Finir De Paul éluard

nazis leur ont fait subir alors qu’ils n’étaient que des innocents. Ce tableau est très émouvant puisqu’il a beau être représenté sans beaucoup de réalisme derrière lui se cache un affreux passé que l’on aimerait oublier. Pour finir nous allez-vous lire un poème de Paul Eluard datant de 1938, la victoire de guernica qui finalise la guerre de Guernica Beau monde des masures De la nuit et des champs Visages bons au feu visages bons au fond Aux refus à la nuit aux injures aux coups Visages bons à tout

nombreuses personnifications ce qui accentu ce sentiment de rêve. Il oblige au lecteur de l’imaginer dans rêver. « La noble fleur blanche, » « La fleur qui se penche » « La rose est coquette ; » Paul Verlaine, Poèmes saturniens « mon rêve familier » Les poèmes saturniens est le premier recueil de Paul Verlaine (1844-1896) parut en 1866, alors qu’il était âgés de 22 ans Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui

Picasso et le poème : « La victoire de Guernica », de Paul Eluard. Ils montrent tous deux la monstruosité de toutes les guerres. Le titre du poème peut surprendre : « Victoire », il est en fait utilisé ici comme antithèse afin de marquer les esprits. L’absence de couleur dans le tableau et, dans le poème, l’absence de ponctuation, peuvent être comparées car elles traduisent l’indignation de ces deux auteurs engagés. 14 – Je citerai pour finir, une phrase de Pablo Picasso : « La peinture n’est

fanfares, les barrières Et les gens autour Dans les premiers moments j'ai cru Qu'il fallait seulement se défendre Mais cette place est sans issue Je commence à comprendre Ils ont refermé derrière moi Ils ont eu peur que je recule Je vais bien finir par l'avoir Cette danseuse ridicule... Est-ce que ce monde est sérieux ? Est-ce que ce monde est sérieux ? Andalousie je me souviens Les prairies bordées de cactus Je ne vais pas trembler devant Ce pantin, ce minus ! Je vais l'attraper, lui

tes pieds Ils n’avanceront plus, il n’y a plus de route Ils ne connaîtront plus mon poids, ni le repos Il m’est donné de voir ma vie finir Avec la tienne Ma vie en ton pouvoir Que j’ai crue infinie Et l’avenir mon seul espoir c’est mon tombeau Pareil au tien, cerné d’un monde indifférent J’étais si près de toi que j’ai froid près des autres. Paul Éluard (1895-1952), Le Temps déborde (1947) Melancholia Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la

enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise. Charles Baudelaire, 1862, (In Les petits poèmes en prose) Paul Éluard (de son vrai nom Eugène Emile Paul Grindel) est un poète français, né à Saint-Denis, le 14 décembre 1895, mort le 18 novembre 1952 à Paris. Il choisira, à l’adolescence, le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhéra au dadaïsme et fut l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée.Après

pour Ronsard. C'était donc un amour impossible. On observe que ce poème est coupé en trois moment : dans les vers de 1 à 6 Ronsard fait une vision parfaite de la beauté de Cassandre, puis dans les vers de 7 à 12 il fait place à l'inquiétude et, pour finir, du vers 13 à la fin, le poète la met en garde pour lui dire que la beauté ne dure pas éternellement. Le poète montre son impuissance devant leur destin tragique . Pierre de Ronsard, Les amours de Cassandre, 1552 Jean de LA FONTAINE (1621-1695)

il égrène Les grelots d'argent du muguet. Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " Théophile GAUTIER   « Le Sourire » Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup Il enrichit ceux qui le reçoivent, sans appauvrir ceux qui le donnent Il ne dure qu'un

il égrène
 Les grelots d'argent du muguet.

 Sous l'herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil, 
Et te tresse un chapeau de feuilles
 Pour te garantir du soleil.

 Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d'avril tournant la tête,
Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " Ce poème composé d’octosyllabes appartient au courant Parnassien car on peut distinguer que Théophile a travaillé la forme dans ses moindres détails et a fait de ce poème

Laissez courir l’eau qui court Laissez vivre l’eau qui vit l’eau qui bondit l’eau qui jaillit Laissez dormir l’eau qui dort Laissez mourir  l’eau qui meurt.                Philippe Soupaul Pendant la guerre, engagé dans la Résistance, Paul Eluard participe au grand mouvement qui entraîne la poésie française, et le poème Liberté ouvre le recueil Poésie et Vérité paru en 1942. Les textes qui forment ce recueil sont tous des poèmes de lutte. Ils doivent entrer dans la mémoire des combattants