Formation brute de capital fixe

monétaires (salaires...) ou réels (marchandises), d’échanges de facteurs de production (capital, travail) contre des revenus, de production et de consommation de biens et de services. La macro-économie cherche à rendre compte de cette activité globale. Le jargon macro-économique est sophistiqué. L’encadré page suivante présente les grandes notion comme branche , secteur, valeur ajoutée, formation brute de capital fixe (en fait l’investissement), PIB… L’approche en termes de « circuit économique » est

consommation finale sont révisées de - 12,7 Md€, la révision en baisse concernant les ménages (- 20,1 Md€) étant en partie compensée par celle en hausse des institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM, + 8,9 Md€). La formation brute de capital fixe (FBCF) est également abaissée de 12,7 Md€, alors qu’inversement, les variations de stocks sont rehaussées (+ 7,4 Md€). Enfin, les échanges extérieurs deviennent moins déficitaires : leur solde s’établit à - 40,7 Md€, soit une révision

aille à des secteurs stratégiques et prioritaires jugés essentiels pour la transformation économique. Il souligne également l’importance qu’il y a à renforcer les liens entre entreprises locales et entreprises étrangères, à endiguer la fuite des capitaux pour libérer davantage de ressources pour l’investissement, et à utiliser l’aide et à promouvoir le commerce international pour stimuler l’investissement. Dans chacun de ces domaines, il insiste sur la nécessité d’une cohérence des politiques aux

pays ; – l’approche par les revenus : le PIB est la somme des revenus distribués à l’occasion de la production ; – l’approche par la demande : le PIB est la somme de la consommation des ménages et des administrations, de l’investissement (formation brute de capital fixe), des variations de stocks et des importations auxquels on soustrait les importations. L’approche par la production est la plus courante. Pour éviter que l’inflation ne fausse les comparaisons dans le temps, on utilise le PIB en volume

les importations qui constituent l'ensemble des biens qui ne sont pas produits par les résidents par qui sont importés pour pouvoir être consommés. Ressources = P + M L' emploi principal de la nation va être la consommation et la Formation Brute de Capital Fixe et les exportations. On doit distinguer deux types de consommations : Les consommations intermédiaires : l'ensemble des choses utilisés pour la création de biens et services Les consommations finales : consommées directement

178 229 321 250 100 122 150 195 163 Services Importations 47 58 70 87 80 Exportations 52 69 87 103 87 Investissements directs étrangers IDE entrants Flux en milliards de dollars US % de la FBCF* 25 40 35 6,3 9,6 6,6 *La formation brute de capital fixe (FCBF) est un indicateur mesurant la somme des investissements. Stocks d’IDE Indicateurs Rang sur 141 économies En milliards
de dollars US
En % du PIB 8,8 9,6 12,9 de
performance**
De
potentiel*** 106 123 164 11 82

croissance du PIB que la consommation. On peut voir qu'à partir de 2011, le taux d'investissements des entreprises diminue et est notamment entraîné par la baisse des flux d'IDE entrants entre 2011 et 2012, passant de 8% à 2,6% de la FBCF (La formation brute de capital fixe qui est un indicateur mesurant la somme des investissements, essentiellement matériels, réalisés pendant une année). En effet, peu d'aides existent en Italie pour favoriser les investissements étrangers. Cette tendance est renforcée par

par la plupart des pays en voie de développement. Il était considéré comme une menace de la souveraineté nationale, et les firmes multinationales étaient soupçonnées de réduire le bien être social par la manipulation des transferts des prix et la formation d'enclaves. Confrontés aux courants de mondialisation des marchés, de globalisation et de la production et d’internalisation des politiques monétaires, on assiste à un changement radical de l’attitude des pays en développement qui sont obligés, aujourd’hui

armées. Le corollaire de cette extension du périmètre des actifs produits est que les dépenses engagées pour acquérir ces actifs (dépenses de R&D, achats de bases de données ou d'équipements militaires) sont dorénavant comptabilisées en formation brute de capital fixe (FBCF), c'est-à-dire en investissement, et non plus en consommation intermédiaire. Le PIB est relevé d'autant. L'augmentation de la valeur ajoutée concerne aussi bien les administrations publiques (pour les achats de systèmes d'armes ou

production résidentes 1. L’équilibre financier 1.1. La cohérence financière du circuit économique réel • Le circuit économique réel • Les revenus re-répartis, c'est-à-dire la partie des revenus dus qui relèvent des droits de propriété sur le capital et de la fiscalité (impôts, cotisations sociales…) qui sont versés au reste du monde, par l’intermédiaires par exemple d’actionnaires étrangers, de transfert publics, de don internationaux, etc. • Les importations : ce sont les biens et services fournis