Forêt de Marly

ponctuelles (édits et déclarations royales). II) Les grandes ordonnances de codification de Louis XIV, les ordonnances du chancelier d’Aguesseau Travail de codification. 1667 : ordonnance sur la procédure civile 1669 : ordonnance sur les eaux et forêts ; 1670 : ordonnance criminelle ; 1673 : ordonnance sur le commerce terrestre ; 1681 : ordonnance sur le commerce maritime. Le chancelier d’Aguesseau a voulu unifier la jurisprudence. Il rédigeait un procès et l’envoyait au parlement pour avoir leurs

Houdan, Malesherbes, Nemours ou bien Provins, avec des rivières aux eaux vives, attenantes à des tours et des châteaux médiévaux fortifiés, contrastant avec les larges et splendides domaines royaux, du Parc aux Cerfs à Rambouillet, de Saint-Germain à Marly. Puis, faisant fête au flot de touristes, à Versailles, le domaine préservé du Roi-Soleil. Un autre fleuve arrosait l'Ile-de-France, c'était celui, populaire, du "petit vin blanc", celui qu'on boit sous les tonnelles de La Courtille, cabaret hors

les buttes de Sannois et le Moulin d’Orgemont. À gauche, l’aqueduc de Marly se dessinait sur le ciel clair du matin, et l’on apercevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain ; tandis qu’en face, au bout d’une chaîne de collines, des terres remuées indiquaient le nouveau fort de Cormeilles. Tout au fond, dans un reculement formidable, par-dessus des plaines et des villages, on entrevoyait une sombre verdure de forêts. Le soleil commençait à brûler les visages ; la poussière emplissait

été utilisée en 1806 pour la rédaction du Code de procédure civile. En 1669, cette ordonnance de Saint-Germain fut complétée par l’ordonnance sur la réformation de la justice. En même temps Louis XIV et Colbert promulguait l’ordonnance des eaux et forets, en 1670, l’ordonnance criminelle, ordonnance du commerce en 1673 (Code marchand ou Code Savary). Après la mort de Colbert, ordonnance coloniale de 1685 fixant le droit applicable dans les colonies, ordonnances qui donnaient des instructions aux maîtres

Coysevox, plus sensible au berninisme mais sachant rester mesuré pour Versailles. Dans la statue du Grand Condé, on y retrouve le traitement mouvementé de la perruque et des draperies. A noter enfin les frères Coustou à qui on doit les chevaux de Marly, 1745. ------------------------------------------------- C. PEINTURE La peinture en ce début de siècle en France aura du mal à se trouver une identité à tel point que pour la décoration du palais du Luxembourg, Marie de Medicis fera appel à un

| | |45 |LECONTE L. XXème |80/ 100 | | |"Chemin en forêt" | | | |Huile sur toile signée et datée 1939 en bas à gauche

bientôt renoncer à ses droits sur la couronne de France par le traité d’Utrecht. Louis XIV a aussi un arrière petit fils né en 1710 et dont la santé est fragile, le futur Louis XV. Dès lors, Louis XIV peut craindre pour sa succession aussi par l’Edit de Marly en juillet 1714, il déclare prince du sang et apte à lui succéder deux bâtards qu’il a eut avec Madame de Montespan. Certes, les deux fils qu’il a eu avec Montespan, le duc du Maine et le Comte de Toulouse, qu’il avait pris soin de légitimer antérieurement

civilisation, ils ont en quelque sorte monopolisé les espaces où le climat était hospitalier. Ces empires sont entourés de terres beaucoup plus ingrates, des terres où il fait très froid ou très chaud et des terres qui sont couvertes par des marécages, des forêts, des steppes, des déserts : des espaces donc inhospitaliers. Dans ces espaces inhospitaliers vivent des barbares ; ces barbares en sont encore à l'âge du fer. Et ces barbares sont de plus en plus comprimés par les grands empires. Au IIe siècle, ils

pour Cannes le lendemain par le rapide de sept heures, après avoir prévenu le ménage de Marelle par un télégramme. Il arriva, le jour suivant, vers quatre heures du soir. Un commissionnaire le guida vers la villa Jolie, bâtie à mi-côte, dans cette forêt de sapins peuplée de maisons blanches, qui va du Cannet au golfe Juan. 142 La maison était petite, basse, de style italien, au bord de la route qui monte en zigzag à travers les arbres, montrant à chaque détour d’admirables points de vue. Le domestique

d'une grande pièce d'eau (étang). Le jardin est composé de plusieurs cours dont l'une, entre le canal et le corps de bâtiment, correspond au jardin d'agrément divisé en quatre carrés avec, en son centre, la statue de Diane (déesse de la chasse et des forêts) (photo 6). Photo 6 : Statue de Diane au centre d’un jardin clos, au château de Fontainebleau. Chantilly : entre 1524 et 1532, Anne de Montmorency (1493-1567) (ministre