Fondements Totalitarisme Stalinien

déterminations issues de son inconscient (cf. Alain : « La psychanalyse n’est qu’une psychologie de singe »). Les esprits religieux déplorent évidemment que la foi soit ramenée par Freud au simple rang d’une « illusion » parmi d’autres. Le marxisme « stalinien » ne voit dans la psychanalyse qu’une pratique bourgeoise, et dans l’inconscient tel que le décrit Freud la preuve des « perversions » de la mentalité bourgeoise : la psychanalyse a en conséquence été durablement interdite dans l’ex-URSS. Le « freudo-marxisme »

une enfance difficile (à cause d’une discipline trop sévère, du refus de s’allier…). Se réclamant du marxisme tel qu’il était compris par l’URSS, prônant l’imitation de la révolution soviétique. La bolchevisation du parti l’aligne sur le modèle stalinien. La discipline interne fut érigée en dogme, les minorités interdites, l’unité de formation et de pensée renforcée, la presse contrôlée (l’Humanité). Il était trop révolutionnaire pour séduire et ce ne fut qu’en 1936 lorsqu’il s’allia à la SFIO et

déterminations issues de son inconscient (cf. Alain : « La psychanalyse n’est qu’une psychologie de singe »). Les esprits religieux déplorent évidemment que la foi soit ramenée par Freud au simple rang d’une « illusion » parmi d’autres. Le marxisme « stalinien » ne voit dans la psychanalyse qu’une pratique bourgeoise, et dans l’inconscient tel que le décrit Freud la preuve des « perversions » de la mentalité bourgeoise : la psychanalyse a en conséquence été durablement interdite dans l’ex-URSS. Le « freudo-marxisme

mais cela a posé un autre problème. J’ai constaté que le XXè siècle était peut être trop exceptionnel, les exemples décidément trop spécifiques, pour servir de preuves historique au caractère politique du sport moderne. Impérialisme anglais, totalitarismes, guerre froide sont si « caricaturaux » qu’ils ne peuvent pas honnêtement servir de référents comparatifs pour une analyse contemporaine. L’Histoire offre un recul utile mais le temps peut rendre vieillies voire obsolètes les leçons qu’on en tire

L'Etat produit l'autocontrainte comme refoulement des pulsions violentes aux effets imprévisibles. On garantit la sécurité et un univers social imprévisible : la concurrence se transforme dans des limites prescrites (Elias) 2. ORIGINE ET FONDEMENT • La cité Elle est le terme ultime d'un enchaînement de causes finales (couple, procréation entretien de la famille, village, cité). Elle est la communauté achevée (les hommes en sont les musiciens dans la délibération publique

et contribue à la fortune historiographique de ce qui deviendra le modèle labroussien. À la jointure de l’économique et du social, l’historien s’appuie sur le mouvement des prix pour éclairer l’évolution des revenus, lesquels constituent le fondement économique des classes sociales dont il Essaye de dessiner les contours. L’ouvrage s’attache à mettre au jour mouvements des prix aux rythmes dissemblables, parfois contradictoires, qui dessinent l’évolution de la conjoncture économique du XVIIIe

faut pas confondre un régime autoritaire et un régime totalitaire. Sur un plan strictement juridique, le concept de totalitarisme est un concept ayant pris naissance après la Seconde Guerre mondiale afin de qualifier certains des régimes politiques apparus entre temps. Il a été dégagé par deux auteurs, à savoir, Hannah Arendt et Raymond Aron pour définir les régimes nazis et staliniens. La thèse d'Hannah Arendt consiste à affirmer qu'il existe une différence fondamentale de nature entre les systèmes

d’une politique d’intégration et de convergence. 4 © Hachette Livre – Histoire Terminales ES-L-S – La photocopie non autorisée est un délit. ES-L 2. Le temps des démocraties populaires (1948-1989) L’étude de la mise en place de l’ordre stalinien permet de montrer la dépendance de ces pays envers l’URSS. Les révoltes des années 1950 et les stratégies réformistes font apparaître une différenciation marquée entre les pays. L’entrée en jeu progressive des sociétés civiles est mise en valeur

«brutalisation », inverse de la « civilisation ». Le processus de civilisation s’effondre en tout ou partie. Ceci débouche sur ce que Mose (histoirien) nomme « brutalisation » (dans De la grande guerre au totalitarisme). Il explique comment la Grande guerre a permis la naissance du totalitarisme. Cette société féodale valorise la guerre et l’encadre coutumièrement. Ceci ne signifie pas, cependant, qu’il n’y pas de dommages collatéraux. Au 19ème siècle, on règlemente internationalement la guerre.

colonialisme, les tentations impérialismes, l’antisémitisme, le racisme…En fait de tout ce qui a constitué les origines du totalitarisme (Hannah Arendt). Le colonialisme, le racisme, … n’étaient pas des éléments consubstantiels de la mondialisation libérale, ils l’accompagnaient. Ils ont été défaits. Le totalitarisme ne reviendra pas, il a été défait. Les Origines du Totalitarisme (Hannah Arendt, 1951) : résumé Sur l’antisémitisme Hannah Arendt analyse dans ce livre l’émergence de l’antisémitisme politique