Focalisation Le Parfum

mort du poète influençant la poésie moderne. « Un hémisphère dans une chevelure » est le pendant du poème en vers « La Chevelure » des Fleurs du mal, on en retrouve de nombreux échos, ainsi que d'autres poèmes inspirés par Jeanne Duval, notamment « Parfums exotiques ». La chevelure de sa maitresse est ici le leitmotiv(référence à la musique) de ce poème qui rend hommage à sa beauté sensuelle et évoque un moment intime du couple amoureux. En ce sens, Baudelaire renouvelle ici le lyrisme. La forme du

Corpus ( ensemble de textes présentant des points communs ) Texte 1: Gustave Flaubert, Madame Bovary (1856) Texte 2: Emile Zola, Germinal ( 1885) Texte 3: Italo Calvino, Si par une nuit d'hiver un voyageur (1979) Texte 4: Patrick Süskind, Le Parfum: Histoire d'un meurtrier (1985) Texte 1: Gustave Flaubert, Madame Bovary (1856) Lexique : bourgeois (l.1) : (n.m) Habitant d'une ville ( Bourg) riche ou non. pupitre (l.1): (n.m) Maître d'étude. A l'époque, on passait beaucoup plus d'heures

o n a p u p a r l e r d ’ a n t i - h é ro s : u n h é r o s d é n u é d e c e s v a l e u r s h é r o ï q u e s , v o i r e l e s c o n t r e d i s a n t . Jean-Baptiste Grenouille est bien le héros, au sens de personnage principal, du roman Le Parfum. Mais lui qui est décrit comme à la fois “génial “ et “abominable”, provoque-t-il des sentiments positifs (admiration, empathie) ou négatifs (répugnance, crainte) chez le lecteur ? Première partie : Jean-Baptiste Grenouille : un personnage abominable

qui sent mauvais. Gabriel se moque alors de sa délicatesse, la nommant « ptite mère » d’un ton condescendant et moqueur, à plusieurs reprises . Il emploie aussi une périphrase très ironique sous-entendant qu’elle sent mauvais : « tu crois que ton parfum naturel fait la pige à celui des rosiers. Eh bien, tu te trompes » . La dame s’indigne alors, mais elle n’a pas le courage de répondre directement à Gabriel. Par exemple, quand elle le traite de « gros cochon », elle s’adresse à son mari, ce qui prouve

haillons d'argent" vers 2 ; renforcée par le soleil et dont la luminosité est reprise avec la métaphore"mousse de rayons" (aspect moelleux et agréable) et " lumière qui pleut" : personnification qui donne une matérialité à la lumière. -Plan olfactif, "parfums" vers 12, impressions de bien-être et bonheur -Plan tactil de liquidité, vers 6 "et la nuque baignant dans le frais cresson bleu". -Adverbe « follement » (encore une personnfification) , rivière excentrique et dynamique, présente avec la lumière

parlement " - Ecart comique qui prouve que les personnages n’ont pas de recul pour juger objectivement de la manière de respecter les convenances. -Des vertus et des richesses -Focalisation zéro. Tout est normal et neutre, mépris du beau => absence d’enthousiasme des habitants. Or = boue. La richesse n’a pas rendu mauvais les habitants - Les hommes sont

réussit toujours, l’orange jamais : car ses cellules ont éclaté, ses tissus se sont déchirés. Tandis que l’écorce seule se rétablit mollement dans sa forme grâce à son élasticité, un liquide d’ambre s’est répandu, accompagné de rafraîchissement, de parfums suaves, certes, - mais souvent aussi de la conscience amère d’une expulsion prématurée de pépins. ■ Une surprise - La première strophe offre une première surprise, le texte qui devait parler de l’orange selon le titre qui semblait être programmatique

Description révélant le personnage principal L’ordre dans lequel Emma éprouve ses sensations est révélateur. Elle est d’abord « enveloppé dans un air chaud », 1er sens évoqué est le toucher (évoque sa sensualité). Puis l’odorat (l.4) en parlant du parfum (« fumé » l.5) Dégradé d’odeurs. Les fleurs, les objets, la les lumières l’intéresse beaucoup plus que les invités. Ce sont d’abord les bougies qui sont vue puis les cristaux à facettes. Après l’éblouissement, l’espace est perçue comme immense :

..). Opposition marquée aussi dans le 1er paragraphe entre le début (monde féérique) et la fin (triste réalité) : met en évidence les deux extrêmes entre lesquels elle évolue sans parvenir à les concilier... Procédés liés au point de vue : focalisation interne qui donne à voir la façon de penser de Mme Loisel : • associations (dot → espérance) qui montrent qu’elle tient l’argent comme la clé de tout espoir social. • Gradation lourde de sens : connue → comprise → aimée → épousée par un homme riche

prennent place à table. Puis Emma est émerveillée par la beauté du lieu, des objets, certains brillent et attirent particulièrement son regard « les bougies » (l.4), « les cristaux à facettes » (l.5). Elle est ensuite emportée par des parfums agréables « mélange de parfums de fleurs et du beau linge » (l.3-4), « fumet des viandes et de l’odeur des truffes » (l.4). Enfin, Emma est sensible au toucher « enveloppée par un air chaud » (l.3), « Emma frissonna de toute sa peau en sentant ce froid dans sa bouche »