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Emile Zola (1840-1902) EST UN ÉCRVAIN et journaliste français. Il écrit Thérèse Raquin en 1867. C’est son premier grand roman. On distingue dans l’œuvre le naturalisme. Le naturalisme est un mouvement artistique et littéraire du XIXe siècle qui a comme premier principe la nature. Ce mouvement est très analytique et cherche à montrer la vérité. Les écrivains veulent décrire la nature de l’humanité avec une approche scientifique. Chaque chapitre fait constater un tempérament humain. L’ouvrage d’Emile

beauté prend sens symboliquement d’abord dans son texte, mais aussi, par la suite, dans un plan plus large. Ce plan n’est autre, dans l’œuvre de Jean Giono, qu’une quête absolue, une recherche permanente de quiétude et de bien-être. Il met alors son art, ainsi que sa vie, au service de cette quête. Pour bien comprendre la logique et le cheminement de mon analyse, il faut la voir comme une recherche personnelle dans le cheminement de la vie de Giono qui va de paire avec son écriture. Plus qu’une

lexicales et syntaxiques actuelles (à quelques exceptions près). 1696 vit d’ailleurs la publication du premier dictionnaire de la langue française, et, soixante et un ans plus tôt, Richelieu créa l’Académie française, ayant surtout pour but d’imposer un « art officiel », utilisant la langue du Roi. Les écrivains classiques cherchent aussi à s’imposer des règles, des contraintes, au nom de la vraisemblance, et à peindre la vie telle qu’elle apparaît à leurs yeux et à leur philosophie. Voici les caractéristiques

Georges Pompidou, né le 5 juillet 1911 est petit-fils de paysans et fils d'enseignants auvergnats. Il fit ses études à Albi en région Midi-Pyrénées. Enfant déjà, Georges Pompidou était un très grand lecteur, il lisait tous les genres, notamment les classiques et dévorait près d'un livre par jour. C'est en classe de Seconde que son professeur (R. Mercadier) lui révèle la poésie et passionne Georges pour le grec. Après son baccalauréat, il est reçu en 1931 à l'École Normale Supérieure à Paris. Il entame

------------------------------------------------- LE METIER DE STYLISTE Par Maeva ° Qu’est-ce que le métier de Styliste ? Le styliste est le partenaire que l’entreprise s’adjoint pour l’orientation, l’élaboration, la création d’un ou plusieurs produits. Les modèles que le styliste confectionne, peuvent parfois être « uniques », par exemple dans la haute couture. On parlera donc plus de créateur de mode, plutôt que de styliste. Cependant, il y a aussi des stylistes industriels, c’est-à-dire

Université Omar Bongo République gabonaise Faculté de Lettres et Sciences Humaines Union-Travail-Justice Département des Lettres Modernes Option : Littératures Françaises Licence III Intitulé du cours : Histoire du livre Sujet  Le manuscrit. Présenté par : Sous la direction de : BIDZOUE BI-NANG Steeve M. NDONG Rodrigue OYANE ATOUGOU Ulrich P. MILOUNGUI BISOLA Faesolath KEUNANG Désirée ABOGO NTOUTOUME Plan

durée, pas de nature. Le bonheur et le plaisir ne sont qu'une seule et même chose. Notre corps ne supporte qu’une intensité limitée de plaisir, au delà d’un certain seuil, il y a la douleur. Il devrait y avoir une méthode pour user des plaisirs. Un art de vivre dans l’usage du plaisir qui devrait nous donner le maximum de bonheur. Mais le bonheur est-il une somme de plaisirs ? Est-il exact que le bonheur et le plaisir soit une seule et même chose? Le plaisir est certainement une motivation

peut faire à Steuart, qui a intitulé son premier chapitre : du gouvernement du genre humain ; c' est le reproche qu' on peut faire aux économistes du dix-huitième siècle, dans presque tous leurs écrits, et à J J Rousseau dans l' encyclopédie (art économie politique ). Il me semble que depuis Adam Smith on a constamment distingué p2 ces deux corps de doctrine, réservant le nom d' économie politique à la science qui traite des richesses, et celui de politique seul, pour désigner les

consacrer des cérémonies. En effet, plusieurs temples et jardins, construits par les japonais, sont dédiés aux Kami. Certains moines, les plus marquants, étaient représentés par des sculptures ou des peintures car ils étaient vénérés comme des dieux. Art : L'art est partout dans cette civilisation. Que se soit dans l'architecture, dans les sculptures, dans l'art culinaire, dans l'écriture, les coiffures, les vêtements ou encore les jardins les japonais accordent toujours une grande importance au côté

Lautréamont « cache toi guerre ». • Faire sortir la morale de ses gonds démolir pour reconstruire : ils cherchaient à poursuivre le travail de déconstruction entamé par la guerre, profiter du nihilisme intellectuel ambiant pour saper les bases d’un art bourgeois totalement déconsidéré. Tout ceci ayant pour but de démocratiser l’art. • Pour cela, ils vont chercher à libérer et explorer le langage. En 1920, Éluard est le seul du groupe à affirmer que le langage peut être un « but », alors