Finance islamique

l’assurance islamique auprès des agents d’assurance en Tunisie Bonjour Madame / Monsieur, Dans le cadre de notre projet de fin d’étude pour l’obtention de la licence en Monnaie Banque et finance nous conduisons un sondage portant sur la perception de l’assurance islamique « takaful » auprès des agents d’assurance en Tunisie. En répondant à ce questionnaire, vous nous permettez d’analyser le degré de connaissance et l’attitude des agents d’assurance envers l’assurance islamique « takaful ».

Banque Islamique Tunisienne a été fondée. Elle répond à plusieurs motivations : a)-consolider et enrichir le dispositif bancaire et financier de notre pays en offrant de nouvelles solutions innovantes et complémentaires aux produits et services déjà mis en place par les banques conventionnelles. b)- doter ce projet de toutes les nouvelles technologies et l’enrichir des expertises internationales et des compétences nationales dans tous les domaines liés au secteur de la banque et de la finance, et

Les mécanismes pour une transaction financière sans l'introduction d'intérêt[modifier | modifier le code] Pour rester dans la légalité islamique, les banques islamiques et les filiales islamiques des banques conventionnelles ont développé des mécanismes juridico-financiers pour contourner l'interdiction du prêt à intérêt (hiyal) et rémunérer l'apporteur de capitaux. Ces derniers se fondent sur des concepts nommés moudaraba, mousharaka, mourabaha, ijara. La moudaraba permet à un promoteur de mener

SOMMAIRE INTRODUCTION GENERALE • PARTIE I : Nouveaux produits Islamiques « concepts et principes généraux » o CHAPITRE I : contenu des nouveaux produits alternatifs  SECTION I : Produits propre à la théorie Islamique  SECTION II : Caractéristiques des nouveaux produits bancaires Islamiques par rapport aux autres produits bancaires traditionnels o CHAPITRE II : Synthèse des difficultés rencontrées dans la commercialisation des produits alternatifs  SECTION I : les difficultés

DIFFERENCES ENTRE LES BANQUES CLASSIQUES ET LES BANQUES ISLAMIQUES I- FONCTIONNEMENT DES BANQUES CLASSIQUES ET BANQUES ISLAMIQUES Il est important de noter que les banques islamiques tout comme les banques classiques se positionnent en tant qu’intermédiaires entre les détenteurs de capitaux et les personnes désireuses d’emprunter de l’argent. Dans ce sens, on peut donc dire que les services offerts par les banques islamiques sont identiques à ceux proposés par les banques classiques

Ainsi, un système financier participative, tout en intégrant des objectifs de rentabilité et d'efficacité, se doit de respecter l'ensemble des principes éthiques de la Chariâ. Cette particularité éclaire l'ampleur des divergences entre Finance Islamique et Finance Conventionnelle. Au niveau de cette partie, Nous nous proposons de faire une comparaison des deux types banques (classiques et participatives). Cette comparaison s’articulera autour A/ Les différences au niveau des principes de fonctionnement

arabe possède tout de même un certain nombre de forces qui peuvent l’aider à devenir une place plus importante qu’elle ne l’est aujourd’hui au niveau mondial. Parmi ces forces, on peut compter : L’histoire et la culture très forte de l’empire islamique devenu monde arabe. La localisation géographique autour de la Méditerranée qui est une place tournante des échanges mondiaux grâce entre autre au canal de Suez qui permet de relier l’Europe et l’Asie en relativement peu de temps.

Liste des abréviations BAM : Bank Al-Maghrib (la Banque Centrale du Maroc) BMCE : Banque marocaine du commerce extérieur BMCI : Banque marocaine CC : Conseil de concurrence CCF : Comité chariâ pour la finance CEC : Comité des établissements de crédit DGI : Direction Générales des Impôts DTFE : Direction du Trésor et des Financements Extérieurs GPBM  : Groupement Professionnel des Banques du Maroc IR  : Impôt sur le

LA SELECTION DES PROJETS ENTRE LE CAPITAL RISQUE ET LA FINANCE ISLAMIQUE : S'AGIT-IL D'UN MEME PROCESSUS ? Par Mohamed-Ali CHATTI, membre d'Aidimm, chercheur en finance islamique L'analyse des principes de la finance islamique et de ses techniques (plus particulièrement les techniques participatives), nous amène à nous intéresser à une méthode de financement particulière et bien connue du système actuel : le capital risque. En effet, l'analyse des fondements du capital risque d'une part, et des

qui n’est autre que la loi islamique qui interdit toute transaction qui pourrait donner lieu à un intérêt (riba) ou qui fait recours à la spéculation (gharar) ou au hasard (maysir). Le gharar peut être défini comme ayant un caractère hasardeux et incertain alors que le maysir désigne toute forme de contrat dans lequel les droits ou obligations des parties dépendent d’un élément aléatoire. Cette interdiction est donc à la base de la différence entre les banques islamiques et les institutions de prêt