Fonction Esthetique Du Roman

conception du découpage de la société en trois ordres s'établit : guerriers, ecclésiastiques, travailleurs. L'Église catholique joue un rôle important : limitation des guerres ; progrès économiques (Cluny) ; échanges culturels (pèlerinages) ; architecture romane. En littérature cette époque a laissé des textes marqués par les préoccupations guerrières ou religieuses : • des textes religieux et des chroniques Chronique : récit des faits historiques rédigé au jour le jour, constituant la première forme de

lettres Le roman :notions I) Origine du « genre » 1)Rapport à l'épopée 2)Un produit de la Renaissance 3)Généricité douteuse a)Critère thématique b)Critère compositionnel c)Critère pragmatique II) Nature du « genre » romanesque 1)Essai de typologie 2)Le roman et le récit 3)Le roman et le réalisme 4)Le personnage 5)Les lieux 6)Le temps III) Fonctions du « genre » romanesque 1)Le désir de parole 2)La fonction rituelle 3)Fonction didactique IV)

du surréalisme datant de 1924: le surréalisme est un "automatisme psychique par le quel on se propose d'exprimer [...] le fonctionnement réel de la pensée. [...] en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale." (brochure texte 71 de Breton). Dans le paysan de Paris de Louis Aragon (1926) nous pouvons observer ce qui caractérise le surréalisme: la flânerie d'un homme dans les rues de Paris, mêlant réalité et rêverie (brochure texte 75 d'Aragon)

* Entrée bibliographique Feather, Jane. La captive du roi, Paris, Éditions J’ai lu, 2004, 409 pages. * Genre Roman d’amour historique * Un résumé synthétique C’est l’histoire d’une jeune Lady qui est victime d’un complot royal avec l’accord de son époux. En fait, celui-ci n’a épousé la dame que pour cacher à la bonne société ses déviances homosexuelles. Ses dernières seront à l’origine du complot. Stuart Neilson devra offrir sa femme droguée au roi Philippe afin que celui-ci implante

personnages, ce type de texte va du récit court (fable, nouvelle) à l’œuvre développée (roman). Ce texte peut rechercher le merveilleux (conte) ou la vraisemblance (nouvelle ou roman). À partir du XVIIe siècle, le roman se définit comme une fiction en prose, rapportant non seulement les aventures d’un ou de plusieurs personnages mais encore leur évolution psychologique. À partir de la fin du XVIIIe siècle, le roman devient une forme commode pour accueillir toutes sortes de récits et de projets qui

On a souvent tendance à dire que l’art ne sert à rien car il n’a aucune fonction pratique. Baudelaire lui-même semblait limiter considérablement le rôle de l’art en affirmant : « Je crois que l'Art est et ne peut être que la reproduction exacte de la nature ». Or pour l’homme la nature c’est le Beau par excellence, ce qui n’a pas été altéré par l’homme, ce qui est pur, une véritable création divine. Ainsi l’art apparaîtrait comme ce qui tendrait à représenter la beauté de ce qui nous entoure, à magnifier

fois : un roman précieux (ouvrage court mais intrigue centrale simple et nombreux épisodes secondaires viennent s'y greffé afin d'illustrer la thèse centrale de l’œuvre : les désordres amoureux), un roman historique surtout un roman d'analyse (persos acquièrent une psychologie et se posent des problèmes subtiles tels qu'on les examinerait dans les salons) C'est sans doute l'une des œuvres romanesques les + célèbres du classicisme. Le texte suggéré à notre analyse constitue l'incipit du roman dans lequel

sont restés les mêmes. Oui ou Non? Oui et Non, il y a eu une évolution, du 15e au 17e siècle, souvent en fonction de modes littéraires :« la littérature mystique au 15e siècle, l'antiquité classique et chrétienne au 16e siècle, ou encore le roman et les écrits satiriques au 17e siècle ».Les livres se sont transformés au fil des ans, du fonctionnelle nous sommes passés aux valeurs esthétiques (la présentation, la clarté des textes, la mise en page moderne...) Au début s'était plutôt des gens de

illégitime dans la littérature écrite dominante, savante, cultivée, légitime. Les œuvres apparaissent dès lors comme des « bricolages » (ou « bris-collages ») culturels, configurés selon des M. Bakhtine, « Les études littéraires aujourd’hui », Esthétique de la création verbale, Paris, Gallimard, NRF, Bibliothèque des Idées, 1979, pp. 339-348. 2 J.-M. Privat, Bovary Charivari, Paris, CNRS Editions, coll. Littérature, 1994, p. 9. Cet ouvrage est le texte fondateur de la démarche ethnocritique. 3 J

dramatiques (Jean Pliya et Maurice Mêlé) et même à des poètes (Richard Dogbeh, entre autres). D’un point de vue historique, les écrivains béninois se sont, si l’on puit dire, illustrés dans les différents genres littéraires dans l’ordre suivant : le roman avec L’Esclave[6] de Félix Couchoro, le théâtre avec les pièces créées dans les années 1933-1937 par les élèves dahoméens de l’Ecole Normale William-Ponty, le conte et la légende avec Contes dahoméens[7] de Julien Alapini et Trois légendes africaines