Forme Et Structure En Art Plastique

Le choix de tel ou tel profil en terminale ne prédétermine pas l’orientation postbac. Il est logique de prendre langues vivantes (en L ou en ES) si l’on envisage de faire des études de langues, et arts si l’on pense s’inscrire en faculté d’arts plastiques. Mais il n’existe pas de correspondance précise et automatique entre les différents profils des bacs généraux et les filières d’études supérieures. En L et en ES, le profil est déterminé par le choix d’un enseignement obligatoire en classe de 1re

durable dans l’industrie de l’emballage et du film plastique : une vision globale, des actions ciblées. Françoise Gerardi Délégué Général CSEMP Depuis 1993, date à laquelle l’industrie de l’emballage plastique abordait de façon déterminée la problématique du recyclage et en faisait un axe stratégique majeur, que de chemin parcouru ! En effet, d’une situation à peine émergente au début des années 90, le recyclage des emballages plastiques est, en 2007, une réalité industrielle forte avec

– On va parler de l’art mais pas des arts L’art on sait à peu près ce que c’est ce à quoi ça prétend : dimension ethnique, esthétique * Nous traiterons principalement des arts plastiques laissant de côté les arts du langage et du son Restriction du domaine : On traitera principalement des art plastiques = > les beaux-arts (le dessin, l’architecture, peinture etc…) et aller vers leurs « disciplines associées » (Gravure, l’ensembles des arts décoratifs) On laisse de côté les arts du

croissance de la capacité des Hommes à maîtriser la nature (évolution des techniques limitées de la Renaissance). Le second est le bouleversement complet de la conscience humaine même, en réaction aux grandes mutations sociales, il a provoqué une nouvelle forme de culture, qui s’accordait aussi bien aux modes vie de l’aristocratie déclinante qu’à ceux de la bourgeoisie montante. -> style rococo Le style tarabiscoté des intérieurs rococo de l’ancien régime et la sécularisation de la pensée des Lumières incitèrent

dans une forme d'activité traditionnellement "noble" : l'architecture, opposée à la construction des ingénieurs. Or l'architecture était alors soumise aux nouvelles lois des techniques industrielles et, surtout, de l'économie capitaliste. L'idéal de culture classique, qui est encore celui du début du siècle en France et qui se poursuit en Russie ou en Allemagne au delà de 1850, cet idéal, qui s'était exprimé de la renaissance à l'époque des lumières, s'oppose aux nouvelles structures de la voie

Style : LA TABLE Introduction La table est apparue à la fin du Moyen Âge (art Gothique). A cette époque la construction est simple, planche posée sur des tréteaux et l'installation disparaît dès le repas terminé, car les pièces ont un usage multiple.: mettre ou dresser la table est donc une expression à prendre au sens propre. A la Renaissance grâce à la sédentarisation, la table mobile et déplacée au cours des voyages fait place à un véritable meuble destiné à remplacer la

………………………………………………………………………………………………….…………………………. 16 Références bibliographiques ……………………………………………………………………………………….………. 17 Introduction En 1965 le philosophe et critique d’art R. Wollheim emploie pour la première fois le terme de « minimal art » dans une revue Arts, pour qualifier le travail de M. Duchamp. Ce terme sera réemployé par la suite pour désigner l’activité dans les années 60 des artistes comme Carl Andre, Dan Flavin, Donald Judd, Sol Lewitt, Frank Stella, Robert Morris ou Dan Graham

pures,des formes simplifiées, des perspectibes abolies et des ombres supprimées. Tout de même conscients de cette fragilité de la couleur, ils réagissent contre un Impressionnisme auquel ils reprochent comme Cézanne, Renoir ou Gauguin son manque de structure, son refus de la notion de permanence. D'autre part les fauves se proposent d'imaginer une réalité plus authentique que celle des apparences, construite solidement par les tons purs. Cette imagination de la réalité a comme source selon Matisse :

l’extérieur. Au-delà de la musique organique, réalisée en live par Dmitri Kourliandski à partir des interactions corps/machine, Aliénor Dauchez fait entendre Bataille, Beckett, Ettinger… et interroge le rapport de l’homme à la caverne. Le récit devient structure narrative et matériau sonore, ici déformé par l’acoustique du lieu réfrigérateur et par les transformations électroniques du compositeur. La conception de la musique comme objet, comme phénomène visuel, s’oppose à une conception romantique

exploitants de salle pouvaient changer des séquences, faire des coupures. - La non-linéarité : nombreux exemples de chevauchements temporels d’une scène à une autre, ou d’un plan à un autre. 2. la continuité On attribue à D.W.Griffith d’avoir élaboré la forme de récit cinématographique qui servira de modèle à tout le classicisme hollywoodien et européen à partir de 1915. - homogénéisation du signifiant visuel (décors, éclairages) et du signifié narratif (histoire, style, dramatique, jeu d’acteurs,unité