François Coty

attenit son apogée, les gouvernements ne sont plus respectés et sont contraints à l’immobilisme.La G d’Algérie a divisé toutes les tendances politiques(régime paralysé. Une guerre civile menace le pays. De Gaulle est alors rapellé au pouvoir par René Coty pour régler le pbm algérien, en usant de son autorité sur l’armée. De Gaulle accepte sous réserve d’un changement de Constitution : il veut renforcer le pouvoir exécutif.(Fin de la IXème République qui est encore le modèle ordinaire en Europe aujd

à l’usage de procédés de la souveraineté nationale. I. La théorie de la souveraineté populaire sous la 5ème République A. L’échec des constitutions de la 3ème et 4ème République Après l’effondrement de la 4ème république et l’appel de René Coty, le général de Gaulle, qui s’était posé comme arbitre de la crise, est chargé de constituer un nouveau gouvernement dont la tâche principale est la mise sur pied de nouvelles institutions. Une commission, désignée par l’Assemblée nationale et le Sénat

capituler le 7 mai. Ce désastre entraîne la chute immédiate du gouvernement en métropole. Le socialiste Mendès France, le nouveau président du Conseil, partisan de la paix en Indochine et de la décolonisation, forme un gouvernement où figure déjà François Mitterrand. Mendès France signe en juillet 1954 les Accords de Genève, qui entérinent l’indépendance du Laos et du Cambodge et partagent le Vietnam en deux zones, au nord et au sud du 17e parallèle. L’indochine, où 100.000 soldats français ont trouvé

REPUBLIQUE GAULIENNE   Alors que la crise algérienne ne trouve pas de solution, le président Coty demande le retour du « plus illustre des français » le 29 mai 1958. Le général de Gaulle parvient ainsi dès le 1er  juin à rendre la tête de la présidence du Conseil. Il disposera pendant six mois des pleins pouvoirs, temps pendant lequel il devra rédiger avec un certain nombre de collaborateurs la Constitution qui mettra fin à la Ve République. La politique d’autodétermination, les pourparlers, les

sont des députés et sénateurs, maires. Une sélection de conseillers généraux et une sélection de conseillers municipaux, 70.000 personnes élurent le président. Une élection aux suffrages indirect, le président est Vincent Auriol et un deuxième René Coty. Les salaires sont bloqués provisoirement pour mesure économique, en1947 les communistes démissionnent du gouvernement,ils ne sont pas d'accord avec ce blocage. Moscou donne l'ordre aux communistes de chaque gouvernement européen de quitter leur gouvernement

président de la République pendant 7ans. Mais il n’est pas élu par le peuple mais par l’Assemblée nationale et par le conseil de la république (Senat). Sa légitimité est donc moins forte. 2 présidents sous la IV République : V. Auriol (47-54) puis R. Coty (54-59). Le président a très peu de pouvoir sous la IV République. Il est chef de l’armé mais il ne peut pas déclarer de guerres sans l’accord de l’Assemblée nationale. Il va proposer un candidat au poste du président du conseil (1er ministre) mais

la République, auparavant élu par la réunion de l'Assemblée nationale et du Sénat. Le souvenir de l'élection laborieuse de 1954, où il avait fallu pas moins de 13 tours de scrutins pour que députés et sénateurs s'accordent sur la candidature de René Coty, est resté dans les mémoires. Aussi la Constitution confie-t-elle dans un premier temps le soin d'élire le président de la République à un collège d'environ 80 000grands électeurs (députés, sénateurs, conseillers généraux, maires et délégués des conseils

particuliers peuvent aussi en faire don au Centre de la mémoire. Les commémorations du massacre d’Oradour-sur-Glane le 10 09 2013 © Fotolia.com Le 4 septembre 2013, François Hollande, président de la République, s’est rendu à Oradour-sur-Glane, avec le président de la République fédérale d’Allemagne, Joachim Gauk. Dans son allocution, François Hollande rappelle que cette visite historique (première visite d’un président de la République allemande) s’inscrit dans le cadre du cinquantième anniversaire du

France. Le retour au pouvoir du général de Gaulle apparait à certains comme la solution face aux difficultés éprouvées par les gouvernements successifs. Le 13 mai 1958, des militaires prennent le pouvoir à Alger et de G. est appelé par le président René Coty à former un nouveau gouvernement et à réviser la constitution. Le 4 juin il prononce à Alger son célèbre discours qui commence par « Je vous ai compris ». Avec pour directeur de cabinet Georges Pompidou le nouveau président du Conseil dispose des pleins

|-1974 : majorité à 18 ans et loi légalisant avortement. | |-1974-1981 : Giscard d’Estaing(droite libérale) | | |-1981-1995 : François Mitterrand(socialiste-gauche) |-1999 : loi sur les PACS  | |-1995 et 2002 : Jacques Chirac(droite) |