François Bayrou

chiraquienne se distinguant dans l’hallali même si, les carottes étant cuites pour les Serbes, le successeur de Mitterrand feignit de regretter les bombardements aveugles sur Belgrade. Mais qu’étaitil allé faire dans cette galère ? Et, avant lui, pourquoi François Mitterrand s’était-il laissé convaincre par Bernard Kouchner, André Glucksmann et autres Bernard-Henri Lévy d’intervenir en faveur des musulmans bosniaques dont on sait maintenant qu’ils ne rechignaient ni aux exécutions sommaires, ni aux provocations

dans le primaire, on arrive au bout des économies en termes de postes. Donc on ar«Nicolas Sarkozy ne s’est pas donné rête.» Pour l’équipe du candidat de le temps de penser sa campagne.» la majorité, la situation au primaire Manuel Valls dircom de François Hollande est radicalement différente de celle dans les collèges et lycées, «où il y a beaucoup de familles françaises? Et pourquoi encore trop de professeurs». D’où la proposition laisser sa porte-parole la confirmer, le lende- de faire travailler

monde était heureux. Mais un jour... » La marionnette de François Hollande, portant un bonnet rouge et un pull rose, sort alors d'un champignon et appelle aux alentours : « Ohéé, les Schtroumpfs ! Venez, venez par ici! Ecoutez-moi tous!». Les marionnettes de Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius, Jack Lang, Henri Emmanuelli, Martine Aubry et Bertrand Delanoë arrivent en pull rose et bonnet blanc. Nous voyons alors clairement que François Hollande, premier secrétaire du Parti Socialiste, représente

pouvoir de l’Elysée vers Matignon. Dans cette situation, le président de la République n’est plus l’homme fort du régime mais c’est le premier ministre. La Cinquième République a été très contestée dans ses débuts (exemple : Pierre Mendès France et François Mitterrand), malgré tout on reconnaît aujourd’hui qu’elle a su s’adapter à différentes situations notamment l’alternance en 1981 (arrivée de la gauche au pouvoir avec Mitterrand). Elle va connaître différentes cohabitations : 2 sous Mitterrand en

parlementarisme rationalisé pour imposer la politique du gouvernement. Au fond, durant toute cette période, le chef d'État est moins libre que ses prédécesseurs car il doit veiller à maintenir la majorité au Parlement. C) Les socialistes Le 10 mai 1981, François MITTERRAND est élu Président de la République. C’est un choc dans l’opinion car le socialiste est présenté comme un épouvantail apportant en France le fantôme du bolchevisme. Il effectue pourtant deux mandats. Durant le premier, de 1981 à 1986,

diplômes de l’animation : "Une boulimie de formation" III.6) L’animation socioculturelle p. 22 p. 22 p. 23 p. 24 p. 25 p. 26 p. 28 p. 30 p. 31 p. 32 p. 33 p. 33 p. 35 p. 37 p. 39 p. 40 p. 42 IV) Le culte de la citoyenneté et de l’insertion IV.1) François Mitterrand et la décentralisation, espoirs puis désillusions IV.2) La multiplication des dispositifs : l’impact des politiques publiques IV.3) Deux illustrations : "Envie d’agir" et "Espoir Banlieues" IV.3.1) "Envie d’agir" : un dispositif ministériel

prononcer sur le projet constitutionnel puis de désigner ses représentants politiques au plus haut niveau. L’adoption de la constitution Les opposants au projet sont peu nombreux, quelques personnalités à gauche comme Pierre Mendès France et François Mitterrand et le Parti communiste. Le référendum du 28 septembre 1958 concerne la France et les territoires d’outre mer. La Constitution est approuvée par 85% des suffrages exprimés. Le résultat est aussi un vote de confiance a l’égard du Général

pour dresser un pouvoir d’état. Mais cette constitution à survécut au Général De Gaulle, si parfois nous avons des débats sur l’idée d’une Vie République, les successeurs du Général De Gaulle n’ont pas jugé bon de passé à cette 6e République. Même François Mitterrand qui en 1964 avait écrit un pamphlet contestant cette constitution de 1958 et a intitulé son livre le coup d’état permanent, puisque le Général De gaulle fonde une République sur un coup d’état permanent. Mitterrand s’est non seulement

chargé de la sous-direction des affaires politiques et de la vie associative, et M. Claude Tieri, chef de la section des « études politiques », ont su associer leur soutien et leur compétence aux travaux de l’Observatoire. Je tiens aussi à remercier François Fillon, Ministre des Affaires sociales, du travail et de la solidarité, et Nicole Ameline, Ministre déléguée à la parité et à l’égalité professionnelle, pour le soutien qu’ils nous ont témoigné. Un grand merci A Jean-Marc Sauvé, Secrétaire Général

du 7 au 10 mai 1948. Lors de ce congrès, les différents mouvements pour l'unification européenne se sont donnés rendez-vous à La Haye, où 17 pays européens étaient représentés. Y ont participé de grandes personnalités comme Léon Blum, Jean Monnet, François Mitterrand pour la France, Winston Churchill pour l'Angleterre, Spinelli pour l'Italie, ou encore Adenauer pour l'Allemagne. Pendant toute la durée du congrès, les délégués du congrès vont se diviser en deux grands courants, ayant des visions bien