Folie

lhistoire (aux USA avoir des origines africaines nest plus un fait marginalisant, les femmes avant taient marginalises mais maintenant les choses voluent.) Michel Foucault: Folie et draison, Histoire de la folie lge classique . Au Moyen Age le fou tait porteur dune certaine vrit le fou du roi , puis on a mdicalis la folie pathologique (maladie qui ncessitait quon enferme la personne). Au XIXme sicle: phnomne de marginalisation du fou. Cest la socit qui nous dfinit comme marginal ou non. 3)

« Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou ». Pour lui, c’est le fait d’être sûr de soi à propos d’un état, d’une chose ou d’une pensée, qui peut amener à la folie. Nous allons voir pourquoi la certitude amène à l’aliénation, dans quelles mesures et pourquoi le doute ne peut-il ne pas amener lui aussi à la folie. Premièrement, La certitude est un état d’être personnel. En effet, lorsqu’on est sûr, les gens autour de nous ne le sont pas forcément, c’est un état dont nous seul sommes

d’une farce. Elle joue également une scène de son imagination dans lequel le prince viendrait à lui demander son avis « me voulez vous Silvia ? » (l. 30). Ce jeu d’acteur de Silvia nous fait voir presque de la folie en elle. Elle apparait alors comme une femme excentrique qui mêle vulgaire à folie : un mélange qui en fait rire plus d’un ! Mais, il faut également analyser le personnage de Trivelin. Certes, c’est un officier de la cour, il n’est pas moins rabaisser par la tache qu’on lui donne

présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie de 1880 à 1890 avant qu’il ne sombre peu à peu dans la folie et ne meure à quarante-deux ans. Reconnu de son vivant, Guy de Maupassant conserve un renom de premier plan, renouvelé encore par les nombreuses adaptations filmées de ses œuvres. Ses plus grandes œuvres sont : Bel ami en 1885, le Horla en 1887 et

Qu'il s'agisse d'un essai fantaisiste et ironique comme l'Éloge de la folie d'Érasme, d'un « roman » parodie d'épopée comme Gargantua de Rabelais ou d'une autobiographie comme les Essais de Montaigne, ces trois textes, pourtant de dates différentes, portent la marque des valeurs humanistes. Tantôt ces valeurs sont explicites, tantôt le lecteur les déduit par opposition avec des personnages peints négativement parce qu'ils les bafouent. Pour l'humaniste, la vie doit être marquée par la juste mesure

DUBOIS __ Son défaut, c'est là. (Il se touche le front.) C'est à la tête que le mal le tient. ARAMINTE __ A la tête ? DUBOIS __ Oui, il est timbré, mais timbré comme cent. ARAMINTE __ Dorante ! il m'a paru de très bon sens. Quelle preuve as-tu de sa folie ? DUBOIS __ Quelle preuve ? Il y a six mois qu'il est tombé fou ; il y a six mois qu'il extravague d'amour, qu'il en a la cervelle brûlée, qu'il en est comme un perdu je dois bien le savoir, car j'étais à lui, je le servais ; et c'est ce qui m'a obligé

réelle de Maupassant et celle du personnage fictif. Il fait une liaison visible entre sa ville natale et celle du personnage principale. Ensuite, on remarque que les évènements se déroulent lors du XIXe siècle, soit en même temps que la période de folie qu’a vécu l’auteur dans ses débuts quarantaines. Cette référence au temps du déroulement de l’histoire mène à l’hypothèse qu’il décrivait ce qu’il vivait au moment même. Puis, puisque tout-au-long du roman le protagoniste n’est pas nommé, on peut supposer

imaginaire ou réaliste. Un roman basé sur l’imaginaire de l’auteur doit pouvoir être capable de nous divertir, pour exemple on peut donner le Horla de Guy de Maupassant où le narrateur raconte sa folie et la terreur qu'il subissait. Le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et lui boit sa vie. Cette folie le conduira à de nombreuses actions toutes plus insensées les unes que les autres. Ce roman s’inscrit parfaitement dans un genre imaginaire, il peut donc nous divertir. Dans un second temps

s’évader tangiblement dans un monde en opposé à la réalité. Il est l’illustration même du plaisir mélangée, la douleur doit être assez intense pour être source d’inspiration mais pas trop intense pour ne pas sombrer dans la folie car s’il n’y a qu’un pas entre le génie et la Folie, on peut le renommer créativité En se limitant à cette intervalle, plus le blues (la douleur) est importante plus l’inspiration (le plaisir) qui en découd sera importante, plus l’échappée sera belle. Le Blues est donc un

la révélation brutale et incontrôlée d’un amour tabou, révélation qui, à cause de sa nature irréversible, noue l’action et la projette vers son dénouement inéluctable. B. Sa passion est incontrôlable 1. Double champ lexical de l’amour et de la folie a) « fureur » (v. 6), « aime » (v. 7), « fol amour » (v. 9), « trouble » (v. 9), « feu fatal » (v. 14), « séduire » (v. 16), « odieux amour » (v. 33), « ose aimer » (v. 36)  Met en évidence la passion coupable de Phèdre, son amour incestueux, le