Foi

L'histoire des Anabaptistes, des Mennonites, et des Amish est un conte fascinant de rébellion intellectuelle, de pureté religieuse, de persécution dévastatrice, de courage, de fidélité, et de survie incroyable. Cherchant un retour à la pureté de la foi chrétienne, tôt, les Anabaptistes ont cité le nouveau testament comme exigeant que des individus soient baptisés comme adultes. En fait, le " mot anabaptiste" signifie re-baptisé ; puisque les membres avaient été déjà baptisés comme enfants en bas âge

de Dieu comme créateur et sauveur est un acte de la foi chrétienne, qui est proclamée dans le Credo. Mais l’ordre du Credo semble faire apparaître la confession de Dieu créateur avant celle de Dieu sauveur. « Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de l’univers visible et invisible »! 2/ D’autre part, d’après une conclusion exégétique publiée en 1936, sous le titre « Le problème théologique de la foi à la création dans l’Ancien Testament » par l’exégète

en matière de religion, que la fin de l’Etat n’est pas de contraindre les consciences, d’autant plus qu’elles sont par nature libres et qu’aucune force ne saurait infléchir les jugements individuels. Ce qui est en jeu ici, c’est donc le sens de la foi religieuse et les limites du pouvoir d’Etat ainsi que la condition de sa légitimité.Quelles sont en effet les conditions et les limites du pouvoir civil ? Sur quoi ce pouvoir s’exerce-t-il ? Quelle est la fin des lois auxquelles nous obéissons ? Le

un regroupement d'individualités structuré par des liens de dépendance réciproques. La religion, de l'étymologie "religare" signifiant "relier", quant à elle est le culte rendu à la divinité, elle repose sur un corps de doctrines qui sont objets de foi qu'on appelle dogmes. Ce sont des contenus spirituels auxquels le croyant adhère sans les remettre en cause car le divin s'est révélé en eux. Chaque religion a son orthodoxie : à savoir un ensemble de dogmes et des pratiques établies, et son orthopraxie

bien pour les chrétiens que pour les musulmans. Il ne faut pas croire qu’une telle attitude émanerait d’un effort personnel ou y voir une façon de légiférer en donnant l’exemple. Le calife agit selon sa conviction religieuse, laquelle repose sur la foi en Dieu, en ses prophètes et dans tous les Livres Saints qui sont autant de messages divins précédant le message de Mohamed. C’est ainsi que Dieu s’adressa aux hommes : «C'est le Livre au sujet duquel il n'y a aucun doute, c'est un guide pour les pieux

l’exemple ci-dessus, il n’y a pas d’interrogation seulement que de l’affirmation et c’est ce qui fait la différence entre ces deux discours. Ensuite, le discours religieux est aussi caractérisé par un facteur essentiel qui est la foi. Dans la religion, faire un «acte de foi» c’est de valider quelque chose qu’on ne peux démontrer la validité. Comme exemple, dans ce même documentaire, la pasteure explique que «le péché a été conçu que pour nous détruire»³. Elle exprime d’une manière convainquent et illustre

paranoïa, l'écrivain est persuadé que tout le monde lui en veut. Il est vrai qu'il peut avoir quelques raisons de le penser. En effet, ses écrits sont de plus en plus contestés: d'abord son ouvrage sur l'éducation L'Emile (1762) puis la Profession de foi du Vicaire Savoyard, sont interdits. Menacé d'arrestation, Rousseau doit s'exiler en Suisse. C'est là qu'il décide d'écrire l'histoire de sa vie et qu'il rédige d'abord une ébauche de son portrait par lui même. En 1764, il est vivement mis en cause

est profondément chrétienne. La religion marque la vie quotidienne, les comportements, les rapports entre les hommes, la vie politique, les arts... Le clergé tient une place très importante dans la société. I. Être chrétien au Moyen Age I.1. La Foi en Dieu est générale Au Moyen Age, les hommes ont une grande confiance en Jésus-Christ. Ils croient que sa mort sur la croix leur assure le salut lors du Jugement dernier. Ils gagneront alors le Paradis. En même temps, ils craignent le Diable qui les

Revue théologique de Louvain (1970). Adolphe Gesché est l’une des grandes figures de la Faculté de théologie à Louvain-la-Neuve et très sensible à la situation du christianisme et au discrédit qui pèse sur la foi en Dieu, il cherche à favoriser une meilleure compréhension du rapport entre la foi et la culture contemporaine. Ses écrits les plus significatifs portant sur des sujets très variés sont pour la plupart rassemblés dans la collection Dieu pour penser. Dieu pour penser. Dans cette collection

assurance que nous savons de ce que va être la réalité et très souvent, ce que doit être la réalité. Pour un chrétien, la foi est relation à Dieu dont il reçoit la parole, c’est aussi le fait de croire en quelque chose sans avoir la preuve que c’est vrai, c’est aussi le fait de croire en une vérité. Dans la croyance même on trouve la foi car la croyance en Dieu s’appelle foi. Dieu est l'Être qui détient la suprématie sur l'Homme, il est le Créateur de l'Univers avec tout ce qui s'y trouve et qu'il