Fort de Vaux

d’octosyllabe qui rappelle les octosyllabes. (évocation du travail cf : cigale et fourmi ; évocation du mangé avec appétit = la gourmandise est un thème des fables vers 10) Au vers 11, La fontaine rappel la lutte pr la vie qui est cruel car c’est la loi du + fort (rappel du loup et l’agneau). Les 2 vers finaux rappelle le caractère traditionnel des tourterelles qui sont les animaux de l’amour. La fontaine met l’accent sur l’importance de l’amour, puisque sans amour il est inutile de vivre « + d’amour…+joie

est notre unique appui, l’espérance et l’amour d’un peuple qui l’adore » . Sc 3, Don Fernand : «  Généreux, héritier d’une illustre famille,…. Et j’ai moins de pouvoir que tu n’as de mérite. …Ils t’ont nommé tous deux leur Cid ….Et ce que tu me vaux, et ce que je te dois. » Don Rodrigue : « Mais, Sire, pardonnez ma témérité. Si j’osai l’employer sans votre autorité… » Cependant, il a réalisé son exploit au nom du roi et ne cherche pas à confisquer une part du pouvoir de celui-ci

pigeons : La fable étudiée est extraite du livre IX publié en 1678. La Fontaine avait commencé à écrire des fables en 1668, elles étaient destinées à instruire le Dauphin. Il a été protégé par Fouquet (trésorier du roi) qui possédait le château de Vaux-le-Vicomte. Ce château magnifique faisait de l'ombre au roi ce qui rendait ce dernier jaloux. C'est pourquoi Fouquet a été arrêté par Louis XIV. La Fontaine trouve appui en la personne de Mme de Montespan. La Fontaine est également connu pour ses contes

Personnellement je m'en fiche, mais si je commence à mettre ça sur le dos du racisme, ça commence à prendre de l'importance. Si par exemple je dis que c'est du racisme anti-beau gosse (2nd degré), en quoi quelqu'un qui m'insulte et qui veut me frapper vaux plus que quelqu'un qui s'en prends physiquement ou verbalement à un étranger ? Aucune, car dans les deux cas il y a violence. Un acte de cruauté est un acte condamnable, quel que soit la couleur de peau de celui qui le reçoit. Sinon, c'est que les

auteurs que Sainte-Beuve qualifie de « génies ».Ils émergent « après Richelieu, après la Fronde » Justification :Ce ne fut qu’après Richelieu, après la Fronde, sous la reine-mère et Mazarin, que tout d’un coup, du milieu des fêtes de Saint-Mandé et de Vaux ,des salons de l’hôtel de Rambouillet ou des antichambres de jeune roi, sortirent, comme par miracle, trois esprits excellents, trois génies divertissement doués, mais tous les trois d’un gout naïf et pur, d’une parfaite simplicité, d’une abondance

(Terminal 1, Terminal 3) Groslay d'Enghien Enghien Crouy sur Ourcq Le Plessis Bouchard Cernay Thun les Bains Garges Sarcelles la Seine Rosny Deuil Montmagny le Paradis sur Seine Château Thierry Aéroport Conflans Fin d'Oise Meulan Sannois Saint-Gratien Vaux sur Seine Pierrefitte Stains Charles de Gaulle 2 TGV Thieux Nantouillet Herblay La Barre Hardricourt Maurecourt (Terminal 2) Ormesson Lizy sur Ourcq Parc des Expositions Mantes Les Clairières Triel sur Épinay sur Seine Chézy sur Marne Compans la Jolie

de brigade en même temps que Pétain, en octobre 1914, au début de la Première Guerre mondiale. Le 19 avril 1916, il succèda à Pétain dans la charge de défendre Verdun au commandement de la IIe armée et reprit aux Allemands les forts de Douaumont et Vaux au côté du général Mangin, en montrant déjà peu de respect pour les vies humaines. À la suite de ces victoires, le 25 décembre 1916, et parce que ses promesses d'une victoire rapide séduisaient la commission de l'Armée à la Chambre, il remplaça comme

en plus. Il passait de longues heures à lire Malherbe, mais il admirait aussi les écrits de Benserade et Voiture, Rabelais et Boccace. Il entra à cette époque au service de Fouquet (surintendant des finances de Louis XIV). Il lui dédia 'le Songe de Vaux', ainsi qu'une trentaine de poèmes qu'il devait donner, par contrat, au surintendant. Ses contes sont divisés en cinq livres publiés en 1664, 1665, 1666, 1668, 1671, 1674 et 1682. Il mourut le 13 avril 1695 à Paris Dans le grand ouvrage des « fables

d’idées (jusqu’à la moitié du XVIIIème)  Voltaire et la sagesse des gouvernements chinois:  « Les Chinois n’eurent aucune superstition, aucun charlatanisme à se reprocher comme les autres peuples. Le gouvernement chinois montrait aux hommes, il y a fort au delà de quatre mille ans, et leur montre encore qu’on peut les régir sans les tromper. »  Voltaire: le philosophe ignorant, 1766 Littérature d’idées: Les Lumières  Au centre de cette philosophie des lumière, l’homme et son bonheur, pas

ses torts : « dévoré force moutons même parfois le berger ». Le rejet du v. 29 met à part le meurtre commis sur le berger qui se trouve à la fois isolé et en même temps mis en valeur. Il peut s’agir de Nicolas Fouquet, son ex-intendant des Finances (Vaux-le-Vicomte). En réalité, ses péchés le dépeignent comme un homme cruel, féroce et sans scrupules. Il manie l’ironie : « me dévouerai donc/s'il le faut » : sous-entend qu'il ne le fera pas et invite les courtisans à s'y opposer. Le roi veut ensuite