Folcoche

Nous pouvons citer le roman Vipère au poing écrit par Hervé Bazin, roman légèrement autobiographique. Le livre retrace l’enfance et l’adolescence difficile du narrateur jean rezeau et détaille les rapports difficiles avec son indigne mère, dite « Folcoche ». Ce roman souligne bien un destin difficile et rude que peut vivre le lecteur au court de sa lecture. Nous pouvons également citer le roman l’assommoir écrit par Emile Zola qui retrace la vie de Gervaise Macquart. Depuis la rupture avec son mari

prodiges. Comme Man, elle accède ainsi à un statut surnaturel proche de la déesse-mère primordiale. Ces trois extraits présentent donc une image positive de la maternité. Si le mal-aimé Hervé Bazin, dans Vipère au poing, a fait de la mère une « Folcoche » rigide, cruelle et méchante, l’affection d’enfants choyés transforme ici les femmes en consolatrices, protectrices, pourvoyeuses des dons de la Terre avec qui elles vivent en symbiose.

le conseil de Paul Valéry, il se détourne de la poésie pour se consacrer à la prose. Les rapports conflictuels qu'il a eus avec sa mère pendant son enfance lui inspirent le roman Vipère au poing en 1948, où est narrée la relation de haine entre Folcoche (surnom résultant de la contraction de « folle » et « cochonne »), une mère sèche et cruelle, constamment à la recherche de nouveaux moyens d'oppression et de brimade (voir par exemple l'histoire de la fourchette), et ses enfants, dont, en premier

Il est apparu à Paris. L’éditeur du roman est Bernard Grasset. Le livre décrit l'enfance et l'adolescence du narrateur, Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon. Ce dernier décrit ses rapports avec sa famille, et notamment sa mère Paule Pluvignec, dite Folcoche, une véritable marâtre. Ce roman est un huis clos entre la mère indigne, les trois enfants martyrisés, le père démissionnaire et un précepteur changeant. Hervé Bazin est né au sein d'une famille aisée. Son père, Jacques Hervé-Bazin, est docteur

non pas des yeux de saphir comme les vipères de bracelets, je le répète, mais des yeux de topaze brûlé, piqués noir au centre et tout pétillant d’une lumière que je saurais plus tard s’appeler la haine et que je retrouverais dans les prunelles de Folcoche, je veux dire de ma mère, avec, en moins, l’envie de jouer (et, encore, cette restriction n’est-elle pas très sûre !) Elle avait de minuscules trous de nez, ma vipère, et une gueule étonnante, béante, en corolle d’orchidée, avec, au centre, la fameuse

obtient le grand prix de littérature de Monaco.en fevrier 1996 il decede a anger Paratexte :Les rapports conflictuels qu'il a eu avec sa mère pendant son enfance lui inspirent le roman Vipère au poing en 1948. Y est narrée la relation de haine entre Folcoche (contraction de « folle » et « cochonne »), mère sèche et cruelle constamment à la recherche de nouveaux moyens de brimade (par exemple, l'histoire de la fourchette), et ses enfants dont le narrateur est Jean Rezeau, surnommé Brasse-Bouillon. D'autres

point de vue. Hervé Bazin met en exergue, dans son roman autobiographique Vipère au poing, la cruauté de la mère de Brasse-bouillon. Cette histoire relate toutes les épreuves que cette mère fait endurée à ses trois enfants, qu'ils ont eux-mêmes nommé Folcoche, contraction de « folle » et « cochon ». Face à ce sadisme, le lecteur puisera son sentiment de pitié envers ces trois enfants, ce qui engendre une inversion et un dédain certains face à cette mère. En dernier lieu, le héros du roman peut aussi

ce livre est pour vous. Heureux chérubins qui avez échappé à l'enfer, ce livre est pour vous. ‘’L'enfant’’ raconte les misères du jeune Jacques Vingtras, alias Jules Vallès. Un Petit Chose qui fut fouetté de bonne heure. En guise de mère, une Folcoche qui a la torgnole et l'humiliation faciles. Le père? Un pion agrégatif froid comme la mort. Bien avant Gide, Vallès lança en 1878 son « Famille, je vous hais » et se met en scène, ancêtre oublié de l'auto-fiction. Une littérature d'ex-môme qui a

le conseil de Paul Valéry, il se détourne de la poésie pour se consacrer à la prose. Les rapports conflictuels qu'il a eus avec sa mère pendant son enfance lui inspirent le roman Vipère au poing en 1948. Y est narrée la relation de haine entre Folcoche (contraction de « folle » et « cochonne »), mère sèche et cruelle constamment à la recherche de nouveaux moyens de brimade (par exemple, l'histoire de la fourchette) et ses enfants. Le narrateur est Jean Rezeau, surnommé Brasse-Bouillon. Maurice

telle qu’Ernestine, la gouvernante qui autrefois comptait parmi le groupe de domestiques dociles servant la grand-mère. Blessés au plus profond d’eux et marqués à jamais par cette méchanceté inexpliquée, Jean et Fredie l‘affublent du surnom de Folcoche, association de « folle » et de « cochonne ». Ils ne connaitront plus l’amour, ne croiront plus à la vertu. Le livre se termine sur des incantations blasphématoires : "Cette vipère, ma vipère dûment étranglée, mais partout renaissante (…) je la