Fonderie Deberny et Peignot

100 x 62 cm Pour la compagnie générale transatlantique L’ etoile du Nord L’ étoile du nord 1927 Affiche pulicitaire en lithographie) Pour la compagnie ferroviaire Pullman Grand Prix de l’Affiche Typographie: Bifur Typographie: Bifur Fonderie Deberny et Peignot 1929 Pivolo Pivolo (Pie vole haut) 1924 Affiche pulicitaire Llithographique Conclusion On peut comprendre la valeur de l’artiste, par sa vision, qui était peu commune et novatrice, son parcours, son expression plastique et son analyse

peuvent rivaliser dans l’espace urbain avec toute autre forme visuelle, décide de créer un alphabet, le bifur, dont voici ici le spécimen, c’est-à-dire un catalogue de présentation destiné aux imprimeurs, publié par la grande fonderie française Deberny et Peignot. Cette fonderie sera à la pointe de la modernité jusqu’aux années 1950. Bifur est un caractère typographique basé sur une recherche qui concerne l’essence même de la lettre. Soit ce qui pourrait en subsister si on décidait d’en tirer le substrat

lisibilité secondaire. L’esthétique prime sur le message. La forme prime sur le fond > AXE BAROQUE. Typographes/graphistes clé (années 50/60) : «LA LETTRE UN OBJET DE CRÉATION». MARCEL JACNO (fr.). Graphiste et typographe. Typo. dessinées (Fonderie Deberny&Peignot) > Le Chaillot (1951), le Film (1934), Le Scribe et le Jacno (1950) / ROBERT EXCOFFON (fr.). Graphiste et typographe. Typo. dessinées > le mistral (1953), le Choc (1955) et le Calypso (1958) / PIERRE FAUCHEUX (fr.). Photocomposeur avant d’être

hebdomadaire satirique 1901-1914 George Auriol : caractères Auriol, Française légère, Robur 1901-1910 Alfons Mucha : Documents décoratifs 1902 Couverture blanche-ivoire, Gallimard 1911 Caractère Cochin, s’inspirant de lettrages du XVIIIe siècle, fonderie Peignot 1912 5 Henri de Toulouse-Lautrec : Divan japonais, affiche 1893 AM Cassandre : Au bûcheron ; Charles Loupot : Voisin, affiches commerciales dans l’esprit du Mouvement moderne 1923 Paul Colin : Revue Nègre, Tabarin, affiches pour des spectacles

caractères comportent des variantes dessinées en plusieurs chasses : - serré (condensed), - étroit (narrow), - normal (normal), - large (large), - écrasé (extensed). ha u d'o teu eil r oeil talus hauteur en papier épaule (gauche) marque fonderie Boîte plate divisée en compartiments (appelés cassetins) de tailles inégales, contenant la totalité des caractères en plomb d’une police typographique. Les lEttrEs cApitAlEs, ou MAjusculEs, étaient rangées dans les cassetins du haut, d’où l’appellation

maîtresses Laure de Berny , suivit chaque étape de sa carrière, le conseilla, lui apporta soutien, tendresse, et aussi les deniers dont il manquait sans cesse. Son fils alexandre deberny sauva de la faillite une partie de l’imprimerie de Balzac dont il fit une entreprise florissante : la fonderie de caractères « Deberny et Peignot » qui allait durer jusqu’en 1970. À la mort de Madame de Berny, Balzac désemparé écrivait : « La personne que j’ai perdue était plus qu’une mère, plus qu’une amie, plus

Balzac s’associe à Urbain Canel et Delongchamps pour éditer Molière et Jean de La Fontaine. Lâché par ses associés le 1er mai 1826, Balzac se retrouve avec une dette de seize mille francs46, ce qui ne l'empêche pas, dès le 15 août 1827, de créer une fonderie de caractères avec le typographe André Barbier47. Son affaire se révèle un immense échec financier : il croule sous une dette s’élevant à cent mille francs48,49. Après cette faillite, Balzac revient à l’écriture, pour y connaître enfin le succès

s’associe avec Urbain Canel et Delongchamps pour éditer Molière et Jean de La Fontaine. Lâché par ses associés le 1er mai 1826, Balzac se retrouve avec une dette de seize mille francs[44], ce qui ne l'empêche pas, dès le 15 août 1827, de créer une fonderie de caractères avec le typographe André Barbier[45]. Son affaire se révèle un immense échec financier : il croule sous une dette s’élevant à cent mille francs[46],[47]. Après cette faillite, Balzac revient à l’écriture, pour y connaître enfin le

Balzac s’associe à Urbain Canel et Delongchamps pour éditer Molière et Jean de La Fontaine. Lâché par ses associés le 1er mai 1826, Balzac se retrouve avec une dette de seize mille francs45, ce qui ne l'empêche pas, dès le 15 août 1827, de créer une fonderie de caractères avec le typographe André Barbier46. Son affaire se révèle un immense échec financier : il croule sous une dette s’élevant à cent mille francs47,48. Après cette faillite, Balzac revient à l’écriture, pour y connaître enfin le succès

et de La Fontaine. Il acquiert aussi une partie du matériel de l'ancienne fonderie Gillé & Fils[33] et fonde une imprimerie. Toutefois, les livres ne se vendent pas aussi bien qu'il le souhaitait et la faillite menace. Lâché par ses associés, Balzac se retrouve, le 1er mai 1826, avec une énorme dette[34] . Au lieu de jeter l'éponge, il pousse plus loin l'intégration verticale et décide, le 15 août 1827, de créer une fonderie de caractères avec le typographe André Barbier[35] . Cette affaire se révèle