Fonction Defensive Du Rire

émotions, les sentiments, les valeurs. I. La communication non-verbale Le langage non verbal permet la communication entre personnes de langues différentes : le rire et l’expression de la douleur sont les expressions non verbales parmi les plus universelles. Mais leurs signaux ne sont pas universels et doivent être interprétés en fonction du contexte socioculturel.   1. Le silence  Les silences font intégralement partie de la communication car ils expriment quelque chose. Il existe de multiples

« je chante les héros dont Esope est le père ». Jean de La Fontaine est un fabuliste appartenant au mouvement littéraire du classicisme, et en écrivant des fables il a deux buts : plaire (placere) et instruire (docere). Rappelons qu’une fable a une fonction didactique et éthique (analyse bien/mal), elle appartient donc au genre argumentatif puisqu’elle fait passer un message, on l’appelle alors apologue. Une fable peut être écrite en vers ou en prose et se sert des animaux pour faire passer un enseignement

sont importants. On instruit parallèlement le corps et l’esprit. La lecture consiste dans l’élection d’un sens. L’éducation n’est plus l’apanage de l’Église mais tend à devenir laïque. = même s’il s’agit d’une éducation de géant qui tend à faire rire, au delà des aspects caricaturaux se dégage un mélange de conservatisme et de renouveau humaniste. THÉLÈME La fondation de Thélème fait intervenir un autre mode d’éducation qui complète le précédent : Gargantua posait le problème d’une éducation

et qui ne devient claire que lorsqu'elle trouve le mot juste » Friedrich Hegel, Phénoménologie de l'Esprit, 1807.« Nous ne voyons pas les choses mêmes ; nous nous bornons, le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles » Henri Bergson, Le Rire, 1900.« Ce dont on ne peut parler, il faut le taire » Ludwig Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus, 1921.« La pensée n'a rien d'intérieur, elle n'existe pas hors du monde des mots » Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, 1945

choses. Pour empirer la situation, mentionnons qu’il est obstiné et, peut-être à cause de son expérience considérable, il rejette d’un revers de la main la possibilité d’être dans le tort. Si vous lui signalez une de ses erreurs, il se met sur la défensive et jette le blâme sur quelque chose, ou sur quelqu’un. Tom est un solitaire, il ne se confie à personne. Il ne s’associe à aucun des membres du personnel de supervision. Andy, lui, pour sa part, est le type du gars qui s’est fait lui-même. Il travaille

précis « encore perdu la nuit » « évidemment » « puez » , les exclamatifs sont nombreux : « quel désordre » « oh là là » « on le serait à moins » « que diable ». Il lui dit même « j’ai honte d’être votre ami » - Berenger est sur la défensive, il cherche des excuses, des explications « je me sens moins coupable puisque…. » « Il ferait moins sec, on aurait moins soif » « Ah ! non, en semaine, c’est moins fréquent » « je n’ai guère de distractions » + « la didascolie » il essaie de caher

sans parler, être présent un moment, répondre aux questions….. o être prêt à rencontrer l’autre, accompagner au quotidien….. - Prendre conscience du vécu de l’instant : o un bonjour, un au revoir, un sourire, un éclat de rire, un regard, un toucher, une main serrée, de la chaleur….. o reconnaître ses limites, passer la main aux collègues, s’effacer, se mettre à nu dans la relation, être humble, accepter l’opposition ou le refus de l’autre, respecter la parole

Jean, Gymnastse et Tolmere Ennemi : Merdaille, Toucquedillon et RacquedenarAbbaye idéale :Gargantua fait batir pour Frère Jean l’abbaye de Thélème,c’est un lieu utopique et libertaire puisque la règles a Thélème est « Fay ce que vouldras »Parcours rire et savoir :Tradition carnavalesque : comique grotesque, farcesqueGigantisme : Rabelais reprend un héro mythologique issu du folklore. Il tire son gigantisme de sa voracité puisque il représente le désir de connaître des humanistes ;le gigantisme s’appuie

a pris un premier amant avec qui elle a eu un enfant. Elle a tué cette enfant (fille) et laissé son amant se suicider. Elle a ensuite pris un autre amant. Elle a besoin d'un corps masculin à son contacte et d'un miroir pour exister.Le garçon : Sa fonction est utilitaire. Il introduit chacun des personnages dans le salon où ils devront passer l’éternité On apprend par lui à quoi ressemble l’enfer. Personnage simple, il s’étonne des idées que les clients ont sur le lieu dans lequel ils se trouvent.

UNIVERSITE DE GENEVE FACULTE DE PSYCHOLOGIE ET DES SCIENCES DE L’EDUCATION CAHIERS DE LA SECTION DES SCIENCES DE L’EDUCATION « T’es un enfant à caprices » Les stratégies défensives du métier d’éducatrice du jeune enfant Marianne Zogmal Avec une préface de Guy Jobert Publié avec le soutien de : L’Ecole supérieure en éducation de l’enfance à Lausanne - IPGL route de Chavannes 7 CH – 1007 Lausanne Tl : ++4121 625.15.26 Fx : ++4121.625.17.48 E-mail : admin@ipgl.ch www.ipgl.ch Le Centre