Foulques III d'Anjou

déstabilisé par les occupations et les incursions des Vikings au début du xe siècle. La Bretagne perd ses dernières conquêtes sur l'Anjou, le comté du Maine et la Neustrie. En 909, à la suite de la mort du roi de Bretagne Alain Ierle Grand, Foulque Ier d'Anjou reçoit le comté de Nantes (comté qui avait définitivement acquis le Pays de Retz sur le Poitou). Ce dernier est repris aux vikings par le duc Alain II de Bretagne en 93727. Dès la fin du xiiie siècle (et bien avant l'union du Duché de Bretagne

à démontrer le bien fondé de la conquête de l’Angleterre par un duc choisi par Dieu. Il loue les vertus de prudence, de prévoyance, de piété, de sagesse et de justice de son seigneur qu’il oppose aux tyrans que sont GODWIN, HAROLD Ier et le comte d’Anjou GEOFFROI MARTEL. Absent de la bataille d’Hastings de 1066, il en propose néanmoins le meilleur récit. ORDERIC VITAL, Treize livres d’histoire de l’Eglise. ( Né à Atchtam, le 16 février 1075 d’une mère anglaise et d’un père français. (

de roseau) et du pabel, sous la réserve cependant de son droit de seigneurie et de la levée du poisson » et en échange les hommes de Castillion devront payer « 30 sols de cens » annuellement à Pâques. [20] Par un acte du 15 Septembre 1430 Louis III d'Anjou, Roi de Naples et Comte de Provence confirma et renouvela tous les droits des habitants des Baux sur les marais. [21] Plusieurs archives attestent d’une activité de pêche aux marais, en particulier autour de l’église de Notre Dame.[22] Pâturage :

de la Gaule cisalpine. Schématiquement, la conquête romaine de la Gaule fut réalisée en trois phases : - la conquête de la Gaule cisalpine (en deçà des Alpes), comprenant la plaine e cispadane et la transpadane (en deçà et au-delà du Pô) (fin du III siècle avant l'ère chrétienne), bientôt nommée « Gaule en toge » (Gallia togata) ; - la conquête de la Narbonnaise, c'est-à-dire le sud-est de la France et de la vallée du e Rhône (dernier tiers du II siècle avant l'ère chrétienne), nommée « Gaule

l’avènement d’Alexandre VI. — II. Le déclin des anciennes hérésies. — III. Les tentatives de réforme dans l’Église régulière et séculière. — IV. Le nouvel aspect de l’institution pontificale. — V. L’Empire au temps de Frédéric III de Habsbourg. — Bibliographie. Chapitre II. — La monarchie française après la guerre de Cent Ans. I. Les réformes de Charles VII. — II. Louis XI et les dernières coalitions féodales (1461-1473). — III. La lutte contre Charles le Téméraire et le démembrement de l’État

duc d'Aquitaine; ensuite, Hugues fils et député du duc de Bourgogne; puis les envoyés du marquis Baudouin et ceux de Geoffroi, comte d'Anjou; ensuite, Raoul comte de Valois; Héribert, comte de Vermandois; Gui, comte de Ponthieu; Guillaume, comte de Soissons; les comtes Renaud, Roger, Manassé, Hilduin; Guillaume, comte d'Auvergne; Hildebert, comte de la Marche; Foulques, comte d'Angoulême, et le vicomte de Limoges; ensuite, les chevaliers et le peuple, tant les grands que les petits, qui, d'une voix

type de seigneur (laïc ou ecclésiastique), elle transférait néanmoins une grande partie des deniers du village dans les coffres seigneuriaux à la fin du XIIème siècle. Enfin, les seigneurs pouvaient avoir un 3ème visage, celui de seigneur foncier. III) Seigneurs et seigneurie foncière. La seigneurie foncière est liée à la propriété du sol détenue par le seigneur, soit par concession du pouvoir publique, soit par inféodation privée (il l’a obtenue un fief), soit par exaction violente sur les paysans

lassatz. Quand il sera lacé. Tout au début de la première strophe, le Comte de Poitiers s’adresse à ‘la plupart’. Cette introduction ressemble à une chanson adressée aux compagnons. Si nous comparons le premier vers avec le début de la chanson III Companho, tant ai agutz d’avols conres, nous remarquons qu’il présente une certaine similarité avec le troisième vers: « Enpero no vueill c’om sapcha mon afar.. ». Le verbe ‘vouloir’, ainsi que le subjonctif de ‘savoir’, ne laissent aucun doute sur

d’imitation de Charlemagne. Il est roi d’Italie en 951 puis couronné empereur par le Pape Jean 12 en fev 962. Cet empire n’a pas l’immensité de l’empire carolingien mais Otton 1er devient veritablement le nouveau Charlemagne et arbitre l’Europe. Otton III b’est jamais parvenu a recréer un empire universel comme il le souhaitait. En Francie, les rois robetiens ou carolingiens epprouvent quant à eux de grandes difficultés pour maintenant le modele carolingien : le principe electif a été remis en vigeur

et Hongrois : I. L’Europe envahie et assiégée. — II. Les Musulmans. — III. L’assaut hongrois. — IV. Fin des invasions hongroises. CHAPITRE II. — Les Normands : I. Caractères généraux des invasions scandinaves. — II. De la razzia à l’établissement. — III. Les établissements scandinaves. l’Anglet erre. — IV. Les établissements scandinaves : la France. — V. La christianisation du Nord. — VI. A la recherche des causes. CHAPITRE III. — Quelques conséquences et quelques enseignements des invasions : I.