Fin De Partie La Farce Tragique

en scène. Dom Juan : A été joué pour la première fois en 1665. C’est une comédie de caractère qui vire au drame et qui contient de nombreux éléments baroques. La pièce a été retirée de l’affiche au bout de 15 représentations. Cette pièce faisait partie de la trilogie du menteur dans laquelle Molière dénonce l’hypocrisie religieuse (Tartuffe), l’hypocrisie amoureuse (Dom Juan) et l’hypocrisie sociale (Le Misanthrope). Contexte historique : La cour de Louis XIV : Louis XIV a 27 ans lorsque

roman de la famille Almaviva” I.A.2 Absence de description du personnage dramatique Caractère énigmatique du personnage Le perso n’existe que dans le dialogue, CLOV : A quoi est-ce que je sers ? HAMM : A me donner la réplique. (Beckett Fin de partie) Parfois, explication partielle avec un “récitant” (Brecht) ou un coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage, sur scène, est d’abord appréhendé à travers

mode d'expression les apparences de la réalité, ("apparences", car ce genre littéraire obéit à de nombreuses conventions : cf. ci-dessous "décor", "aparté" ...). Bien entendu, le texte théâtral n'est pas, comme le texte narratif ou poétique, une fin en soi. Il n'est pas, par définition, destiné à être lu mais à être joué, représenté. C'est pourquoi il faut lire une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE

description du personnage dramatique Caractère énigmatique du personnage Le perso n’existe que dans le dialogue, CLOV : A quoi est-ce que je sers ? HAMM : A me donner la réplique. (Beckett Fin de partie) Parfois, explication partielle avec un “récitant” (Brecht) ou un coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage, sur scène

l’oracle : fuit ses parents adoptifs, tue accidentellement Laïus, épouse Jocaste par désir de gloire et de puissance -ce qu'Oedipe croit être sa chance (vaincre le sphinx et épouser la reine de Thèbes) est en fait l'accomplissement de l'oracle=ironie tragique : se trompe sur le sens des évènements -Œdipe est un pantin des dieux qui manipulent sa vie -enchaînement des étapes de l'oracle avec une parfaite minutie : même quand Oedipe ne se montre pas à la hauteur (rencontre avec le sphinx), les dieux

l’occasion d’exprimer sa requête. I) Le comique de farce 1. les hyperboles et les exagérations= la surenchère amicale gestes exagérés de civilités surenchère compliments = exagérations avec effet comique « le meilleur de mes amis » surenchère dans les signes honorifiques ( accueil avec grands gestes de civilité, , fait asseoir M.Dim, puis à coté de lui, puis comédie des fauteuils puis lui donne la main, pour finir l’embrasse puis fin scène raccompagné en grande pompe) 2. les insultes

très tôt pour l’art de la scène. 1643 Fonde et dirige une troupe : « L’Illustre Théâtre » avec les comédiennes Madeleine et Geneviève Béjart. 1645 Faillite part en Province s’essayer au genre de la farce à la mode italienne. 1658 Retour sur Paris. 1659 Succès de sa farce Les Précieuses ridicules -comédie de mœurs- 1662 Mariage avec Armande Béjart (sœur de Madeleine) L’école des Femmes –comédie de caractère- succès de la pièce lui vaut autant d’amis que d’ennemis

cinéastes, auteurs de bandes dessinées, furent fascinés par ce personnage habile et d'envergure qui défie la morale, l'ordre public, et Dieu. • Don Giovanni : opéra en deux actes de Wolfgang Amadeus Mozart, créé à Prague le 29 octobre 1787 à partir du livret de Lorenzo DA PONTE inspiré du mythe de Don Juan. • Don Juan : long poème inachevé en dix-sept chants écrit par George Gordon BYRON (1819- 1824) • Don Juan : (1926) film américain d'Alan CROSLAND, considéré comme le premier film

s'efforçait de cacher sa douleur en souriant… Dramaturgie imparfaite, libre, ouverte, comme un brouillon, collision de scènes de farce et de débat d’idées, d’intermèdes chantés et dansés, l’écriture offre, en toute virtuosité, une grande puissance de vie. Entendre le sursaut du poète devant le scandale de la maladie, devant le scandale de la mort, à mi-chemin de la farce et de la tragédie, et restituer au théâtre un pouvoir d’exorcisme. « N’ya-t-il point quelque danger à contrefaire le mort

n'existe pas pendant le Moyen Âge français. Elle renaît au cours du XVIème siècle suite à la relecture des tragiques anciens. Elle se transforme tout au cours du XVIème et du XVIIème siècle. Elle évolue d'abord vers ce qu'on a appelé la tragi-comédie en se nourrissant d'intrigues de plus en plus romanesques. La tragédie se définit alors d'abord par son sujet et ses personnages. Une pièce tragique se doit d'avoir un sujet mythique ou historique. Ses personnages sont des héros, des rois ou du moins