Focalisation La Peau De Chagrin

& les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi. J’ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble, & je crois que la superbe Tanville[1] aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu’elle n’a cru nous en faire toutes les fois qu’elle est venue nous voir dans son in fiocchi. Maman m’a consultée sur tout, & elle me traite beaucoup moins en pensionnaire que par le passé. J’ai

la ville de Paris. • Analyser la construction d’un roman et l’élaboration des personnages dans le cadre d’un roman d’initiation. • Maîtriser les éléments d’analyse propres au roman : narrateur, personnage, narration, description, focalisation, discours rapportés… • Mettre en rapport les productions littéraires et artistiques de cette époque dans leur recherche de modernité. Mise en œuvre : le travail se fait dans une classe de 1 ES, en partenariat avec le professeur de SES, qui fera

pas l'économie du « je » qui est toujours présent. Il se met en avant avec une mise en scène spécifique ou dans sa neutralité. Chartreuse de Parme, Stendhal : voyageur qui se fait arrêter en Italie, récit rapporté. Le rouge et le noir commence en focalisation externe par une description de la ville par un soit-disant voyageur de hasard qui découvrirait la ville. Le père Goriot suggère la présence d'un voyage à l'esprit d'observation hors du commun. On a l’œil du voyageur narratif sert de prétexte à

l'universalité" Les catégories narratives du roman balzacien La temporalité narrative. Pour encadrer la fiction dans le contexte socio-historique, Balzac commence son récit "in medias res" : "Vers la fin du mois d'octobre de l'année passée…"(La Peau de chagrin) ou "Lors de l'expédition française faite en Espagne…"(La Duchesse de Langeais), etc. Ces indications visent à suggérer une certaine coïncidence entre le temps des événements et le temps du récit. Parmi les distorsions temporelles, on rappelle

plaît, dans le déroulement du texte, à mettre successivement en place et relativement lentement les différents personnages : - D’abord la vieille lrézile (dont est exposé le passé qui est intrigant par son ambiguïté). - Puis, un changement net de focalisation ayant fait passer brusquement à «la soirée d’août», le juge de paix Damoclès Nérestan dont la satisfaction est soudain contredite par le désir qu’il a, mais qui est exprimé de façon objective : «Chaque étoile crie la présence de Georgina sur la

avait pris l'habitude de serrer ses deux genoux l'un contre l'autre. Tout son vêtement n'était qu'un haillon qui eût fait pitié l'été et qui faisait horreur l'hiver. Elle n'avait sur elle que de la toile trouée; pas un chiffon de laine. On voyait sa peau çà et là, et l'on y distinguait partout des taches bleues ou noires qui indiquaient les endroits où la Thénardier l'avait touchée. Ses jambes nues étaient rouges et grêles. Le creux de ses clavicules était à faire pleurer. Toute la personne de cette

peuple. Le Réalisme traite de l’adultère, de la prostitution. Déterminisme social et héréditaire : Le comportement humain dépend de l’hérédité et du milieu dans lequel on place l’homme. Style : Tout est vu à travers les yeux du personnage (focalisation interne). La parole du narrateur fait place à celle du personnage sans changement syntaxique spécifique. Les objets, les personnages, les paysages sont soigneusement décrits pour paraître réels. Le lexique est celui employé dans le milieu décrit

lesquels il manquait tout ce qui peut faire le roman. Pas de cohérence. Personnage romanesque innombrable, absence de psychologie des personnages. Absence de sens du détail aucun réalisme aucun voyage tout est pareil, aucune action centrale pas de focalisation pas de début pas de fin pas de chute. Retour du mort élémenttrèsfréquent. Enorme quantité, mineur dans l’idée. Toutefois il existe des exceptions : « Robinson Crusoé » Daniel Defoe ou « la princesse de Clèves » de Madame la Fayette amante de la

une terrible maladie qui gonfle le corps en conférant volume, lenteur et en rendant ainsi à la pauvre femme une vie assez difficile. Le regard du narrateur : le choix du réalisme Le portrait de Jeanne est écrit d’un point de vue omniscient, focalisation qui est une habitude dans l’exposition romanesque. Au niveau lexical le regard du narrateur apparaît deux fois, comme s’il voyait réellement son personnage: « qu’on apercevait un peu quand le soleil la caressait », « qu’on les distinguait à peine »

cette entorse au parti pris de distance narrative. Soit cette focalisation sur Sandra quivaut un zoom au cinma ou une voix off. Elle vient dabord pour dramatiser le rcit rompant avec la distance narrative, elle introduit soudain lmotion ensuite, elle vient rquilibrer la place occupe par les deux personnages centraux mile Mosca, en effet, a pris jusque-l plus dimportance et plus de poids que Sandra, dans le rcit enfin, cette focalisation introduit en fait une nouvelle distance par rapport tout