Flandre française

Marguerite Antoinette Jeanne Anne-Claire Ghislaine Cleenewerck de Crayencour est née dans une maison de l'avenue Louise, à Bruxelles, d'un père originaire de la Flandre française et lié à l'aristocratie, Michel Cleenewerck de Crayencour, et d'une mère belge, Fernande de Cartier de Marchienne. Sa mère meurt dix jours après sa naissance, Marguerite Cleenewerck de Crayencour est élevée chez sa grand-mère paternelle (dont elle fait, dans Archives du Nord, un portrait à l'acide) par son père, anti-conformiste

wallonne et de la Communauté française de Belgique. Tournai a son propre arrondissement qui réunit les communes de Tournai, Antoing, Brunehaut, Celles, Estaimpuis, Leuze-en-Hainaut, Mont-de-l'Enclus, Pecq, Péruwelz et Rumes. Tournai est une ville qui comprend de nombreux parcs, églises et remparts. Carte de la Belgique extraite du site www.tournai.be Cette ville francophone fut pendant longtemps un des centres urbains les plus importants du Comté de Flandre, du Royaume de France et des

qui, lui-même, vient de revendiquer la couronne de France... en arguant de la succession par les femmes ! Dans un premier temps, Jean de Montfort prend possession du duché mais il est rapidement défait par l'armée française et emprisonné au Louvre, à Paris. Sa femme Jeanne de Flandre poursuit le combat. Libéré en 1343 à la faveur d'une trêve, Jean de Montfort meurt peu après. La guerre de Succession de Bretagne, aussi appelée guerre des deux Jeanne, étroitement imbriquée à la guerre franco-anglaise

faisant sacrer leurs fils de leur vivant. A partir du XII e siècle, les rois de France agrandissent leur domaine par le biais de mariages, et de rachat de terres. En remportant la bataille de Bouvine en 1214 contre l'empereur d'Allemagne et le comte de Flandre, Philippe Auguste consolide la monarchie à l'intérieur du royaume et dans toute L'Europe. III l'affirmation du pouvoir de l'état (du XIIIe au Xve siècle) a) l'organisation de l'état Au XIII e siècle (notamment sous

des causes économiques : les visés du roi de France sur le comté de Flandre compromettent les exportations de laine anglaise; d'autre part, les noblesses, en France comme en Angleterre, ont cherché dans la guerre une solution à leurs difficultés face aux crises du 14ème siècle (profits des pillages, des rançons, occasions de retrouver le pouvoir politique…). II LES GRANDES PHASES DE LA GUERRE DE CENT ANS Les forces françaises et anglaises sont assez équilibrées; si la France est plus peuplée

Du donjon au tribunal. Les deux âges de la pairie châtelaine en France du Nord, Flandre et Lotharingie (fin XIe-XIIIe s.) (1re partie) Les scribes du Moyen Âge central ont usé d’un riche vocabulaire pour qualifier les individus formant la couche supérieure de l’aristocratie laïque. À côté des termes qui font ressortir leur « primauté » (optimates, principes, proceres, primores, etc.), d’autres couvrent un champ sémantique plus complexe et posent parfois problème aux historiens qui cherchent à

samenhoringheidbesef in de Nederlanden »...1986) pense que cette dynastie n’a uni que ce qui se sentait déjà uni dans une certaine mesure » Le hasard a joué par contre en matière de dévolution successorale : des successeurs mâles - par exemple en Flandre - sont décédés avant d’accéder au trône et du fait de leur richesse, ces territoires ont été rattachés, par le biais de mariage, à des dynasties royales et impériales ( ex en 1369 / Ph. Le Hardi et M. de Male). Hasard aussi dans le fait que - à une

نقـــــــدي بر ترجمه كانديد يا خوشبختي اثر فرانسوا ماري آروئه (ولتر) ســـــــــــانـــــاز دهـــــخوارقاني كانــــــــــديد يا خوشــــبختي Candide ou l’Optimisme Dans cet article on va confronter et analyser les deux traductions de « Candide ou l’Optimisme », l’œuvre écrit par Voltaire. La première est la traduction de « Jahangir Afkari », publiée en 1340 par l’Institute de la traduction et de publication des livres, بنگاه ترجمه و نشر كتاب et la deuxième est celle de

côtés de son duc, Guy II administra l’armée bourguignonne, et participa à plusieurs faits de guerre : lors de la la guerre de Cent Ans, contre les Grandes Compagnies qui terrorisaient la région, sur des théâtres de conflits en France et enfin en Flandre. Bien que le duc ne l’indemnisât pas toujours à la mesure de sa fonction, lui causant des problèmes financiers réguliers, Guy II de Pontailler agrandit considérablement sa seigneurie « outre-Saône ». Avec sa seconde épouse, Marguerite d’Anglure, il

Rogier van der Weyden est né à Tournai, dans le comté de Flandre, vers 1399. La Flandre fait alors partie des Pays-Bas bourguignons. Il se marie vers 1426 et entre dans l'atelier de Robert Campin, à Tournai, l'année suivante. Il a alors un âge plus avancé que la plupart des apprentis (il approche en effet de la trentaine). Il obtient sa maîtrise dans la Guilde de Tournai en 1432. En 1435, "Maître Roger" devient le peintre officiel de la cité de Bruxelles, où il s'est installé. C'est à ce moment