Forum d'Auguste

consulaire. Les relations d'Auguste avec le Sénat sont bonnes,les sénateurs vont même jusqu'à lui décerner le titre de Pater Patriae(Père de la Patrie). Travaux à Rome. Sous le principat d’Auguste, Rome est divisée en 14 "régions". Des travaux sont entrepris pour stabiliser les rives du Tibre. Afin de lutter contre les incendies, assez fréquents dans la capitale, un corps de vigiles est instauré. De nouveaux aqueducs sont construits. C’est aussi sous le règne d’Auguste que sortent de terre les

gloire des personnages de l’empire mais aussi aux personnages locaux importants. Toutes les villes ne possèdent pas de cette entrée monumentale. Le forum se trouve toujours au centre de la ville. Ce forum à partir de l’empire on va mettre en valeur celui-ci. A parti d’auguste, le Forum sera construit en hauteur. Il y a alors 2 procédés : - on place le forum en haut d’une colline - On surélevé la place publique, on augmente sa hauteur grâce à une structure sous terraine. (= les cryptoportiques) Ce

parallèles à l’une ou à l’autre de ces grandes avenues, de sorte que la ville ressemble à un gigantesque échiquier. À l’intersection du Decumanus et du Cardo se trouvait le Forum, le centre de la ville. Une place rectangulaire cernée de Portiques, de Temples, de Marchés, de Thermes et de divers autres édifices publics. Par exemple, le Forum de Trajan comportait une basilique, la colonne Trajane et deux bibliothèques. Malgré cet ordre établi, l’arrivage constant de nouveaux habitants, venus de la campagne

Les funérailles d’Auguste. Intro : Dion cassius nous livre ici un extrait de son histoire romaine relatif au déroulement des funérailles de l’empereur Auguste. Rappelons d’abord que Dion Cassius est un historien d’origine grecque, il a d’ailleurs rédigé tout ses ouvrages dans cette langue. Il est né vers 155 à Nicée en Anatolie, la date de sa mort nous est inconnue mais on estime qu’elle se trouve autours de 235. Il a eu un cursus honorum assez classique exercant les fonctions de preteurs

fonda sous le nom de « principat » l'Empire romain, qui devait durer, avec bien des avatars, presque cinq siècles. On a donné le nom de « siècle d'Auguste » à la période marquée par son long règne qui, après les excès des guerres civiles, vit fleurir, dans le domaine des lettres et des arts, des œuvres devenues classiques. L'aventure politique d'Auguste est l'une des plus extraordinaires qui soient. Alors qu'il n'avait ni l'audace de Sylla, ni les talents de César, il a réussi là où ils avaient échoué

réduits à néant par une rébellion. Cet évènement brisa l’énergie d’Auguste, qui mit un terme à l’expansion en Germanie, au point qu’il donna le conseil à Tibère de renoncer à toute conquête, lorsqu’il serait au pouvoir. CHAPITRE III : LE SIÈCLE D’AUGUSTE Ni la politique extérieure d’Auguste, ni sa remise en ordre de l’administration intérieure n’auraient suffit à assurer la gloire du prince. Si l’on parle d’un ‘siècle d’Auguste’, c’est parce que ce temps fut celui de Virgile, d’Horace, de Tite-Live

Auguste fit interdire la religion des druides car celle-ci allait à l'encontre des valeurs de la cité. Ils étaient devenus incompatibles avec le nouvel ordre social fondé sur le groupe des citoyens. Cultes de la cité et espaces urbains C'est le forum qui va accueillir les premières manifestations de la religion officielle dans les cités. Genèse d'un espace civique dans les cités Des sacrifices en l'honneur des caesares : l'avènement de temps nouveaux : Des autels funéraires sont construits

premier à prendre la parole devant l'assemblée et l'année suivante, il lui donne même le titre d’Augustus, qui signifie « sacré ». Nous sommes en 27 av. J.-C. et Octave devient alors le premier empereur romain. Octave devient Auguste Ce titre d'Auguste est assez particulier. Conformément à la tradition romaine, il s'agit d'un surnom qu'on ajoute aux prénoms, tout comme on ajoute au nom d'un général vainqueur un surnom formé sur le nom du peuple vaincu. Il est décerné au général si le territoire

Sujet : Le Principat d'Auguste, un nouveau régime ? Depuis -509, date de la chute de la monarchie, les romains ont toujours été hostiles à l'idée d'être gouvernés par un Roi. Cette simple idée faisait naitre en eux des sentiments puissantes qu'illustre l'assassinnat de César aux ides de Mars de -44. Pourtant, avec le siècle des grands imperatores (Scipion l'Africain, Scipion l'Asiatique, Pompée et César, pour ne citer que les plus célèbres) est né le sentiment que la République n'était plus

assistés des anciens magistrats et des décurions qui sont recrutés à vie par cooptation (1) parmi les notables de la cité.   La cité d’Aregenua fait partie de la province de la Gaule lyonnaise. La province est administrée par un gouverneur (légat d'Auguste propréteur) qui réside dans la ville de Lyon. Chaque année, le 1er août, pour célébrer le culte impérial, les cités de la Gaule envoient une délégation de notable à Lyon. Ces hommes, choisis par leur sénat local, forment le conseil des Gaules (concilium