur par rapport à quelque chose ou par rapport à une personne comme nous pouvons le voir sur l'affiche du film de Gerard Oury Le Corniaud avec Louis de Funes et Bourvil. Nous pouvons voir que l'un se moque de l'autre en mettant en valeur un caractère de supériorité. Le rire qui vient chez l'Homme suite à un événement est provoqué par le sentiment de supériorité (c'est à

1846. 3. J. HOLT, «Quinze muscles faciaux et quelques bruits involontaires», article traduit d'une publication dans The Guardian pour Courrier international, supplément au n° 978-979-980, 1°-18 août 2009 © Profile Book. 4. Affiche du film Le Corniaud, 1965. • Document 1 : Henri BERGSON, Le Rire: essai sur la signification du comique, 1900 Voici le premier point sur lequel nous appellerons l'attention. Il n'y a pas de comique en dehors de ce qui est proprement humain

l’après-midi au cinéma. Ils ont vu l’adaptation cinématographique du roman « Stupeur et tremblements » d’Amélie Nothomb qu’ils avaient lu en cours de français. Après le film, les deux amis se retrouvent dans un café pour partager leur expérience… - Marion, as-tu aimé l’adaptation ? - J’ai préféré le roman ! Malgré que le film soit aussi drôle que le livre, je trouve que l’actrice, rousse, ne colle pas avec le personnage décalé qu’est Amélie. -Non ! Justement