Folcoche

» Références Écrit par Hervé BAZIN Paru pour la première fois en 1948Genres : roman autobiographique Nombre de pages : 200 ( toutes plus intéressante que les autres !!! ) Personnages Folcoche, mère du narrateur, éprouve de la haine envers ses enfants.Jean Rézeau, narrateur, personnage principal, fils de Folcoche Ferdinand, frère et complice de Jean. Marcel, frère de Jean et benjamin de la famille. Jacques Rézeau, père de famille.Personnage préféré : Jean rézeau qui est dur de caractère et rebelle

mère. On le voit bien car, au début de l’histoire, il est soumis à l’autorité de sa mère, mais, petit à petit, il se rebelle contre celle-ci en fuguant ou en désobéissant à ses règles et aux règles religieuses imposées par Folcoche. 2. La mère des garçons, surnommée Folcoche (« folle » et « cochonne »), est une mère sadique, qui elle-même n’a pas eu une enfance facile, impose à ses fils une éducation basée sur la violence, le mensonge, avec des horaires et des règles strictes. 3. Freddie est le

non communs • NB : le roman doit captiver et pour beaucoup de romancier, faire connaître la nature humaine => intérêt porté aux personnages. Peinture du personnage => souvent différent, intéressant > digne d’être raconté… Ex : la méchanceté de Folcoche. Cf. son règlement draconien toujours défaveur des enfants, son éducation faite de soupçons et de vexations : tonte des cheveux, fouilles, confiscations, sous-alimentation…. => Personnage malheureusement « exceptionnel » par sa cruauté. • Les personnages

réalisateur a aussi oublier des personnages comme l’oncle et la tante. • La mère ne s’appelle pas “Paule” mais “Marte”. Personnages principaux • “Folcoche”(Marte Rézeau) jouée par Alice Sapritch:. Elle est calculatrice, saidque et cruelle. • Jacques Rézeau joué par Marcel Cuvelier: Il est bien plus affectueux et aimable envers ses enfants que Folcoche mais devant elle,il est impuissant. • Brass-bouillon (Jean) joué par Dominique de Keuchel: Jean est impatient,orgeuilleux, parreuseux. 1ere Partie:

permanence : « Folcoche », contraction de Folle et Cochonne. Ils gravent partout où ils le peuvent des VF rituels, signifiant Vengeance à Folcoche. Jean, le narrateur, est le fils qu'elle déteste le plus car il fait preuve d'une certaine audace, notamment en la fixant intensément pendant les repas, "rituel" que les frères appellent « Pistolétade » .Après une partie de chasse avec leur père qui a permis aux enfants de connaître quelques instants de bonheur, un incident se produit : Folcoche, furieuse de

Bazin. Celui-ci l'a rendu immédiatement célèbre. Il a été publié en 1948, et est le premier volet d'une trilogie qui raconte successivement l'enfance de Jean Rezeau, sa vie de jeune adulte puis celle d'homme d'âge mûr (jusqu'à la mort de sa mère Folcoche). Cette trilogie (Vipère au poing, La Mort du Petit Cheval, Le Cri de la Chouette) est très largement autobiographique. Dans ce texte il s’agit d’un petit garçon qui décrit en détails l’assassinat d'une vipère qui représente pour lui sa mère.

contient environ 250 pages. Cet œuvre est un roman autobiographique car l’identité n’est pas la même entre l’auteur et le personnage principal mais certains éléments du récit permettent le rapprochement entre l’auteur et le narrateur tels que Paule (Folcoche), la mère qui est très autoritaire et sèche, la fugue que l’auteur avait faite jeune qui se reproduit dans le récit. Ce roman témoigne de la terrible enfance qu’a vécue Hervé Bazin. L’auteur introduit également dans son œuvre sa région à qui il est

adaptations. La dernière, au cinéma, a été réalisée en 2004 par Philippe de Broca. Résumé : Le livre relate la terrible enfance et adolescence du narrateur, Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et détaille ses rapports de haine avec sa mère, dite Folcoche qui est une contraction de la folle et la cochonne.(p42) Celle-ci est en chine avec son mari et le plus jeune fils,marcel, mais ils sont obligés de rentrer après la mort de la grand-mère paternel qui élevait jean et Ferdinand,son frère aîné. Les

qui marche, une vipère au poing»: c'est la dernière phrase du roman, largement inspiré des rapports détestables et violents que l'auteur, «Brasse-Bouillon», entretenait dans son enfance avec sa mère, la tyrannique «Folcoche» du roman (qu'interprétera Alice Sapritch à l'écran). Folcoche, du patois angevin pour désigner la truie qui mange ses petits aussitôt après avoir mis bas. Après le succès du roman, sa mère, avec qui le romancier entretint des rapports réciproques de «malveillante estime», dira:

Pour survivre, le couple n’hésite pas à recourir à toutes sortes de moyens criminels, du plus léger au rédhibitoire (exploitation éhontée de la pauvreté, vols, cambriolages, agressions, voire assassinat). * Folcoche : Paule Pluvignec, mariée à Jacques Rezeau. Surnommée « Folcoche », abrégé de « folle » et de « cochonne », elle désire une autorité sans limite sur ses fils qui par conséquent la détestent. Paule est la fille d’un sénateur parisien qui lui a imposé un mariage avec une famille bourgeoise