Folie

Comment Ionesco dans sa pièce Rhinocéros parvient à surprendre le spectateur ? 1) Texte a) Malgré que ce soit une tirade (conflit intérieur) Il se trouve seul sur la scène et pourtant il s’énerve : il s’énerve contre lui-même  folie ? Il envie des créatures : nombreuses comparaisons b) Ionesco a quand même voulu surprendre les spectateurs en mettant du relief à sa prise de parole (exclamations, énervement) Changement d’humeur fréquent visible par l’alternance phrase exclamative/déclarative

Le Horla de Maupassant Maupassant est l’un des premiers écrivains de son époque à avoir abordé le sujet de la folie, pas comme étant quelque chose d’humoristique, mais bien en des termes plus effrayants. La nouvelle Le Horla démontre le style très distingué de Maupassant des autres auteurs du 19e siècle. Contrairement à mes attentes, cette nouvelle fut choquante, même terrifiante je dois dire. L’évolution psychologique du personnage principal est vraiment très élaborée, très détaillée, on perçoit

impitoyable : « prends pitié de ma jalouse rage / Il faut perdre Aricie, il faut de mon époux/ Contre un sang odieux réveiller le courroux » Pourtant, elle semble parfois avoir un éclair de lucidité en appelant Oenone à contenir ses instincts de folie : « Oenone ; prends pitié de ma jalouse rage », et semble surprise par son propre comportement : « moi jalouse ! » B. Hippolyte révélé Cette tirade n’est cependant pas uniquement révélatrice des sentiments de Phèdre. Elle nous permet d’apprendre

réflexes, et on y décèle une certaine folie ou irritabilité. Un rien, peut la faire agir davantage. Versatilité de la foule : Exemple de la Vénus Hottentote. La foule passe d’une extrême cruauté à une générosité. La crédulité : possibilité de croire à n’importe quoi. Exemple : Mangez-le si vous voulez. Suite à un malentendu, une foule se met à ferrer, brûler et manger un homme. Une action qu’elle finit par regretter. Une foule se voit influencée par la folie, une hallucination collective.

fin du XIXème siècle , en france , le retenticement des méfaits du meurtrier londonien Jack l'évrentreur suscite des vocations de tueur en série . Le plus célèbre émulte de ce célèbre et sinistre criminel reste Joseph Vacher . A mi chemin entre la folie et la comédie , la défense de l"'évrentreur de bergères " devant la cour de Bourg-en-Bresse ,en 1898 ,fascine les foules . Suite auxenquètes les policiers réussisent a faire une brève biographie du perssonage de Joseph Vacher.Il est né 1869 dans

l'amour passion aveugle la raison, la tourmente. Qui s'y laisse s'y prendre n'est plus libre, et commet des actes qui ne peut que le nuire. En effet, l'amour passionnel est un amour illusoire, l'homme se laisse envouter par cette illusion, cette folie, cette passion (ethymologie : pathos, souffrance), qui ne lui laissera que désarroi et souffrance. Par exemple, les conquètes de Dom Juan, dans le roman éponyme de Molière, où celles-ci ont été illusioné par le charme de Dom Juan, ainsi elle sont prete

sentimentale (Ophélie) - Norvège/Danemark => Fortinbras. c. Elément de structuration - La mort => obsession du macabre ; l’apparition du spectre déclenche l’intrigue + massacre final. - 7 pièges : l’épee, le vin, montrer la folie d’Hamlet, mort du roi Hamlet (Claudius lui verse du poison dans l’oreille), … cf. tableau. d. Structuration spatiale e. Structuration temporelle ( 3mois. Pas d’unité de temps. Temps resserré/ II. Quelques personnages

d’une voix “intérieure” celle du rêve. En quelque sorte c’est une utopie qui guide ces artistes, celle de la recherche de l’absolu contenu dans trois thèmes essentielles du surréalisme: la poésie comme lien avec le divin, la liberté qui est lié à la folie, car celle-ci par définition n’a pas de règles et sans règles on ne peut être que libre et l’amour qui transcende l’être ou les sentiments. L’artiste est donc à la recherche de la femme. Chez les surréalistes la femme a une place très importante. Elle

d’arriver jusqu’à l’idée de mort, Phèdre cherche aussi à se punir elle-même, puisqu’elle demander à Hippolyte de lui « prête[r] son épée. ». Cette expression exprime la violence des sentiments de Phèdre, qui la met dans un état de souffrance et de folie. Dès le début de la tirade, l’interjection « ah ! » traduit la souffrance du personnage. La reine évoque cet état en utilisant le terme de « fureur » pour désigner son comportement : cela décrit une perte de la raison, une démence destructrice

qui déferlaient. Tout ce qu'il y avait dans sa tête de réminiscences, d'idées, s'échappait à la fois, d'un seul bond, comme les mille pièces d'un feu d'artifice. Elle vit son père, le cabinet de Lheureux, leur chambre là bas, un autre paysage. La folie la prenait, elle eut peur, et parvint à se ressaisir, d'une manière confuse, il est vrai; car elle ne se rappelait point la cause de son horrible état, c'est-à-dire la question d'argent. Elle ne souffrait que de son amour, et sentait son âme l'abandonner