Forum économique mondial

1) Synthèse exécutive La plus récente crise économique mondiale est une période de récession qui a touché la plupart des pays industrialisés du monde et elle est considérée comme la pire depuis celle de 1929. Elle a plus précisément débuté suite au krach de l'automne 2008 . Le premier pays à être affecté par cette crise est les États-Unis, suivis par les pays de l’Europe et le Canada. Partout dans le monde, les répercussions sont importantes : une forte hausse des prix du pétrole et des produits

mouvements internationaux de capitaux s’est accentuée. bien qu’il soit difficile de chiffrer l’ampleur des effets imputables à la politique monétaire. Les effets internes de la politique monétaire dépendent dans une large mesure de la structure économique et financière du pays considéré notamment de l’importance de sa dette publique, du rôle qu’y jouent les banques en tant qu’intermédiaires financier dans le processus de l’épargne d’investissement et du mode de financement de la construction du logement

banques, les financements ont été de plus en plus difficiles à obtenir, les différentes économies ont été touchées. La croissance a donc été le premier indicateur qui s’est orienté vers la baisse, pour amener dans son sillage, le chômage, l’activité économique et bien d’autres indicateurs. Etudier tous les effets de la crise de 2008 se révélait être un sujet très vaste et ayant des particularités différentes suivant les régions. J’ai donc préféré étudier les effets sur l’Afrique et plus précisément sur

LE MARCHÉ DE L'ULTRA FRAIS ( Introduction ) L'analyse porte sur le marché des produits ultra frais. C'est un marché en maturité qui progresse peu. Il a même vu ses ventes baisser lors du déclenchement de la crise économique en 2008. les producteurs doivent chercher de nouveaux relais de croissance car en 2009 les ventes n'ont progressé que de 1% en volume. C'est également un marché oligopolistique, dominé par des grands groupes. On analysera d'abord la demande sur ce marché avant de considérer comme

TD numéro 2 : La crise mondiale. Question n°1. a) Une fluctuation macroéconomique est une notion de variation régulière. C’est une grandeur qui varie régulièrement. Les cycles eux, sont irréguliers. Une fluctuation est une variation irrégulière relative à une tendance stable. Mettre en évidence une fluctuation nécessite de décomposer les variations des grandeurs économiques entre la partie cyclique d'une part et la tendance d'autre part. b) Les deux grandes familles d'explications des

La crise économique de 2008 appelée souvent dans le monde anglophone Grande Récession (Great Recession en référence à la Grande Dépression de 1929est une récession dans laquelle sont entrés la plupart des pays industrialisés du monde suite au krach de l'automne 2008, seconde phase de la crise financière de 2007-2010,. Les États-Unis ont été les premiers à entrer en récession, en décembre 2007, suivis par plusieurs pays européens au cours de l'année 2008, ainsi que la zone euro dans son ensemble.

Le tourisme international touché par la crise économique mondiale 27 janvier 2009 – Le tourisme international a connu une baisse significative au cours de l'année 2008 sous l'influence d'une économie mondiale extrêmement volatile (crise financière, augmentation du prix du pétrole et fluctuation intensive des taux de changes), a indiqué mardi l'Organisation mondiale du tourisme (OMT). Le nombre de touristes a augmenté de plus de 2% en 2008 par rapport à l'année 2007 grâce aux très bons résultats

documents - « Les multinationales au cœur des échanges mondiaux » La circulation croissante des marchandises s'accompagne d'une internationalisation de la production. En effet, selon les statistiques de l'organisation mondiale du commerce (OMC), l'accélération des échanges, la montée en puissance des pays émergents et le grand déséquilibre dans les soldes commerciaux entre pays sont les facteurs qui caractérisent le commerce mondial. Depuis une dizaine d'années, les échanges commerciaux

premier ministre Roumain Emil Boc avait prévu initialement de réduire de 15% le montant des retraites et des prestations sociales, et de baisser le salaire des fonctionnaires de 25%. Ceci était un plan qui devait être bénéfique pour la croissance économique de Bucarest en vue de la correction de ses déficits structurels (=c'est-à-dire la différence qui existe entre les dépenses de l’Etat et ses recettes, ces dernières étant inférieures). Si le premier ministre avait choisi cette mesure c’était pour

d’offre que de demande, dans ce secteur. II. Le rôle des États 1) Justification de l’intervention des États Depuis 2009, Le nombre de suppression d’emplois (direct ou indirect) liés à la crise automobile est considérable et mondial. Il touche toutes les industries automobiles. En France, selon les statistiques, l’automobile représente 10% de la population active sur le marché de l’emploi. Confrontés à l’entrée dans la course des constructeurs chinois, indiens et brésiliens