Formation brute de capital fixe

production versés par les entreprises. Le RMB représente, quant à lui, l’EBE des entreprises individuelles. c) Approche par la demande PIB = CF + FBCF + DSks + X – M Avec : c CF : la consommation finale (v. fiche 4) ; c FBCF : la formation brute de capital fixe (v. fiche 5) ; c DSks : la variation de stocks ; c X : les exportations de biens et services ; c M : les importations de biens et services. 3. LE PRODUIT PAR TÊTE, UN INDICATEUR DU NIVEAU DE VIE La croissance du produit par tête (PIB

- la production de services marchands financiers (institutions financières), - l'investissement (entreprises, ménages, APU), Les opérations de répartition (par les entreprises) et de redistribution (par l'Etat). Elles décrivent la formation du revenu disponible brut issu de la production ou reçu du reste du monde et sa répartition entre les différentes unités institutionnelles : - rémunérations des salariés (salaires, cotisations), - impôts liés à la production (TVA) et

en 2007 (cf tableau « Nombre de chômeurs et taux de chômage (au sens du BIT) » en annexe) d) Investissement Déf : Flux qui modifie le stock de capital. Acquisition de biens de production. L’investissement correspond à l’acquisition de biens de production mesurée au sens de la comptabilité nationale par la formation brute de capital fixe (FBCF). Cette dernière représente les actifs fixes (actifs corporels ou incorporels) utilisés dans le processus de production pendant au moins un an. De

son attractivité et son développement devraient continuer à susciter l'intérêt des Européens. {draw:frame} 3- Un cycle d’investissement engagé Un cycle d’investissement s’est amorcé en 2001/2002, en effet la croissance de la formation brute de capital fixe (FBCF) a accéléré constamment entre 2000 et 2005. Le redémarrage de l’investissement est notamment dû au décollage des investissements directs à l’étranger (IDE). Cependant les flux annuels d’IDE vers l’Inde restent quand même limités

hydrocarbures qui a profité à l’Algérie, mais les taux de croissance observés sont aussi le fait du dynamisme des secteurs de l’économie algérienne. En terme de production, le secteur agricole algérien reste le troisième secteur de l’économie en matière de formation de la valeur ajoutée. Il représentait 9,2 % du PIB en 2004, derrière le secteur des hydrocarbures et celui des services. De plus, le secteur agricole en particulier et le monde rural en général représentent une part encore très importante des emplois

à l’ensemble de l’économie mondiale pendant plusieurs années : on parlera alors de ralentissement économique ou, plus grave, de récession économique. Une telle crise comporte souvent des répercutions sur le niveau des salaires et la valeur du capital, provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales, et peut même avoir des répercutions sanitaires. Il existe différents types de crises économiques, tel que la crise de 1929 (grande dépression) provoquée par le surplus de la

|Notions complémentaires | |Sources, limites de la |Valeur ajoutée, PIB, Revenu par tête, population |Indice de développement humain (IDH), développement | |croissance économique |active, capital, productivité du travail, |durable, investissement immatériel, investissement public | | |investissement, FBCF | |

par rapport à l’année 2006. Il est prévu que cette valeur atteindrait 38,7 MMDH en 2008. Formation Brute du Capital Fixe (FBCF) : Le secteur Bâtiment et Travaux Publics (BTP) contribue pour plus de la moitié dans la FBCF et ce depuis 2001. Il a drainé un volume d’investissement de 97,53 MMDH en 2007 et de près de 111,66 MMDH en 2008. Selon les prévisions, la participation à la formation brute du capital fixe du secteur BTP en 2009 serait de 50,64% pouvant drainer un volume d’investissement de près

rapport à l’investissement et à l’épargne. Du temps de l’économie administrée, il avait été décidé d’accorder la priorité à l’investissement, et l’Algérie s’est retrouvée avec le taux d’investissement – c’est-à-dire, le rapport entre la formation brute de capital fixe (FBCF) et le Produits intérieur brut (PIB) - le plus élevé du monde atteignant son maximum avec 48,60 % en 1978 pour se stabiliser progressivement autour de 20 % à partir du début de la décennie 2000 jusqu’à aujourd’hui. Pourtant, le taux

SOCIÉTÉS DE FINANCEMENT À L’ÉCONOMIE CRÉDIT-BAIL CRÉDIT À LA CONSOMMATION FINANCEMENT DES MARCHÉS PUBLICS FONDS DE GARANTIE FACTORING 27 27 29 29 29 30 9 10 12 CREDIT BUREAU LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DES CAPITAUX ET CONTRE LA FRAUDE Lutte contre le blanchiment des capitaux 13 Décisions de l’UTRF 14 Rencontres avec l’UTRF 15 Séminaire de sensibilisation sur la lutte anti-blanchiment Lutte contre la fraude aux dossiers de crédit 30 30 ACTION PROFESSIONNELLE 17 RÉGLEMENTATION