Firmes Transnationales Dubai

compétences. • Les produits de substitution Identification : hôtels de catégorie inférieure et complexes ou salles de fêtes de luxe remplissant les mêmes fonctions. Menace : FAIBLE, moyenne pour certains clients tunisiens. • La concurrence entre firmes Identification : 11 hôtels dont Averroès et Azur Rivalité : FAIBLE – secteur concentré : nombre limité, secteur marginalisé – marché assez vaste, présentant de bonnes possibilités de développement et de segmentation – clientèle diversifiée, exigeante

Orientations pour la mise en œuvre L’accent est mis sur les acteurs et leur rôle dans les dynamiques de la mondialisation. Il s’agit de montrer que si les principaux opérateurs des processus de mondialisation appartiennent au secteur privé (firmes transnationales et leur cortège d’entreprises sous-traitantes), les acteurs publics (groupements supranationaux, États), et les organisations issues de la société civile (syndicats, associations de consommateurs, ONG…) jouent également un rôle crucial dans

permis à l’ensemble des pays membres de l’OPEP de réunir des capitaux importants. En 1974, lors du sommet de Lahore de l’Organisation de la Conférence Islamique, il y a eu la création de la Banque Islamique de Développement à Jedda suivie en 1975 par Dubai Islamic Bank (la première banque islamique privée) et la Banque Arabe pour le Développement en Afrique. Après avoir dépassé la faillite de certaines banques islamiques en Egypte, le développement des institutions financières islamiques s’est relancé

 to  do  whatever  it  took   to  survive  on  their  own.   At   that   time,   the   Caribbean,   the   Pacific   atolls,   Singapore,   Hong   Kong,   Brunei,   Bahrain,   Dubai,  the  Netherland  Antilles,  Ireland  etc.  developed  as  tax  havens.   Tax  havens  today   Nowadays,  tax  havens  serve  all  the  major  financial  and  commercial  centers

alliances et le rôle de l’ONU qui peine à organiser une gouvernance mondiale. 5. Le doc. 1 ne présente toutefois qu’une vision très partielle des éléments d’instabilité du monde, en particulier les conflits régionaux, les zones grises et les réseaux transnationaux. Thème 1 : Clés de lectures d’un Monde complexe 983421_ldp_geo_ter_lu.indd 4 18/04/12 15:12 DOSSIER [pp. 24-25] ➜ Choix de la problématique Par ce dossier, il s’agit de privilégier une approche critique des cartes, en montrant comment elles

ENTREPRISES PRIVÉES DANS LES RELATIONS INTERNATIONALES .................................................................................................. 21 22 24 26 28 29 30 33 34 38 1. Les sociétés transnationales : du lobbying à la sous-fiscalisation............ 2. Les sociétés transnationales, vecteurs de la mondialisation et du changement du rapport de force entre le Nord et le Sud........................... 3. Le problème posé aux Etats par l’autonomie de la sphère financière ..... 4. L’évolution

indicateur qui confirme la limite Nord/Sud et qui permet à nouveau d’affiner les contrastes de développement. Ré p ons e s a u x q u e st i on s de poids démographique, de richesse par habitant, des choix politiques des États. Doc. 1 et 2 La photo de Dubaï symbolise surtout la volonté de l’Émirat d’afficher sa richesse à travers la réalisation de la tour la plus haute du monde. Doc. 2 et 3 La photo 2 renvoie à un État émergent dont le niveau de vie s’apparente à celui des pays développés, la photo 3 à

prégnance des imaginaires sécuritaires de l’ère globale dans la représentation du phénomène de piraterie p.33 1) La Somalie, une caisse de résonance des imaginaires sécuritaires de l’ère globale p.35 2) Une menace symbiotique p.37 3) Une pieuvre transnationale p.42 B) Une appréciation de la menace qui oscille entre pragmatisme et vigilance p.51 1) Une perception pragmatique de la menace p.52 2) Mais une vigilance accrue dans une région stratégique p.63 II La piraterie somalienne, un « business

chinois. Cette nouvelle mesure porte ainsi à 91 le nombre total d’entreprises bénéficiant d’une licence QFII en Chine.  Trois des principales banques chinoises (ICBC, Bank of China, Bank of Communications) ont indiqué n’avoir aucune exposition sur Dubaï World. La CCB a pour sa part précisé qu’elle était exposée mais que cette exposition ne représentait qu’une très faible part de ses actifs. 10% M2 (MONNAIE ET QUASI-MONNAIE) 0% nov.-04 nov.-05 nov.-06 nov.-07 nov.-08 nov.-09

QUANTI DUBAÏ Capitale de l'émirat du même nom qui fait partie des Émirats arabes unis, la prospérité de Dubaï date d'avant la découverte du pétrole (en 1966) ; en effet, Dubaï (en arabe « la sauterelle ») possédait, grâce à sa crique en eau profonde et bien abritée, le seul mouillage valable de l'ancienne côte des Pirates, ce qui en fit le principal marché de cette zone. Avant les revenus pétroliers, la fortune de Dubaï était due surtout au trafic de l'or entre l'Europe et l'Inde. Dubaï est une