Fluide incompressible

a lieu, la nature du modérateur nécessaire pour ralentir les neutrons (notamment graphite, eau ordinaire ou eau lourde), la nature du combustible (uranium naturel, ou uranium enrichi en isotope U235 et/ou plutonium, voire thorium), la nature du fluide caloporteur qui peut être de l’eau ordinaire ou de l’eau lourde (enrichie en deutérium), un gaz (notamment du gaz carbonique ou de l’hélium) ou un métal liquide (essentiellement du sodium fondu). Les différents choix ne sont pas totalement indépendants

l’étuve et la deuxième la transformation spontanée qui a eu lieu seulement quelques heures après) On parle de couple lorsque l’on fait référence à l’adsorption. Il est composé d’un adsorbant (solide) et d’un adsorbat (liquide faisant office de fluide frigorigène). Les corps utilisés en tant qu’adsorbants sont des corps qui présentent une très grande surface extérieure. Le choix de l’adsorbant se fera en fonction de la température désirée au niveau de l’évaporateur et de la température à disposition

frigorifiques. 3.4.1. Machines à évaporation et compression d'un gaz liquéfiable : Ce sont pratiquement les seules utilisées en réfrigération ménagère et commerciales , l’évaporation d’un liquide appelé fluide frigorigène produit le froid , pratiquement on récupéré la vapeur du fluide évaporé , et par compression et refroidissement , on le fait revenir à l’état liquide pour qu’il puisse s’évaporer à nouveau . 3.4.2. Machines à absorption : Basées sur cette propriété que la solubilité

générale 2. Répartition des tâches, planning 3. Avant projet 3-1 Bilans 3-2 Inventaires des solutions techniques 3-2-1 Détente directe 3-2-2 Production d'eau glacée par HFC 3-2-3 Production d'eau glacée par NH3 3-2-4 Solution retenue 3-3 Choix du fluide frigorigène 3-3-1 Données 3-3-2 Cas du R134a 3-3-3 Cas du R404A 3-3-4 Tableau récapitulatif et analyse 3-4 Conclusion 4. Projet 4-1 Schéma fluidique définitif et nomenclature 4-2 Choix du matériel fluidique 4-2-1 Sélection de l'évaporateur 4-2-2 Sélection

BTS FLUIDES ENERGIES ENVIRONNEMENTS Etude des Installations Session 2008 -------------------- Eléments de Correction T lé é h c r a é g h r u s tp t /w :/ w w . id a x e m a m o .c BTS Fluide Energie Environnement Etude des Installations option B Corrigé Coefficient : 4 Durée : 4 heures Session 2008 Code Page 1 sur 12 1ère PARTIE : Analyse du schéma de principe initial A) Analyse de la documentation des chaudières : A l’aide des

lignite, à l’exception des chaudières de récupération alimentées par les gaz de combustion de machines thermiques. Chaudières de 0,4 à 20 MW : les rendements minimums Les rendements minimums varient selon la date de mise en service de l’appareil et le fluide caloporteur (dans le cas de combustion simultanée de deux combustibles le rendement minimal est évalué au prorata des quantités de combustibles consommées). 1. Pour les chaudières mises en service depuis le 14 septembre 1998 : • 89 % pour

Pour connaître le parcours, sur l’utilisation des fluides frigoporteurs, par rapport a la découverte des premiers cycles frigorifiques avec des fluides frigorigènes, il est essentielle d’énoncer les dates clefs, de l’évolution depuis la mise en place de fluides dans la production de froid, pour aboutir de nos à l’usages de fluides frigoporteurs ayant de hautes performances frigorifiques. 1835 à 1860 - Ether diéthylique qui est le premier fluide frigorigène mis en place pars Jacob Perkins et James

larges diamètres avec une pompe offrant un fort débit. Water block HPDC, high ou hautes pertes de charges : Ils utilisent des canaux fins, privilégiant la surface d’échange au détriment du débit, et doivent être utilisés avec des caloporteurs très fluides en raison de leurs pertes de charges élevées. C’est le plus répandu dans le commerce. Ils offrent des performances supérieures à celles du LPDC, la pompe doit être adapté au water block car une trop puissante forcerait et s’userait trop rapidement

d'échangeurs, l'échange thermique se fait généralement entre deux fluides distincts. Fluide secondaire Paroi Fluide primaire 1 - Introduction • Le fluide secondaire sera le FLUIDE TRAITÉ : fluide chauffé ou fluide refroidi. • Le fluide primaire sera le FLUIDE SERVANT AU TRAITEMENT : Eau chaude ou Eau glacée - Vapeur BP, MP ou HP - Fluide frigorigène • Les échangeurs à fluides séparés permettent le transfert de chaleur d'un fluide à un autre sans mélange. Les mécanismes de transfert thermique

laboratoire sur puce : de la simulation à la fabrication 1.1 Etape de réflexion : la simulation Nous avons utilisé le logiciel « Comsol multiphysics » qui permet de lancer des simulations de laboratoire sur puce pour observer le comportement des fluides à l’intérieur de ceux-ci pour pouvoir le construire sans erreurs. La première chose qu’il a fallu faire, c’est définir la géométrie du canal : sa longueur et son diamètre. Ensuite, nous avons cherché dans la banque de donnée le liquide qui entrerai