Folcoche

de ce personnage. 10) Comment est formé le surnom donné à la mre : ? Dans quelles circonstances ce surnom a-t-il été inventé et par qui ? 11) Pour quelle raison Mme Rezeau quitte-t-elle la maison pour plusieurs mois ? 12) Pendant l'absence de Folcoche, pourquoi le narrateur parte-t-il de ? Expliquez. 13) Qu'est-ce que la < pistolétade > ? 14) Par quels moyens successifs, les enfants tentent-ils de se débarrasser de leur mère ? Donnez deux réponses. 15) Expliquez en quelques lignes l'épisode

REDACTION Deux jours apprêt qu'elle nous a grondé, on a décide de nous venger. On à demander a notre père s'il peut ne pas aider Folcoche. Il ne nous a m'aime pas regarder, de ce point la on été sure qu'il ne le ferait rien, il été très occuper avec ses stupide mouche dans le grenier. Le lendemain on s'ait réveillé tôt le matin pour préparer le vengement qui sera très brutal. On s'ait précipité dans la chambre sans faire un bruit pour prendre la clé de la chambre, quant on la eu on ait sortit

indirectement notre connaissance du personnage). Par exemple, voulant dénommer une mère ou une marâtre cruelle et tyrannique, la comtesse de Ségur, Jules Renard et Hervé Bazin aboutissent à des noms aux sonorités agressives : Mme Lepic, Mme Mac Miche, Folcoche. Le romancier donne au personnage une identité qu'il souhaite rendre crédible. Les éléments pertinents du portrait ne sont donc pas des signes facilement localisables. D'autre part, le personnage n'est jamais donné comme une entité définitive

: Les enfants n'ont pas de vie sociale en dehors de la Belle-Angerie, ils ne peuvent pas partager leurs souffrances, morales comme physiques, avec des camarades extérieurs, ils n'ont aucun confident qui saurait les aider à se tirer des bras de Folcoche. Par exemple, lorsque Brasse-Bouillon s'évade de la maison pour entreprendre en voyage chez ses grands-parents maternels, il aurait pu aller voir un ami s'il était scolarisé et lui raconter combien il est maltraité

là que Jean va demander l'arbitrage de son grand-père suite à un différend avec sa mère. Il est alors victime d'un grave accident de la route, l'obligeant à séjourner longuement dans une maison de santé. Ce n'est pas sans rappeler la maladie de « Folcoche », mère de Jean Rézeau, forcée de se soigner loin de la famille qu'elle déteste. Il prend très tôt son indépendance. Il rompt tout lien avec sa famille. Il exerce alors une multitude de petits boulots, aussi divers que mal payés. Ce n'est pas

plusieurs chansons dont Les derniers sont les premiers chantée par George Moustaki. Vipère au poing raconte le combat de trois frères Jean, Frédie et Marcel, contre leur mère, Madame Rezeau, une femme sèche, impitoyable et tyrannique surnommée Folcoche. Ce mot paysan désigne la truie qui mettant bas ses petits, les dévore aussitôt. Dans ce cadre familial, le père faible et rêveur se passionne, quant à lui, pour les insectes et laisse sa femme régenter l’éducation ou plutôt le « dressage » de leurs

peut ne pas vouloir être ce héros 1) La situation difficile ex: Tristan & Iseult===Le fait de ne pas pouvoir aimer, d'être espionné et pourchassé. ex: Vipère au poing, Hervé Bazin===la situation d'être victime de la cruauté et de la folie de Folcoche. Mots: victime, injustice, filtre d'amour, amour contraignant, pourchassé. 2) Les héros maléfiques, ayant des défauts. ex: Le roman de Renart===Renart est diabolique, rusé, hors-la-loi, traître, cruel. ex: Le Père Goriot, Balzac===Vautrin

Hervé Bazin est né le 17 Avril 1911 à Anger dans une famille bourgeoise. Il est le petit-neveu de l'académicien René Bazin, il passe une enfance difficile, surtout à cause sa mère, sèche et autoritaire (qui donnera naissance au personnage de Folcoche).La rigueur de ses précepteurs et des professeurs de collège n’arrange rien. Adolescent, il fait des fugues et se rebelle. Il est inscrit de force à la faculté catholique de droit d'Angers, il refuse de passer ses examens. Il étudie en cachette la botanique

Résumé du livre 'Vipère au poing' 'Vipère au poing', c'est le récit, largement autobiographique, du combat impitoyable que livrent Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et ses frères, à Folcoche, leur mère. Jean Rezeau, que nous suivons de quatre à seize ans, n'est pas pour autant un enfant martyr. Il a beaucoup trop de combativité pour être de ceux qui subissent : la haine l'occupe comme d'autres la tendresse. N'avoue-t-il pas, à la dernière ligne : 'Merci ma mère ! Grâce à vous, je suis celui qui

début du XXème siècle. Jusqu’à la mort de leur grand-mère, tout allait bien, Ferdinand (dit Freddie) et Jean (Brasse-bouillon) étaient élevés par cette dernière dans le château familial, certes strictement mais non injustement. Fut un jour où ladite Folcoche reprit le flambeau, cette justice s’évanouit ainsi. Face à un père impuissant, les deux ainés de cette famille de trois enfants vivaient ainsi dans la persécution. La moindre activité pour laquelle ils prenaient plaisir leur était retiré pour quelconque