Fisher Crise De 1929

lien entre l’afflux de métal précieux venu d’Amérique et l’élévation du niveau général des prix. On le considère donc comme un précurseur de la théorie quantitative ; celle-ci sera développée plus tard par John Stuart Mill et surtout par Irvin Fisher en 1911 qui la formalisera par la formule : M x V = P x T M : La masse monétaire en circulation V : La vitesse de circulation de la monnaie, c'est-à-dire le nombre de fois en moyenne que les unités monétaires changent de mains en une période

(Source : Comptabilités nationales, calculs OFCE) PARTIE 3 : Raisonnement s’appuyant sur un dossier documentaire A l’aide de vos connaissances et du dossier documentaire, vous montrerez par quels mécanismes la crise financière de 2007 a provoqué des chocs d’offre et de demande cumulatifs. Document 1 : Evolution de la conjoncture des pays de l’OCDE 1999-2008 2009 2010 2011 Croissance du PIB réel en % 2,5 -3,8 3,1 1,6 - Etats Unis 2,5 -3,5

(Source : Comptabilités nationales, calculs OFCE) PARTIE 3 : Raisonnement s’appuyant sur un dossier documentaire A l’aide de vos connaissances et du dossier documentaire, vous montrerez par quels mécanismes la crise financière de 2007 a provoqué des chocs d’offre et de demande cumulatifs. Document 1 : Evolution de la conjoncture des pays de l’OCDE 1999-2008 2009 2010 2011 Croissance du PIB réel en % 2,5 -3,8 3,1 1,6 - Etats Unis 2,5 -3,5 3,0 2,0 -

même de dépression comme lors de la crise de 1929. Ces fluctuations semblent être une caractéristique fondamentale de la croissance économique. 2. Les cycles économiques ont été observés par les économistes depuis le XIX° siècle. Depuis les 20 dernières années, les crises se sont succédées et, en 2008, les Etats Unis et sur tout la zone euro sont entrés en récession à cause de la crise des «subprimes». Les crises financières, bancaires, économiques, et la crise de la dette souveraine en Europe

sortie de crises, la manière dont les grandes variables éco (prix, la production, la consommation, les salaires, etc.) s’ajustent pour permettre la sortie de crise. Crise : étymologiquement, c’est le moment où la maladie devient visible. La crise n’est finalement que la manifestation d’un mal présent à l’état latent. Du pt de vue éco, la crise se définit comme le moment du retournement de l’activité, c a d le moment du passage d’une phase de prospérité, à une phase de dépression. Celle-ci peut avoir

également alimenté par le fruit du marché du travail et par l’épargne (marché financier) Section 1 : Analyse Keynésienne Paragraphe 1 : Objectifs Keynes en 1936 écrit son livre qui fait suite à la crise économique de 1929, période avec un fort chômage persistant et il se demande pourquoi la crise perdure. Il propose une analyse du pourquoi et du comment, une analyse novatrice et il va mettre en évidence des relations entre la production le revu et l’emploi. Ce qu’a l’époque on n’avait jamais

soutenu par Ricardo et Overstone est basé sur une approche quantitative de la monnaie : limiter l'émission de monnaie à l'encaissement de la Banque Centrale, permet d’éviter de voir la monnaie se déprécier en cas de run (retrait massif d'actif du à une crise : Si la banque ne peut répondre aux demandes, la convertibilité de la monnaie est suspendue est elle est dépréciée, comme l’explique très bien Eric Cantonna quand il prône la révolution par le retrait massif d’argent). Le Peel's Act (1884) donne finalement

School Nice | Sub-primes et mécanismes de la crise financière actuelle | | SOMMAIRE : INTRODUCTION Les origines de la crise financière : causes et conséquences DIRECTE 4 L'impacte de la crise sur le plan économique, social et politique 9 Les solutions envisagées par les Etats : vers un système de protections ? vers une politique Keynésienne ?.............................................................14 Depuis la médiatisation de la crise en 2008, quel est la situation pour les banques

100. C'est la diviseur du crédit, qui insiste sur le rôle initial des banques commerciales dans la création monétaire. En effet, si la banque centrale refuse de refinancer le risque pris par les banques de 2nd rang, elle crée les conditions d'une crise de liquidité de celles-ci. Pour les adeptes du diviseur de crédit, ce sont donc plutôt les banques de 2nd rang qui créent de la monnaie de manière autonome. II / Les politiques monétaires 1) Monnaie-voile ou monnaie active? Certains distinguent

devenue partielle (billets contre Lingots) puisque la couverture métallique est devenue elle-même partielle (émission de billets dont la valeur est supérieure à celle du stock d’or disponible dans les coffres des banques. Au lendemain de la crise de 1929, les principaux pays de l’époque (La Grande Bretagne – La France et les Etats Unis) ont suspendus définitivement la convertibilité du billet en or (Le cour forcé). La convertibilité en or est revenue sur le plan international après la seconde