Fonctions Des Indications Scéniques

Le médecin joué par Toinette s'oppose au traitement ordonné par Purgon et propose un contre-traitement irrationnel.DÉVELOPPEMENT (7-8 MINUTES) PREMIÈRE PARTIE : L.1 À L.12 : AUTOPORTRAIT SATIRIQUE DE TOINETTE EN MÉDECIN « Toinette, en médecin » [indication du début de la scène] se présente à Argan. Le texte invite à jouer sur le déguisement et sur le travestissement de la voix de l'actrice : le contraste doit être outré, presque invraisemblable comme semble en témoigner la didascalie de la scène précédente :

exclamation, expressivité. L'apparition finale : Oreste rentre sur scène avec l'instrument du crime (matricide) + l'horreur du crime qui vient d'être commis : arrivée du tueur ; épée sanglante(indication visuelle) : métonymie Electre, lien entre le hors-scène et les spectateurs : Elle donne des indications aux spectateurs elle est impatiente quasiment un suspens, on attends le crime comme le personnage + Dans un second temps elle apprend aux spectateurs que le crime a été commis. L'énonciation :

folie » qui altère peu ou prou son image héroïque. Dans la pièce d’Aigaliers, on voit nettement que « l’épée permet de matérialiser sans transition le passage du guerrier au meurtrier, du courage à la folie ». De même, chez Corneille, « l’épée […] fonctionne de la même façon : elle est emblème, métonymie de la mort et transmet le même message ». Chaque fois, en effet, « la folie de l’épée destitue le guerrier – du moins momentanément – de son statut de héros ». Théa Picquet examine le spectacle de «

notre vie ; puisqu’on est de la réalité, et ce processus de réception renvoie à la réalité. On utilise donc notre connaissance de la réalité pour comprendre ce qui se passe devant nos yeux. Dans le cas où nous découvrons une part de cette réalité scénique, nous la comparons avec une autre réalité, celle à laquelle nous sommes confrontés tous les jours. La reconnaissance se fait à plusieurs niveaux grâce à notre connaissance élémentaire. Par le recours à cette analogie, nous pouvons recevoir l’œuvre

exemples 4. Le texte explicatif: Il est considéré comme le niveau supérieur du texte informatif, il prépare l'argumentation et cherche à informer, à expliquer et à rendre plus clair un sujet que le lecteur ou l'interlocuteur est censé ignorer. Il a une fonction pédagogique. 4.1. Ses caractéristiques:   Le présent de l'indicatif.   Des termes d'articulation du discours pour marquer les étapes de l'explication (d'abord, ensuite...)  6. Le texte injonctif: Il pousse à l'action, à faire appliquer des

(déroulé de l’événement) ➢ Imaginer la conception ← Recherche de l’idée, porteuse de l’événement et déclinable dans le temps et l'espace ← définition d'un fil conducteur pour assurer la cohérence d'ensemble ← aménagements scéniques (décors...) et de la salle (utilisation de l'espace) ← illustration et mise en scène des messages (scénographies, audiovisuels, artistique...) ➢ Accompagner les intervenants ← conseil et recommandation dans l'organisation des messages

comporte vingt (20) scènes. - Les règles de bienséance (ne pas se tuer, pas de barbarie sur scène) - La poétique - La règle des trois unités (un jour, un lieu, une action). 3.5. L’espace théâtral On peut généralement distinguer: - L’espace scénique est le lieu « physique » où jouent les acteurs et qui est délimité par l’estrade. Il s’agit de l’« avant-scène », du « fond de la scène », du « côté jardin » (à gauche pour le spectateur) et du « côté cour » (à droite). Cet espace peut être observé

moindre ambiguïté pour le lecteur. Il insère dans son texte une didascalie24, "C'est un scélérat qui parle" (entre les v. 1487 et 1488), qui est remarquable à plusieurs titres. D'abord, par son existence même, car dans le théâtre classique, les indications scéniques sont rares. Le plus souvent, le jeu est sous-entendu dans le texte même des répliques. En outre, cette didascalie est remarquable car elle ne précise pas à l'acteur ce qu'il doit faire. Quelque vers plus bas dans notre extrait, on trouve la

théâtre se rapprocherait de celui de Bernard-Marie Koltès (1948-1989) ou de certaines pièces de Jean-Luc Lagarce (1957-1995). La fonction du monologue est ici d'imposer une lourde charge au personnage silencieux qui reçoit le monologue. Dans « Art », le procédé du monologue est relativement aménagé par rapport à ce modèle. Néanmoins, ce souci du monologue et du jeu scénique qu'il est susceptible de produire est bien un objet d'exploration commun à ce théâtre. Concernant « Art », une filiation ou

21 avril 1699. Séance 2  Obj : Comparer les sc d’expo tragiques et comiques https://sites.google.com/site/cmppremiere/home/-2019-2020/litterature/le-theatre-du-xviie-siecle-au-xxie-siecle/jean-racine-phedre-16771. Du tragique chez Racine 2. Les fonctions de la scène d’expo Les scènes d'exposition Quatre possibilités -Le monologue du héros Malgré la critique du siècle classique qui condamne ce procédé, la tragédie utilise souvent le monologue ds la sc d'expo. En revanche, la farce et la comédie y