Financement Extérieur Des Marchés Publics

les différents modes de financement de la PME au Maroc  Chapitre IV : les sources de financement internes Section I  : l’autofinancement Section 2  : les capitaux propres apportés par l’entreprise elle-même Chapitre V : les sources de financement externes Section I  : le financement par le système bancaire marocain Section II  : le financement par la bourse Section III  : le financement par le capital-risque

base de l’AVD .................................................................................... 10 IV.1.1 Hypothèses macroéconomiques......................................................................... 10 IV.1.2 Hypothèses sur les nouveaux financements ....................................................... 11 IV.2 Résultats de l’AVD.................................................................................................... 13 IV.2.1 Viabilité de la dette extérieure .................

Le financement par le crédit suppose une relation directe entre l’emprunteur et la banque qui se comporte en intermédiaire entre les épargnants et les agents à déficit de financement ; elle assume le risque d’insolvabilité de l’emprunteur. Les banques commerciales présentent les effets représentatifs des crédits qu’elles ont consentis à l’institut d’émission qui se trouve contraint de les refinancer à des taux d’intérêt choisis par les pouvoirs publics en fonction de la politique économique.

années 1980 fournit un aperçu utile sur les politiques macroéconomique et structurelles qui ont permis aux autorités de rétablir la balance de paiement tout en transformant une économie fortement réglementée en une économie plutôt orientée vers le marché et l'exportation. Ce programme d'ajustement engagé en Tunisie sous l'égide de l'FMI et la Banque Mondiale s'inscrivant à l'évidence dans un contexte économique difficile. Par ailleurs les reports antérieurs d'un tel programme engendrant une amplification

                     Unité de Formation et de Recherche des                   GPE/ABIDJAN     Sciences Economiques et de Gestion     GESTION DE LA POLITIQUE ECONOMIQUE   (GPE‐ABIDJAN)   Année académique 2009‐2010    LIQUIDTE BANCAIRE ET FINANCEMENT DE L’ECONOMIE DANS L’UEMOA Mémoire présenté et soutenu en vue de l’obtention du Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées-Hautes Etudes en Gestion de Politique Economique (D.E.S.S-H.E-GPE) Par Alpha Ousmane Sawa Déme AW Titulaire d’un Master en

Aperçu a. Quels sont les pays émergeants jouant un rôle de plus en plus évident dans la mondialisation ? En 2005, la banque d'affaires américaine Goldman Sachs forge l'expression "BRIC" pour désigner le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine comme marchés émergents, auxquels elle ajoute onze "grandes économies en développement" (Bangladesh, Egypte, Hongrie, Iran, Mexique, Nigeria, Pakistan, Philippines, Thaïlande, Turquie). La Banque mondiale crée la catégorie "économies émergentes" en 2007 pour classer

marocaine Chapitre II : L’intervention de l’Etat sur le marché financier et monétaire Section I : Sur le secteur bancaire A- Structure et marché interbancaire B- Intervention de la BAM sur le système bancaire Section II : sur le marché hypothécaire A- Rôle B- La réforme du marché Section III : sur le marché des changes Section IV : sur le marché des capitaux Conclusion Introduction

procéder par étapes. Il y a plusieurs raisons d'exporter : • Les nouveaux marchés et les marchés en expansion peuvent générer des idées pour une amélioration future de vos produits et de vos services; • L'exportation peut réduire le risque causé par la dépendance à un seul marché; • À long terme, l'exportation peut augmenter le volume des ventes et des profits; • L'exportation peut élargir la définition de marché, particulièrement pour les produits spécialisés ou les produits de niche. Le

Réformes fiscales Réformes budgétaires Industrie Endettement extérieur du Maroc b) Ajustement Social ➢ Education ➢ Santé ➢ Emploi III .Le Maroc après le PAS ➢ Demande globale ➢ Offre globale ← Conclusion [pic] Le Maroc, en tant que pays demandeur de capitaux, a eu depuis son indépendance recours au financement extérieur. Son endettement a d'abord été maîtrisé puis suite à des facteurs

économique. Le courant néo-classique confiant dans l’efficacité de l’ajustement par les prix est pour un état minimal. Le courant keynésien lui, voit dans la politique économique, un moyen de remédier au défaut de rééquilibrage par le marché. Pour Keynes, l’économie de marché, la « main invisible », livrée à ellemême ne permet pas de coordonner l’action des différents agents et un « équilibre de sous-emploi » est possible. Cette incapacité à s’autoréguler justifie l’intervention de l’Etat. L’Etat doit