Force Et Faiblesse Assurance

liquidité, etc…) Audit stratégique et opérationnel 34 Diagnostic,  INTERNE  EXTERNE Audit stratégique et opérationnel 35 Diagnostic interne  Faiblesses : défaillances de l’entreprise  Handicap à :  À combler  À éliminer  À transformer  À protéger Apport du stratège : transformer une faiblesse en force Audit stratégique et opérationnel 36 Diagnostic interne Questions à se poser :  Les ressources humaines ?  L’outil de production (adéquate? obsolète

Puis le contraste entre Dom Juan, un noble qui assume son mode de vie dépravé et Almaviva, un seigneur qui doit prendre des précautions pour ne pas ébruiter ses intentions libertines. Ces divergences passent par des stratagèmes distincts, et une force oratoire partagée, puis bien sur par un écart de cent ans qui les séparent et octroie a chacun différentes libertés d'expression. D'abord, les stratagèmes et méthodes employées sont différents d'un valet à l'autre. C'est ainsi que l'on remarque que

satisfaire ses propres intérêts au détriment de ceux des autres. Cette attitude s'utilise pour défendre une position qu'on estime juste, lorsqu'on veut faire respecter les intérêts et priorités de la partie que l'on représente, lorsqu'on est en position de force La collaboration: on cherche une solution ensemble, en coopérant de manière approfondie. Cette attitude s'utilise lorsque les intérêts individuels sont complémentaires ou compatibles, ou bien lorsqu'on peut tirer avantage du travail en commun. La négociation

| |DOSSIER | |FORCE DE VENTE : | |

fournisseurs par le biais de confirmation directe Section 2 : Les obligations du commissaire aux comptes A : Les obligations générales 1 : Obligation qui découle de l’appartenance à la compagnie, obligation de souscrire à une assurance 2 : Obligation résultant de la mise en œuvre des contrôles, il doit établir un dossier pour chaque entreprise et le conserver 10 ans 3 : tenir une comptabilité spéciale de ses rémunérations B : Les obligations envers la société 1 : La non

volume de l’épargne financière collectée par les banques et les OPCVM : 53 Section 1: Evolution des flux drainés par le système bancaire : ---------------------------55 Section 2: Analyse des flux drainés par les OPCVM : 61 CHAPITRE 2 : La faiblesse de l’épargne financière collectée par les investisseurs institutionnels (hors OPCVM) : 68 Section 1 : les flux drainés par les investisseurs institutionnels: 70 Section 2 : Analyse de l’évolution de l’épargne drainée par le marché des TCN et

substitution Evaluation par note (1-5) * Barrières à l’entrée et menace de nouveaux entrants * Rivalité entre concurrents Forces auxquelles s’ajoutent : * Rôle de l’Etat * Distributeurs * Monde financier (banques-assurances/bourse) * Médias * Organisations professionnelles * Associations de consommateurs Les 5 forces concurrentielles de Porter (incomplet) Concurrents du secteur Intensité de la rivalité Concurrents du secteur Intensité de la

 commercial,  l’entreprise  a  su  se  diversifier  sur  différents  Domaines   d’Activités  Stratégiques  (D.A.S)  notamment  :     -­‐ La  distribution,   -­‐ Les  services  Financiers  et  assurances,   -­‐ Le  cyber  commerce,   -­‐ Les  vacances,   -­‐ La  billetterie,   -­‐ Immobilier,   -­‐ L’énergie  (partenariat  avec  POWEO)…     Mon  étude  portera  sur  le  D.A.S  de  la

INTRODUCTION Section 1 : Historique du droit des assurances Cette matière est un ensemble de techniques juridiques qui s'est beaucoup développé. Aujourd'hui, le contrat d'assurance est courant et connu de tous, à l'opposé (200 ans avant) où peu de personnes étaient assurées. Pour autant, l'idée de l'assurance est une idée très répandue puisque l'être humain a fondamentalement besoin de protection, particulièrement au travers de la sphère juridique. Il existe des traces chez certaines sociétés

anomalie sont susceptibles d’influencer les décisions économiques prises par les utilisateurs se fondant sur les états financiers ». Ce seuil de signification existe parce que l’auditeur ne peut donner aux utilisateurs qu’une assurance modérée et non absolue (raisonnable) de part l’existence d’un risque d’audit et le recours aux sondages pour collecter des éléments probants suffisants et adéquats lui permettant de se prononcer sur la fiabilité et la sincérité