Firmes Transnationales Division Internationale

par un pic élevé du commerce international de marchandises et de circulation des capitaux, estimé à environ 15 % du PIB mondial de l’époque. Ce phénomène s’explique par la révolution industrielle et de nombreuses innovations technologiques, notamment dans le domaine des transports. Le système alimentaire constituait alors l’assise majoritaire des échanges ; - à partir du milieu des années 1970, on assiste à nouveau à une forte progression des échanges internationaux : entre 1970 et 2006, les exportations

Exposé sous le thème de : | Le commerce international | | | | | Encadré par : Mr. M.KHARISS Réalisé par : * ALHATTACHI Jabir * JAA Yassine * RADOUANI Abdelouahed Année universitaire : 2011/2012 Sommaire Introduction : 2 Premier Chapitre : Cadre théorique 3 Section 1 : La théorie classique 3 Section2 : La nouvelle théorie du commerce international 4 Deuxième Chapitre : Cadre Institutionnel et

Lichtenstein, région Autrichienne situé près du lac de Constance. Avec ces régions, l’unité et la cohérence de l’espace rhénan est difficile à percevoir. Où situé les limites de l’espace rhénan ? Economiquement parlant il n’y en a pas, car les firmes rhénane on des antennes dans le monde entier. Néanmoins, il existe des facteurs d’unité, des points communs entre ces différentes régions. En préambule, il convient d’expliquer cette raison d’être de l’espace rhénan. Cette approche ne fait pas

technologique … qui facilitent la mise en relation des sociétés du monde entier. * Interdépendance : dépendance des économies les unes des autres I. Les flux et les réseaux de la mondialisation a) Les flux humains : les migrations internationales * en 1965, nb de migrants : 75M, aujourd’hui, 150M * migration économique : commerce et marchandises = cœur de la mondialisation – échanges + imp que la production même des biens Europe : échanges intra-zone dév (abaissement des douanes

rôle des Firmes Transnationales L’économiste Dominique Pilhon (Président du Conseil scientifique d’ATTAC) souligne que « Le protectionnisme ne se présente pas dans tous les cas comme une véritable alternative à la logique néolibérale ». Il convient alors, selon lui « de prendre en compte, d’une part, les différents types d’échanges qu’il s’agit de contrôler et, d’autre part, les principaux acteurs qui sont à l’origine de ces échanges. » Pour cet auteur, les échanges internes à ces firmes représentent

d’anthropologie, civilisation et langues de l’Asie du Sud à l’Université de Chicago. Il a fondé avec son épouse historienne Carol Breckenridge la revue Public Culture. Il est aussi le directeur du Chicago Humanities Institute et fait partie du Project for Transnational Cultural Studies. C’est un auteur qui a travaille surtout sur les phénomènes d’hybridation ethnique et culturelle dans les conditions techno-politiques (Médias, investissements privées, intérêts politiques) de la mondialisation. Dans ce contexte

caractérise par des phases historiques (phénomènes de mimétisme ou processus de décision favorisant les mêmes choix de localisation, des stratégies d’alliance…). En prolongeant les théories de la polarisation (Hirschman, 1958 ; Perroux, 1981), de la division spatiale du travail (Aydalot, 1976) et des réseaux d’entreprises (Jarillo, 1988 ; Koenig, 1990 ; Bouvier-Patron, 1996 ; Heitz et Douard, 2000 ; Grabher et Powell, 2004), il est possible de recenser les différents facteurs à l’origine de cette géographie

commerciale du monde avec les pays étrangers, ou les partenaires intra zone. Asie orientale à forte croissance, Chine atelier du monde est le 1er exportateur du monde. Puis l’Amérique du Nord). Les échanges reposent sur les stratégies des FTM (firmes transnationales). Pour les flux : l’ensemble des flèches. * Flèches : (réseaux multimodaux -> système de transport qui associe pour une marchandise : des camions, des trains, des bateaux et des avions. - > conditionnement dans des conteneurs standardisés

4 – LES ENJEUX DE L’OUVERTURE INTERNATIONALE 41 – INTERNATIONALISATION DES ECHANGES ET MONDIALISATION A – Le marché mondial est-il un facteur de croissance et de développement ? 1 – La mondialisation est un phénomène historique a) – Les différents aspects de la mondialisation 1 – Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène

CHAP II Echanges et flux internationaux : une "première mondialisation" Introduction "Première mondialisation" (1870-1913) de Suzanne Berger Mondialisation ibérique lors des conquêtes de l'ouest. I - Les héritages historiques et les facteurs de la "première mondialisation" A) L'expansion de l'"économie-monde" a/ La notion d'"économie-monde" (Fernand Braudel & Immanuel Wallerstein) Commence avec les grandes découvertes (Christophe Colomb 1492) et les premières Circum navigations = Navigation