François Coty

publiant dans un communiqué de presse après l’insurrection d'Alger qu'il était prêt a assumé les pouvoirs de la République ainsi qu'il y était invoqué par le peuple. Appelé par la suite au pouvoir par l'actuel président de la IV ème République René Coty, le Général De Gaulle se voit alors conférer par deux lois le 3 juin 1958 après son investiture en cette période de crise, les pleins pouvoirs pendant six mois tel qu'ils les avaient demandé et la compétence constituante. A nouveau président tel le

(article 52), et c’est lui qui mène véritablement la politique étrangère (comme on a pu le voir avec François Hollande, notamment en Afrique). Enfin, le septennat – et la possibilité de renouvellement de celui-ci – consacre ce caractère de « monarque républicain », dans la mesure où le même homme monopolise la fonction présidentielle pendant des périodes particulièrement longues – 14 ans pour François Mitterrand, 12 ans pour Jacques Chirac. Le passage au quinquennat en 2000, s’il laissait imaginer

les pouvoirs de la République". Pierre Pflimlin démissionne quelques jours plus tard, et René Coty, remplaçant momentané à la tête du gouvernement, annonce sa décision de « faire appel au plus illustre des français ». Ainsi arrive-t-il début juin à l'Elysée, prenant ses fonctions de Président de la République sans élection au suffrage universel, contrairement à ce qu'exige la constitution de 1946. François Mitterand éditera en 1960 un livre au sujet de De Gaulle qui s'intitulera « Le Coup d'état permanent »

réservé » présidentiel. 3°) Peut on parler d’une dérive monarchique ? III°) Des institutions souples qui s’adaptent et s’inscrivent dans la durée. (2H30) A°) Alternances et cohabitations. 1°) L’élection d’un président socialiste François Mitterrand, le 10 mai 1981. 2°) Une situation inédite : La cohabitation. B°) Des institutions qui se réforment au gré des circonstances politiques. 1°) La mise en place du quinquennat en 2000. 2°) La modernisation des institutions

présidentielle ? Tous les 5 ans désormais la vie politique se focalise sur l’élection présidentielle, un temps fort dans la vie démocratique française. Le Président (Pdt)) fait figure de proue et clé de voûte du régime fondé suite aux évènements algériens. René Coty (dernier président de la IVe République) en appelle  en mai 1958 « au plus illustre des Français» pour proposer la présidence du conseil à de Gaulle le 1er juin 1958 (Régler la question algérienne et constitution adoptée Référendum en septembre 1958)

François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac (Charente) et mort le 8 janvier 1996 à Paris, est un homme d'État français. Fonctionnaire sous le Régime de Vichy, puis résistant, il est onze fois ministre sous la IVe République. Opposé au retour du général de Gaulle, il affronte celui-ci au second tour de l'élection présidentielle de 1965, qu'il perd. Il devient premier secrétaire du jeune Parti socialiste en 1971. Candidat de l'Union de la gauche à la présidentielle de 1974, il est battu

Prêt à assumer les pouvoirs de la République ». Il ne refuse donc pas d'être considéré comme un recours, mais uniquement dans le cadre de la légalité républicaine. Le 28 mai, Pierre Pfimlin démissionne, et le 29, le Président de la République, René Coty, er demande au « plus illustre des français de solliciter l'investiture du Parlement ». Le 1 juin 1958, Charles de Gaulle, qui n'est pas député, se présente à l'Assemblée Nationale et sollicite le soutien des députés pour le gouvernement qu'il vient

de CDG, sauveur de la Fce + CSP fait pression sur l’AN mais PP est investit. 15.05.58 : Massu (CSP) fait appel à CDG (situation très tendue ± pré-guerre civile)  CDG se dit « prêt à assumer les pvoirs de la Rep » 28.05.58 : PP démissionne, René Coty appel CDG (pdt du C)  Gauche manifeste (peur d’un pvoir perso) 29.05.58 : CDG investit pdt du C 01.06.58 : Discours d’investiture à l’AN 03.06.58 : Entre en fonction + pleins-pvoirs pour 6mois 04.06.58 : « Je vous ai compris » CDG a profité

La Vième République et sa constitution En 1958, le France se trouve face au conflit algérien, suite à cette crise de régime, le GDG reçoit les pleins pouvoirs pour rédiger une nouvelle Constitution (doc 1). Le 1er juin, le président de la R René Coty, propose à l’assemblée, l’investiture de CDG comme président du Conseil. Cela marque la fin de la IV R et le début d’une nouvelle Constitution, adoptée par référendum par plus de 80% des français (doc3). Elle renverse la hiérarchie des pouvoirs au

la mendicité aussi. Les Français vivent alors une crise profonde, et manifestent leur mécontentement contre le régime de la Monarchie de Juillet. Le système politique est bloqué par le refus du roi Louis-Philippe Ier et de son principal ministre François Guizot, d'étendre le nombre de bénéficiaires du régime censitaire. En 1848, il n'y a que 241 000 électeurs pour près de 35,5 millions d'habitants. Une grande partie de la population urbaine (libéraux, commerçants, fonctionnaires, etc.), qui n'atteint