Fiscalité En Haiti

BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET FISCALITE INTERNATIONALE Citations introductives « What can I do with all this money ? » Al Pacino Scarface de B. De Palma « Tout le monde me traite de gangster. Je me considère comme un homme d’affaire. » Al Capone « Si vous voyez un banquier suisse se jeter par la fenêtre, suivez-le sans hésiter, car il y a de l’argent à gagner… » Voltaire « Le souci légitime de gagner de l’argent ne doit pas conduire à occulter les valeurs universelles de la morale

d’impôts. Ce succès s’explique en effet par les avantages proposés : secret bancaire, réglementation limitée, sociétés-écrans garantissant l’anonymat, fiscalité faible ou inexistante... Ils accueillent ainsi l’argent des évasions fiscales des pays développés, les capitaux des dictateurs ou dirigeants kleptomanes du tiers-monde (Philippines, Haïti, Nigeria, Mali, Zaïre, Gabon...), de l’argent sale… Par exemple, en 1999, le FMI estime que 80% des 38,11 milliards d’euros prêtés à la Russie en 1998 auraient

mondiale parle pour les trois premières catégories de « pays en développement » 36 Low-income economies ($1,035 or less) Afghanistan Gambia, The Myanmar Bangladesh Guinea Nepal Benin Guinea-Bisau Niger Burkina Faso Haiti Rwanda Burundi Kenya Sierra Leone Cambodia Korea, Dem Rep. Somalia Central African Republic Kyrgyz Republic South Sudan Chad Liberia Tajikistan Comoros Madagascar Tanzania Congo, Dem. Rep Malawi

aller vers l’autre sans appréhension. Illustrations • Conférences sur le handimanagement (sensibilisation à l’intégration du handicap en entreprise), participation à des compétitions sportives, organisation de spectacles («Répliques en rires pour Haïti»). Découverte culturelle et religieuse Objectifs • Aider les étudiants à mieux connaître les autres cultures et religions afin de diminuer leurs préjugés sur le monde extérieur. Illustrations • Visites de lieux de culte (cathédrales, synagogues

les ordres de Francisco de Miranda qu'il fit prisonnier en 1812 pour le livrer aux Espagnols. Sa brillante campagne militaire lui valut le surnom d'« El Libertador » (le Libérateur), mais les Espagnols le contraignirent à l'exil. Il trouva refuge en Haïti, où le gouvernement de l'État nouvellement libéré donna appuis à ses projets. Il revint en 1817 et s'empara de la Nouvelle-Grenade en 1819 (la Colombie actuelle), et du Venezuela en 1821. La Colombie, le Panamá et le Venezuela formèrent alors la Fédération

tutelle espagnole : - elle oppose notamment les créoles (Espagnols ou Portugais nés en Amérique) aux Gachupines c’est-à-dire les Européens qui accaparent les plus hautes charges. D’autre part les élites créoles dénoncent l’alourdissement de la fiscalité, le monopole commercial au profit exclusif de la métropole… - elle oppose aussi les classes pauvres (notamment les Indiens) aux privilégiés (qu’ils soient créoles ou Européens) ; les antagonismes sociaux ou raciaux sont différents selon les régions :

leurs représentants, sur la base de la confiance et du respect mutuels. * Engagement dans la diversité, comme à l’image du marché. * Apport d’aides aux personnes fragilisées : Beauté du cœur, Opération Sourire, aides aux sinistrés du séisme en Haïti, amélioration de l’accès à l’éducation pour les enfants en difficulté… C. La veille concurrentielle * La veille concurrentielle De plus, L’Oréal a du identifier les nouvelles pratiques dans les transactions commerciales, la distribution

en dépit d’un accord pluriannuel de rééchelonnement de la dette jusqu'en 1990, la Côte d'Ivoire se résout à déclarer, en mai 1987, son impossibilité de payer les intérêts des emprunts étrangers. Au plan strictement interne, une augmentation de la fiscalité en général et plus particulièrement de la TVA en 1987, pousse de très nombreuses activités commerciales vers le secteur informel. Globalement, les résultats de ce troisième programme d’ajustement structurel sont jugés mitigés. Ses mesures pèsent

toudi li p’tit qu’on spotche ? Payer des impôts est juste. Encore faut-il que l'impôt soit juste. Mise à jour des barèmes fiscaux (exercice 2010, revenus 2009) et des calculs qui en découlent Avant-propos L’impôt, quelle affaire ! L’impôt et la fiscalité comptent parmi les débats les plus vifs et les mesures les plus critiquées. Pourtant, quelles que soient les opinions sur le sujet, il apparaît que, très souvent, l’impôt est méconnu: ses raisons d’être, ses mécanismes, son calcul, son utilité… et

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .148 7.1 La fiscalité des revenus d’actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .148 7.2 La fiscalité des revenus d’obligations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .149 7.3 La fiscalité des OPCVM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .150 7.4 Les charges déductibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .150 7.5 La fiscalité des plus-values . . . . . . . . . . . . . . . . . . .