Foi

de « conflits de civilisations ». Jean-François Revel nous dit : « Les échanges entre civilisations ne sont féconds pour toutes qu’à la condition qu’aucune d’entre elles ne cherche à propager chez les autres une quelconque foi religieuse ou politique. Le communisme fut une foi politique encore plus répressive que ne l’avaient été les fois religieuses en leurs pires excès. Seule la liberté peut transformer les conflits en coopération et en fécondation réciproques. C’est pourquoi l’histoire nous montre

vienne en aide; - le désespoir, il ne pense pas mérité ce châtiment, tout comme ses cinq autres camarades qui sont dans la même situation que lui et pourtant leurs sors sont déjà décidés; - la croyance, on apprend au fil de la lettre que pour Jean la foi est importante pour surmonter cette épreuve, pour lui ainsi que pour toute sa famille, il mentionne plusieurs fois la religion, la prière et Dieu; - la nostalgie, en rappelant à son épouse tout ce qu’il avait promis de faire à son retour de la guerre

Qu'est ce que la "religion naturelle"? ( extraits de l'Emile ou De l'Education, la profession de foi du Vicaire Savoyard) La "lumière intérieure": [960:] Portant donc en moi l’amour de la vérité pour toute philosophie, et pour toute méthode une règle facile et simple qui me dispense de la vaine subtilité des arguments, je reprends sur cette règle l’examen des connaissances qui m’intéressent, résolu d’admettre pour évidentes toutes celles auxquelles, dans la sincérité de mon coeur, je ne pourrai

Calas Développement de notre problématique Conclusion Pour les philosophes du XVIIIe siècle, qu'est-ce que l'obscurantisme religieux ? Explication de la problématique L’obscurantisme religieux est la pensée issue de la foi chrétienne sans la possibilité de la remettre en question. Elle est contraire à celle des philosophes du XVIIIème siècle, donc nous allons vous expliquer leur pensée par rapport à ce fonctionnement de société régit par le pouvoir religieux.

que ces deux questions, de Dieu et de l’âme, étaient les principales de celles qui doivent plutôt être démontrées par les raisons de la philosophie que de la théologie : car bien qu’il nous suffise, à nous autres qui sommes fidèles, de croire par la foi qu’il y a un Dieu, et que l’âme humaine ne meurt point avec le corps ; certainement il ne semble pas possible de pouvoir jamais persuader aux infidèles aucune religion, ni quasi même aucune vertu morale, si premièrement on ne leur prouve ces deux choses

sont pas nécessairement fausses, comme la naissance et l’existence réelle de Jésus qui a été prouvé et que certaines réponses qu’apportent la science ne sont pas très convaincantes, comme par exemple la création du monde. Ceci peut donc expliquer la foi des croyants envers quelque chose ou quelqu’un, et pourquoi ils sont plus portés à leur soumettre leurs désirs les plus chères. Outre la fonction existentielle, il y a les fonctions communautaires et esthétiques de la religion qui contribuent d’ailleurs

N'est-elle pas un moyen d'apaiser certaines angoisses quotidiennes et d'entretenir l'espoir? Ce premier présupposé nous interroge sur comment une telle pratique peut agir sur la spiritualité d'un Homme? En quoi le fait de croire et d'organiser la foi peut-il être un échappatoire pour l'Homme? Mais cette pratique de la religion n'a t-elle pas un rôle néfaste? Ne peut-elle pas promettre un bonheur à l'Homme ou une liberté qui en fait, n'est que illusion? C'est ainsi que nous pourrions parler

aspects de façon neutre. Dans un premier temps il me semble important de souligner le fait que la religion est une force ou en tout cas une aide. En effet des hommes se sont trouvés et surpassés dans la religion et du même coup on dédier leur vie à la foi, je pense part exemple aux missionnaires ou aux croisées. D’une manière moins engagée je pense que beaucoup d’homme trouve le courage de continuer à vivre de part la religion, en effet une personne ayant perdu un proche aura moins de mal à faire son

maitre de notre propre esprit ? Tout ce que nous faisons, pensions individuellement au tant qu’individu a part entière, serait finalement qu’une illusion. Cela nous interroge aussi sur l’existence d’un être immatériel, en autre mot, comment avoir la foi religieuse dans ce cas. C’est en cela, que la question prend alors une autre tournure, bien plus complexe : Celle de l’existence de l’homme. Vient alors le dualisme qui débouche souvent sur un manichéisme moral et religieux. Religion du 3em siècle

enveloppe corporelle et matérièlle. L'orgeuil humain est rabaissé, le corps n'est voué qu'a devenir l' « ordinaire pature ». - Une morale : il relativise la vie terrestre qui se termine par la putréfaction et la mort. Celui qui n'a pas foi en Dieu est voué au néant. Il s'agit là d'une poésie macabre ( dans la continuité de la pensée médiévale ) qui vise impressionner son lecteur pour le faire changer. ( analyse tirée de www.etudes-littéraires.com ) Un tableau : l'Adoration des