Flûte en sol

 do  mineur  pour  deux  claviers  BWV  1062   Concerto  n°3  en  do  mineur  Op.  37   Concerto  n°4  en  sol  majeur  Op.  58   Concerto  n°1  en  mi  mineur  Op.  11   Concerto  en  ré  majeur  n°11  Hob.  XVIII:11   Concerto  en  sol  mineur  Op.  25     Concerto  en  si  bémol  majeur  K450   Concerto  en  ut  majeur  K467   Concerto  en

il n'y a alors plus d'espoir de survie pour le chaume fleuri. Si tous les chaumes d'un même bambou fleurissent de la sorte, il y aura inéluctablement un affaiblissement de la plante. Il est conseillé dans ce cas de couper tous les chaumes au ras du sol et d'apporter à la souche tous les soins nécessaires, fertilisation, arrosage pour l'aider à se reconstituer. Mais il arrive parfois qu'elle n'y parvienne pas.  Utilisation du bambou : L'espace culturel évoque l'apport du bambou à la civilisation

l'acquisition de son indépendance. La Moldau, deviendra le plus connu des six poèmes symphoniques composant Ma Vlast. L’œuvre commence par la naissance de la Moldau avec un piano, des flûtes et des instruments à cordes (hypothétiquement : des violons). La flûte joue le thème de la première source à laquelle va s’ajouter la seconde source à la clarinette. Ces deux thèmes vont se répondre, puis s'associer et se mélanger. Ainsi on va voir apparaître le thème principal du morceau en deux parties, la première

Deux masques Une image représentant deux masques accolés, l'un riant, l'autre triste, de quoi parle-t-on? Bien évidemment de théâtre. Chacun le sait. Comme la palette au peintre, la clé de sol à la musique, l'art dramatique tiendrait en deux masques. D'où la tentative de comprendre pourquoi et comment les masques racontent si bien le théâtre, alors que cet art, actuellement, la majeure partie du temps, se passe de ces attributs. La facilité est de dire: c'est l'acteur qui rit, l'acteur qui pleure

inférieure à la musique déterminée, dont elle représenterait une sorte de phase primaire.    D'après les découvertes archéologiques (Ken, flûte en terre ou en pierre, IIe s. av. J.-C. ; Haniwa, figurines mortuaires en terre cuite, Ve s. apr. J.-C., dont certaines représentent des personnages jouant d'instruments tels que le Koto à cinq ou six cordes, la flûte, le tambour, ou encore en train de chanter et de danser), et d'après divers documents, il est vraisemblable que la musique autochtone primitive

Cette animation permet de visualiser les déplacement du sol du Japon lors des deux séismes du 11 mars 2011 et de voir les ondes sismiques se propager sur tout le territoire japonais. Elle a pu être réalisée grâce aux 1200 recepteurs GPS géodésiques de haute précision qui sont répartis sur tout le territoire japonais. Sur cette animation, l’image de gauche, en bleu indique les déplacements horizontaux (onde longitudinale de compression) du sol tandis que l’image de droite en rouge indique les déplacements

accentuation originale, articulant l’œuvre d’une manière toute particulière. 4) Deux familles instrumentales sont utilisées. Les instruments à vent avec prédominance des cuivres et présence de deux instruments de la famille des bois (clarinette en mi bémol, flûte traversière). Les instruments à percussion (métaux, bois, peaux). Deux instruments inhabituels : le tambour à corde (lion’s roar) et la sirène. Notons cependant que l’ensemble des percussions associe instruments originaux et instruments plus traditionnels

1777, il rencontre Haydn. Le virtuose compose alors ses premières symphonies. Joseph Haydn Il va composer  « La Finta Simplice », « Bastien et Bastienne » à 12 ans, les Messes K.65 et 66 et la Sérénade K.100 à 13 ans et l'admirable Quatuor en sol majeur à 14 ans. Léopold fait avec avec son fils 3 voyages en Italie dans l'espoir de lui trouver un mécène. À 16 ans il est pleine possession de son génie. Il compose à 19 ans « Il Re Pastore » et les six admirables concertos de violon. 2. Wolfgang

Retour   La Flûte enchantée, Testament spirituel de W.A.Mozart ? Extraits d'une conférence donnée par Inès d'Albomiron, en préambule de la projection du film d'I.Bergman   Mesdames, Messieurs, chers amis, Nous aurons, dans quelques instants le privilège de voir (ou de revoir) ce magnifique film que I.Bergman a consacré à la "Flûte enchantée" (mais ne devrait-on pas dire plutôt à la "Flûte magique" ?). On a beaucoup dit et beaucoup écrit sur cette oeuvre. Elle est sans aucun doute l'opéra

découvrir l’Italie. De 1769 à 1773, Mozart s’y rend régulièrement, et y étudie l’opéra, forme musicale dans laquelle il excellera (Le nozze di Figaro (les Noces de Figaro), Don Giovanni, Così fan tutte (Ainsi font-elles toutes), Die Zauberflöte (la Flûte enchantée)…). Grâce à son travail sur les harmonies vocales et sa maîtrise de la polyphonie, il donnera ses lettres de noblesse à ce genre. En Italie, il se lie au savant Padre Martini, devient membre de l’Accademia Filarmonica de Bologne – qui n’admet