Fondation de coopération scientifique

Politiques de Lyon La coopération décentralisée francomarocaine dans la gestion de la ressource en eau : le cas de la coopération entre le Département de l'Hérault (CG34) et la Région Souss Massa Drâa Diplôme de l'IEP de Lyon 4ème année 2009 - 2010 CHOUKOUR Marc - Olivier Sous la direction de : Filali Osman Soutenu le : 7 septembre 2010 Membre du jury :Serge Miquel Table des matières Introduction . . 4 5 6 Première partie : Quel cadre d'analyse pour la coopération décentralisée franco-marocaine

Les répercussions d'ordre pédagogiques 29 18.Conclusion : 32 20.Références bibliographiques 34 Introduction : Dans le cadre du cours d’aménagement linguistique dans les pays du sud, nous avons été amenées à effectuer une recherche scientifique concernant un pays d’Afrique subsaharienne, membre de l’Organisation Internationale de la Francophonie. L’objectif de ce travail était d’analyser la situation linguistique au sein d’un pays, en incluant nos hypothèses et nos remarques aux données

International Project on Technical and Vocational Education Projet international pour l'enseignement technique et professionnel Le partenariat dans l’enseignement technique et professionnel Coopération entre institutions de formation et entreprises dans le domaine de l’enseignement technique et professionnel Séminaire pour cadres dans les pays africains francophones Š Ouagadougou, Burkina Faso Š 10-14 février 1997 Le Projet international pour l'enseignement technique et professionnel (UNEVOC)

dans le cadre de la coopération internationale à l’Etat, aux collectivités locales et autres Ets publics ; 18. Les biens, marchandises, travaux et prestations de services destinés à être livrés à titre de don dans le cadre de la coopération internationale aux gouvernements étrangers par le Maroc ; 19. Les biens, marchandises, travaux et prestations de services destinés à être livrés financés par des dons de l’Union européenne ; 20. Les matériels éducatifs, scientifiques ou culturels importés

hautement symbolique, fort d’une longue tradition spirituelle et d’une implantation naturelle remarquable, le WWF espère contribuer par cette rencontre à un processus de “réenchantement du monde”, mouvement qui réunirait femmes et hommes de foi, scientifiques, politiques, ou simples citoyens désireux de construire un avenir où les êtres humains vivent en harmonie avec eux-mêmes et avec le monde qui les entoure. Daniel Richard Président du WWF-France Daniel RICHARD Président du WWF-France 1

entreprises sur 3 millions représentent à elles seules plus de la moitié du PIB, on va donc essentiellement parler des grandes entreprises plutôt que les TPE et des PME. Tiers secteur : Coopératives 20 000 Mutuelles 1 800 Associations 1 million Fondations 1 500 En France, on distingue un million d’associationsrégies par laloi 1901, nombre qui a tendance à croitre chaque année (facilité de création + utilité). Une association est la « convention par laquelle deux ou plusieurs personnes mettent

don dans le cadre de la coopération internationale à l’Etat, aux collectivités locales et autres Ets publics ; 18. Les biens, marchandises, travaux et prestations de services destinés à être livrés à titre de don dans le cadre de la coopération internationale aux gouvernements étrangers par le Maroc ; 19. Les biens, marchandises, travaux et prestations de services destinés à être livrés financés par des dons de l’Union européenne ; 20. Les matériels éducatifs, scientifiques ou culturels importés

une « physique sociale », c’est-à-dire un savoir aussi objectif que les sciences physiques, mais qui porterait sur le domaine des organisations humaines et des relations sociales, émerge au début du XIXe siècle. Le premier à proposer une théorie "scientifique" des phénomènes sociaux au début du XIXe siècle est le comte de Saint Simon (1760-1825). Il lui donne le nom de physiologie sociale, qu'il replace dans une physiologie générale qui comprendrait aussi l'étude des êtres collectifs et de leur organisation[8]

l'on regroupe sous l'appellation standard d'organisations humanitaires": 1°) Les organisations non gouvernementales (O.N.G.) , ou encore associations de solidarité internationale.  Leur champs d'intervention s'étend à de nombreux domaines de coopération avec les pays en voie de développement. Il peut s'agir soit d'assistance pure (fourniture de matériel ou de denrées), soit d'aide au développement. Leur financement dépend en grande partie de l'Etat, même si ce dernier n'est pas censé contrôler

compétences humaines, techniques et technologiques de haut niveau. Dans leur espace d’action et de décision, ils ont les aptitudes de vision, de conviction et d’humanisme pour accroître la valeur ajoutée des organisations et des entreprises ». Depuis sa fondation en 1985, le Groupe ESIG s’est fixé comme vocation de former des managers de haut niveau pour les entreprises marocaines et étrangères. L’objectif visé est non seulement de former un gestionnaire efficace dans son domaine de compétence mais aussi