Forage dirigé

garantissent l’exclusivité dans la région concernée, autorisent les recherches, et donc de reconnaître ce que le sous-sol recèle comme matière. Par la suite, des études préliminaires peuvent s’ensuivre pour exploiter le sous-sol. Puis, une autorisation de forage peut être accordée, pour enfin déboucher sur un permis d’exploitation. Le problème posé par ces activités Jusqu’au début 2011, l’existence de ces permis d’exploration accordé par l’Etat français à Celtique Energie restait inconnue du grand public

des forages inutiles et coûteux, il faut d'abord faire de la prospection. Il s'agit de repérer les endroits du sous-sol susceptibles de contenir du pétrole. Pour cela, on recherche des indices en surface ou on détermine les caractéristiques des couches souterraines par des méthodes indirectes. Ces études permettent d'identifier les zones où il y a de forte chance de trouver du pétrole mais ne garantissent en rien sa présence ! Celle-ci ne peut être confirmée qu'à l'aide d'un premier forage à titre

sismiques) une formation rocheuse susceptible de contenir du pétrole (souvent en-dessous d'une couche de roches imperméables tel l'argile), on procède au forage du puits. Le forage creuse jusqu'un peu en-dessous de la formation fertile, et pendant cette opératoin, une boue spéciale est déversée dans le puits pour retenir le pétrole. Aprés ce forage, le puits est en "trou ouvert" (open hole). On en prote pour faire une série de mesures des paramètres de la roche. Ces mesures sont réalisées par des

l’eau. En collaboration avec Jean-François Auby (directeur général de l’entreprise) et soutenu par une réelle volonté politique locale et départementale, ils cherchent une source idéale dans un endroit naturel et protégé, et avec des conditions de forages optimales. C’est dans cette recherche que Christian Archambault découvre SORE, au cœur du parc régional des Landes de Gascogne, cette source s’impose comme le bon choix. En effet au cœur de cet écrin vert, préservé de toute pollution, jaillit une

profondeur. Ces microbulles de méthane sont coincées entre les strates minérales qui se superposent en feuillets sous les nappes phréatiques. Très coûteuse, l’extraction de ce gaz non conventionnel devient possible grâce à l’évolution des techniques de forage et rentable comparées avec la hausse du prix des hydrocarbures. Selon les géologues de l’Institut français du pétrole (IFP), le gaz de schiste représenteraient plus de quatre fois les ressources de gaz conventionnel. De quoi, si on arrivait à les

constitué en grande partie d’eau, à laquelle on a ajouté du sable, des biocides (pour réduire la prolifération des bactéries), des lubrifiants mais aussi des détergents. Voir schéma ci-dessous. Le prix d’un forage avoisine les 10 Millions de dollars. À la fin des opérations, on referme le forage à l’aide de bouchons de ciment. Plusieurs autres techniques sont à l’étude mais ne sont pas officialisées comme par exemple remplacer l’eau par du propane, effectuer une stimulation électrique, ou encore chauffer

d’obtenir une image du réservoir en dessous du puits. En cours de forage on peut utiliser comme source de puits l’outil de forage lui-même, ce qui permet d’obtenir au fur et à mesure de l’avancement une image des formations non encore forées (prédiction sous le puits). La figure 6 montre une comparaison entre un PSV transposé obtenu avec l’outil de forage comme source ( drill-bit ), et le PSV classique obtenu dans le même puits après forage avec une source en surface et un géophone de puits. Les PSV présentés

nécessaire pour réduire l'émanation ou la stopper. La plupart des pays ont un règlement concernant l'extraction. Au Québec, le gouvernement a interdit l'exploitation dans le golfe du fleuve Saint-Laurent. Aux États-Unis, il y aurait plus de 500 000 forages d'exploitation actifs dont 93 000 au Texas et 71 000 en Pennsylvanie mais il voudrait le réduire de 5 à 10%. Le Québec achète à l'Alberta pour 14 milliards de dollars en gaz et en pétrole annuellement. L'exploitation du gaz entrainerait plus de 500

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qui sont injectés ou encore des eaux usées extraites du puits après que le schiste ait été fracturé. II- http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0202262982567-tout-comprendre-sur-le-gaz-de-schiste-362235.php Le forage du gaz de schiste par hydrofracturation est fortement remis au cause. Il présente davantage de risques pour l'environnement que l'exploitation du gaz conventionnel, note le cabinet de conseil AEA chargé du rapport sur les incidences environnementales