Force intérimaire des Nations unies au Liban

L'intervention de l'ONU dans le génocide au Rwanda Qu'est-ce qu'un génocide? Selon la Convention pour la prévention et la répression des crimes de génocide ratifiée par l'Assemblée Générale de l'Organisation des Nations Unies (ONU) et entrée en vigueur le 12 janvier 1951, en vertu de ses articles I et II, est un génocide tout crime de droit des gens qu'il soit commis en temps de guerre ou en temps de paix (article premier). L'article II prévoit que « Dans la présente Convention, le génocide s'entend

froid politique s'est parfois transformé en affrontement, comme cela s'est produit pour le contrôle d'une mosquée de la bande de Gaza en 1992. Les relations se sont envenimées entre les parties lors du bannissement de quatre cents Palestiniens au Liban-sud, dont une quarantaine de cadres du Djihad islamique. Les autres appartenait au mouvement Hamas qui a tenté de s'emparer de la médiatisation de l'événement, sans mention des membres du Djihad islamique déportés, surtout que le Hamas avait commencé

conflit israélo-palestinien où l’aspect culturel y également évoqué. sera A. Aspects Géographiques L’état d’Israël est situé sur la côte orientale de la Mer Méditerranée, entre l’Egypte et le Liban. Sa création remonte à mai 1948 suite au plan de partage de la Palestine par l’Organisation des Nations Unies (ONU). Il se définit comme l’Etat du peuple juif, héritier de l’Israël biblique. C’est le seul pays au monde où l’Hébreu est la langue officielle, même si l’Arabe y est également parlé. L’état

partir de 1991 ? Par quels moyens ? Comment la Communauté internationale intervient-elle ? En quoi consistent les accords de Dayton ? Réponses La Yougoslavie est le territoire le plus fragile d’Europe. C’est un mélange complexe de plusieurs nations slaves (Slovènes, Croates, Serbes, Bosniaques et Macédoniens) et non slaves (Hongrois et Albanais) divisées en trois groupes linguistiques (slovène, serbo-croate et macédonien) et en trois religions avec d’un côté les chrétiens divisés en catholiques

particul ierconflit d'Israël et de l'Egypte, qui fut le premier pays arabe à conclure du l'armistice avec Israël et qui est aujourd'hui le plus actif de ses adversaires. Dans ses grandes lignes, les rapports d'Israël avec ses autres voisins (Jor danie, Liban, Syrie et Irak) offrent le même tableau, qui se déroule avec un synchronisme parfait, voulu, d'ailleurs, par les conseils de la Ligue arabe qui l'ont organisé. Le partage de la Palestine en 1947. On peut, avec une certaine apparence de bien-fondé,

survie de l’Etat d’Israël A partir de 1948, la création de l’Etat d’Israël entraîne, de la part des pays arabes voisins, de violentes réactions. Pendant plus d’un quart de siècle, Israël et les pays arabes limitrophes (Egypte, Jordanie, Syrie, Liban) vont régulièrement s’affronter. A chaque fois Israël en sort vainqueur. La Shoah a été l’un des événements déclencheurs de la création d’un foyer national juif en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont exterminé 80 à 90 %

fait l'objet d'un intérêt grandissant, dû * Jésuite, enseignant à la Faculté des Sciences sociales et économiques (FASSE) de l’Institut catholique de Paris, auteur d’une thèse sur "L’enjeu politique du contrôle des ressources hydrauliques entre le Liban, la Syrie et Israël" (Université Paris I, 2002). 1) Voir la présentation de la situation hydro-politique régionale faite dans F. Boëdec, "Les guerres de l'eau au Moyen-Orient", Etudes, janvier 1995, p. 5-14. DOSSIER Afrique contemporaine - Printemps

concept auquel il est souvent fait référence pour justifier l’emploi de la force en droit international. Or, l’utilisation d’une telle justification peut révéler des ambiguïtés, lesquelles sont caractéristiques de ce concept. Dans le but d’en faire l’analyse, cet article aborde en premier lieu la reconnaissance normative de la légitime défense dans la Charte des Nations unies, puis présente différentes pratiques d’emploi de la force faites par des États ou par le Conseil de sécurité, chacune fondée sur

concept auquel il est souvent fait référence pour justifier l’emploi de la force en droit international. Or, l’utilisation d’une telle justification peut révéler des ambiguïtés, lesquelles sont caractéristiques de ce concept. Dans le but d’en faire l’analyse, cet article aborde en premier lieu la reconnaissance normative de la légitime défense dans la Charte des Nations unies, puis présente différentes pratiques d’emploi de la force faites par des États ou par le Conseil de sécurité, chacune fondée sur

concept auquel il est souvent fait référence pour justifier l’emploi de la force en droit international. Or, l’utilisation d’une telle justification peut révéler des ambiguïtés, lesquelles sont caractéristiques de ce concept. Dans le but d’en faire l’analyse, cet article aborde en premier lieu la reconnaissance normative de la légitime défense dans la Charte des Nations unies, puis présente différentes pratiques d’emploi de la force faites par des États ou par le Conseil de sécurité, chacune fondée sur