Fondements Totalitarisme Stalinien

Professeur Alain Touraine 89 QUELLE DÉMOCRATIE? Professeur Luis Villoro 97 Avant-Propos Le mot démocratie est l'un des termes les plus usités du vocabulaire politique. Cette notion forte, par sa dimension transculturelle et parce qu'elle touche au fondement même de la vie des êtres humains en société, a donné matière à de très nombreux écrits et réflexions; il n'en demeure pas moins qu'aucun texte adopté au niveau mondial par des responsables politiques n'était venu jusqu'alors en cerner les contours

bâtir un monde économique ouvert et créer une nouvelle sécurité collective. On retrouve cela dans le monde anglo-saxon lecture des 14 points du 18 janvier 1918 de Wilson  On cherche à reconstruire le monde selon 3 principes: * Le libéralisme fondement de l'idéal humaniste (liberté échanges et transports) * La démocratie inspire principes du droit international (droit des peuples à disposer d'eux m et refus de la diplomatie secrète) * La solidarité entre les nations avec la création de

par Martin Luther (allemand), elle conduit à une scission entre catholiques et protestants. Elle critique la vente des indulgences (l’élément déclencheur de cette réforme). En 1517, il affiche ses 95 thèses sur l’église de Wittenberg. Les nouveaux fondements sont : Soutien politique des princes allemands qui s'opposent au pouvoir centralisateur de l'empereur. Solo Fide  Seule la foi sauve les hommes (pas les indulgences, les prières) Sola Scriptura  Seuls les écrits, la parole du christ, comptent

le langage courant une synonymie entre §§§§ Ce terme fondamental renvoie à deux idées. Ce qui est au fondement, ce qui soutient du point de vu architecturale, la constit c’est pareil. C’est plus important que le reste, mais aux points de vues architectural c’est le fronton. La constit est à la base et au sommet de l’édifice. Hiérarchiquement, la constit est tout en haut. Au nouveaux fondement raisonne par une logique structurelle. •1 La constit est le support des normes. •2 La constit comme

violente qui, comme toujours à l'échelle de la population chinoise a fait plusieurs millions de victimes. Elle est la marque d'une fin de règne où le dictateur tente une dernière fois d'imposer son pouvoir en pratiquant les méthodes « classiques » du totalitarisme, endoctrinement forcé, camps de concentration, éliminations, noyautage et espionnage permanent, tentative de contrôle de la pensée, le tout face à des populations qui entrent progressivement dans la modernité. Mao, malade, réunit, en avril 1969

laquelle les conditions et les niveaux de vie étaient sans rapport avec le niveau de développement d’une grande puissance industrielle. – Les réformes de 1965 et 1979 ayant échoué, l’économie soviétique reste figée dans le modèle d’organisation stalinien fondé sur l’omnipotence du Parti communiste et sur la subordination des entreprises aux directives du Gosplan et des ministères sacrifiant la compétence et l’efficacité économique à l’idéologie sur laquelle reposait le pouvoir des apparatchik et

discours plus traditionaliste qu'avant. Les communistes du KPD, qui réduisent Hitler à un simple pantin du grand capital, lui rendent service en combattant avant tout les socialistes, au nom de la ligne « classe contre classe » dictée par le Komintern stalinien, et en refusant toute action commune avec eux contre le NSDAP. Le KPD va jusqu'à coopérer avec les nazis lors de la grève des transports à Berlin en 193227. Fin 1932, la situation se dégrade encore sur les plans économique et social (plus de 6 millions

............................... 80 A. L'éphémère cycle parlementaire ..................................................... 81 B. Le cycle présidentialiste ................................................................ 81 C. Autoritarisme et totalitarisme ........................................................ 82 §2 : Les deux caractéristiques majeures de la vie politique réelle des pays du Tiers-Monde ............................................................................................

mettent en œuvre. Le sujet se saisit, au-delà de ses œuvres et contre elles, comme silence, comme étrangeté au monde dit social et aussi comme désir de rencontre avec l'autre, reconnu comme sujet. Nous le retrouvons dans la protestation contre le totalitarisme et la torture, contre les langues de bois et les pseudo-rationalités des politiques de puissance, dans le refus des [16] appartenances. De révolutionnaire, il est devenu libertaire. Ce renversement de la notion de sujet ne va pourtant pas sans

une c'est par le biais de l'éducation que nous allons tendre à l'unanimité. Il ne faut pas tenir compte seulement des éléments de Rousseau car l'éducation serait une propagande pour que tout le monde pense pareil ce qui reviendrait à parler de totalitarisme. D'autres auteurs vont compléter et équilibrer sa pensée. Pour Rousseau, peut-être à la différence de Hobbes, la nature humaine individuelle n'est pas mauvaise mais en société l'homme devient un loup pour l'homme. Au fond, pour Rousseau