Fleuve Blaise Cendrars

dans « Les Immémoriaux » (1907) les temps oubliés des îles océaniennes et médite dans Stèles (1912) sur l’absolu tel que le concevaient les philosophes chinois. Il renouvelle l’exotisme comme le feront aussi Paul Claudel et Saint-John Perse. Blaise Cendrars (1887-1961) rapporte de Mongolie des impressions qui lui inspirent un long poème de conception puissamment originale (1913, « La Prose transsibérienne »). Ses voyageurs nourriront son œuvre poétique et romanesque (1925, « L’Or », 1948, « Bourlinguer »)

poème fait partie du recueil de poésies Les Fleurs du Mal. Nous poursuivons ensuite avec un poème écrit en prose par Francis Ponge en 1942 : Le Pain faisant parti du Parti Pris des choses. Ensuite, nous avons La Prose du Transsibérien écrit par Blaise Cendrars début 1913 qui est aussi un poème. Puis, nous étudierons Charleroi de Paysages Belges qui est un recueil parut en 1872 et écrit par le célèbre poète Paul Verlaine. Puis, nous continuerons avec à nouveau un poème écrit en prose par Francis Ponge

Commentaire composé: Blaise CENDRARS, Le Lotissement du Ciel, 1949 Le texte que nous allons commenter est issu du récit autobiographique de Blaise Cendrars intitulé Le Lotissement du Ciel, écrit au XXe siècle. Cet extrait est un texte narratif qui décrit la rencontre d'un enfant avec un livre, celle-ci est caractérisée par la découverte d'un univers interdit et fascinant, où la curiosité se mêle à une certaine appréhension. Nous étudierons dans une première partie les procédés qui créent

Question de Corpus Texte : Paul Nizan, Aden Arabie, 1931 Michel Leiris, L’Afrique fantôme, 1934 Blaise Cendrars, Feuilles de route, 1924 Gilles Ortlieb, Poste restante, 1997 Question : Quelle vision du voyage présentent les auteurs ? De la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb en 1492 à aujourd'hui, de nombreux écrivains ont sillonné le monde entier à la rencontre de l'Homme. Le fait d'entrer en relation avec une culture étrangère a incité les écrivains à faire le récit

Ce poème est en versification libre ne comportant ni mètres réguliers, ni strophes régulières, ni même des rimes bien définies mais seulement des consonnances. Blaise Cendrars écrit ce texte au moment de la guerre russo-japonaise, en 1905 ; il nous raconte dans cet extrait un partie de son voyage, en train, en compagnie d'une jeune parisienne Jeanne, en Russie. Dans le but d'un commentaire de ce texte il serait intéressant d'analyser tout d'abord la place de la modernité et du monde matériel, puis

Macouria : Lot Ste Agathe. Bât F64 Macouria – 0594 34 54 32 / 0694 20 32 05 gretaouest.macouria@ac-guyane.fr CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) : Lot Cassias av Thomas Guidiglo – 0594 32 13 17 English institut : 6 r Blaise Cendrars - 05 94 32 60 43 EQUINOXE FORMATION : 6 r Aquioupou - 05 94 32 49 05 GRETA OUEST : 7 passage Monnerville - 05 94 22 34 62 - gretaouest@ac-guyane.fr HOI TANGA : 9 rue Kermel – 0694 45 12 43 IGUARAPINGA : 20 CV quartier Simarouba- 0694

me trouver pathétique, je suis fleur bleu et romantique, ma préférence va donc vers les poèmes d’amour, mais voyez vous ce poème ne traite pas d’amour mais d’acrobatie, il ma séduit par sont extravagance, et sa subtilité. Mon divin auteur est Blaise Cendrars, et son poème est intitulé Sonnets dénaturés. La poésie nous aide à vivre et je plains ceux qui en sont privés ! Ceux qui n’ont pas la chance immense d’être hanté par les mots merveilleux de ces géants. Penser en poète, c’est savoir de manière

symbolise le progrès technologique. Delaunay consacra une longue série à son sujet. Ici elle apparait à l'arrière plan, de petite échelle et émergeant au milieu des cercles chromatique; elle est peinte en rose « comme un pain de savons »expression de Cendras;. Sont présents également des éléments empruntés à l'aéronautique: l'hélice, le biplan et le monoplan. Dans une de ses esquisses préparatoires il reconstitue la forme supérieur de l'hélice à partir d'une série de couleurs simultanées. Sur la gauche

L’homme foudroyé De Blaise Cendrars. Biographie : 1887 est la naissance de Cendrars à la Chaux-de-fond. Il s’appelle Frédéric Louis Sauser. Son père est un homme d’affaire pas très efficace et da mère est neurasthénique et le néglige. Il a un grand frère et une sœur. Son enfance est mal connue. On sait qu’en 1894, son père est finalement en faillite commerciale. Ils sont à Naples. Entre 1897 et 1899, il est en premier dans un pensionnat en Allemagne puis dans un gymnase à Bâle. Il va à l’école

des cubistes, beaucoup critiqués par la société, voyant dans ce nouveau mouvement une véritable dimension métaphysique. Il quitte alors Marie après cinq ans de relation et s’inspire de cette rupture pour écrire Le Pont Mirabeau. Il rencontre Blaise Cendrars et lit Les Pâques à New York, poème qu’il utilisera pour écrire Zone. En 1913, il décide de rassembler ses meilleurs poèmes dans un recueil. Il fait lui-même la mise en page pour choisir quels éléments il souhaite mettre en italique, efface toute