Francilienne

pertinent. ➢ L’origine géographique : le Francilien opposé aux étrangers et aux touristes venant du reste de la France. Mesurabilité : les données sont accessibles grâce aux questionnaires de satisfaction, au moment de la réservation de billets et par le biais de sondages. Pertinence : c’est un critère assez pertinent dans la mesure où les touristes et étrangers séjourneront plus longtemps dans les parcs d’attractions que les Franciliens. Pour les premiers, la consommation de services

pour la candidature de 2012 et semble avoir retenu les leçons de 2008. Le dossier adressé au CIO est plus complet, les réponses apportées à chacun des points clés étant adaptées aux demandes officielles du CIO : • Motivation : 75% de la population francilienne sont aujourd’hui favorables au déroulement des JO à Paris. • Soutien politique : un consensus de façade a été présenté au CIO, regroupant des politiques de tous bords. • Financement : un budget raisonnable et équilibré a été adopté (27,6 millions

nombre d’immigrés et de Français d’origine étrangère (en proportion du nombre d’habitants). Dans cet exposé on va essayé de mettre en évidence les problèmes que pose cette culture urbaine, et notamment le rap, aux médias et aux municipalités franciliennes (en raison de ses liens avec les « problèmes sociaux », précisément), mais aussi la solution qu’il est susceptible de représenter aux yeux des élus, de gauche… comme de droite (même si c’est moins fréquent). Et montrer en quoi ces cultures urbaines

généralement dans les automates est placé dans un espace sécurisé. Le non accès aux fonds permet une diminution significative des braquages : les chiffres sont éloquent, par exemple, pour le Crédit Agricole, 74 braquages commis dans ces agences franciliennes en 1994, contre 31 en 1996 et 0 en 2005. Une amélioration de la qualité de service : avec une diminutions des impératifs de sécurité, l’agence perd son aspect de bunker (SAS de sécurité…) et gagne en convivialité. L’agence devient le lieu

dřinscription des candidats originaires des académies dřÎle-de-France, puis comme les années précédentes, de Lyon, Aix-Marseille et Rennes. Le nombre dřadmissibles dans ces académies représente lřessentiel de lřeffectif. Les admis sont pour la plupart franciliens. LE TAUX DE FÉMINISATION : Comme chaque année, les candidates représentent plus des 2/3 des présents aux épreuves dřadmissibilité et 75% sont lauréats. LES ÂGES : Les candidats présents sont nés entre 1954 et 1988 les admissibles entre 1958 et 1987

Lieusaint : Le Colombier (0164136644) et Les Pyramides (0160602420) POUR VENIR A SENART : - 40 KMS SUD-EST DE PARIS, 23 KMS DE CRETEIL, 15 KMS DE MELUN OU EVRY par l’autoroute A5a : sotie 10A (Sénart/Savigny le Temple/Lieusaint) par la N104 (Francilienne) : sortie 25 (Lieusaint/ZA Paris-Sud) ligne D du RER : Gare Moissy-Lieusaint en 35mns depuis Paris Gare de Lyon ou Châtelet, ou 10 mns depuis Melun www.transport-idf.com/ nombreuses lignes de bus à la Gare Moissy-Lieusaint ou devant le Site Universitaire

géographiquement la population et les activités économiques.  1) Tout d’abord pour faciliter la mobilité des Hommes à différentes échelles  - améliorer leur cadre de vie  Ex : Echelle locale avec la gare Lagny ou échelle régionale avec la francilienne.  2) Ensuite pour développer l’espace économique  en créant des pôles d’activités (implantation des pôles de compétitivités) ou en exploitant les ressources  Ex : Exploitation de la foret pour favoriser la construction.  3) Et pour favoriser

de départ : En quoi la communication non verbale de l’IDE influence-t-elle l’adhésion au soin d’une personne âgée ? MOTS-CLES La personne âgée, la communication non verbale, le refus de soin, adhésion au soin CONCEPTS Actuellement la population francilienne vieillit. Selon l’OMS3 les personnes âgées sont les plus de 65 ans. Le concept identifié est le vieillissement, synonyme de fragilité4, il facilite l’entrée dans la dépendance de la personne âgée. Ainsi, elle peut perdre des capacités dans l’accomplissement

Pourquoi c’est moi qui fais tout ou presque à la maison ? » La question, fait grimacer Nathalie, 41 ans, prof de maths dans un collège francilien. « Effectivement, quand j’y pense, il n’y a pas de raison objective. Certes, je ne vais au collège “que” dix-huitheures par semaine, par rapport à mon mari, informaticien (quarante heures de travail en moyenne), mais faire cours dans un bruit de fond à des élèves plus ou moins motivés, c’est épuisant. Le soir, j’ai des copies à corriger et des leçons à

1984 ; Leménorel, 1994) ou encore par l’histoire (Nicaulaud, 1995). Depuis une décennie, elle s’est progressivement affirmée comme une nouvelle centralité parisienne : les cafés et les restaurants y attirent de nombreux jeunes Parisiens et Franciliens chaque soir. Désormais très fréquentée, la rue est devenue un espace de concurrence entre piétons et automobilistes – les trottoirs sont étroits et la rue passagère – ou entre usagers des cafés et habitants, notamment à propos du bruit. Deux logiques