François d'Assise

l'enfant en majesté entouré de 6anges: fond or,pas si naturel que cela. volume,couleu *Duccio, elève de cimabue, fondateur de l'école de sienne: m icono que cimabue mais cool changent -> début de la préciosité *giotto: élève de cimabue. St François d'assise recevant les stigmates: fond d'or, scène situé, spectateur dvt acteur, H est maintenant au centre -> retable qui renoue ac Antiquité flaman: hollande et belgique (bruges, anvers) au 15e dévot° moderne se traduit par la tansposi° du sacré

Michele Visd omini (Florence). Œuvre importante pour plusieurs raisons : la Vierge se trouve avec des personnages, à gauche il y a St Joseph qui tient l’enfant Jésus et en bas à gauche, St Jean l’Évangéliste. Agenouillé à droite, on retrouve St François d’Assise (avec sa robe de bure) qui semble adresser une prière à la Vierge. À droite, se trouve St Jacques et enfin au centre, le petit St Jean Baptiste. L’œuvre constitue une rupture avec les traditionnels tableaux d’autel. Structure pyramidale. Jésus

Bernard, au XIIème siècle, exige des Cisterciens une grande pauvreté et la pratique de la prière, de l’étude et du travail manuel. Chez nous, les abbayes de Villers-en-Brabant, Aulne et Orval observent cette règle. Au XIIIème siècle, saint François d’Assise fonde l’Ordre des Frères Mineurs ou Franciscains. Ceux-ci vivent dans une pauvreté totale et une grande humilité, prêchant surtout parmi les pauvres. Les Frères Prêcheurs ou Dominicains se consacrent principalement à la lutte contre les hérésies

du haut sur la partition) Dialogue entre un jeune et un enfant (Lydie + 1 enfant du gr. de Cathy) Salutations liturgiques Dialogue entre un jeune et un enfant (Lydie + 1 enfant du gr. de Cathy) Prière pénitentielle : prière de saint François d’Assise lue par le gr. ACE d’Anne et gestuée par les gr. premier pardon de Léa et Noëlle. Refrain chanté (mettre prière sur feuille de chants) Gloria : Louange et gloire à ton nom Dialogue entre un jeune et un enfant (Lydie + 1 enfant du gr. de

régulier Le clergé régulier comprend ceux qui ont prononcé des vœux et vivent en communauté selon une règle (moines et religieux). Les ordres religieux Bénédictins et Bénédictines de saint Benoît (VI e  siècle), les Franciscains de saint François d'Assise (XIII e  siècle), les Clarisses de sainte Claire (XIII e  siècle), les Dominicains de saint Dominique (XIII e  siècle) les Jésuites d'Ignace de Loyola (XVI e  siècle), Tous les ordres religieux suivent des règles de vie qui répondent aux

contre le pauvre qui représente l’église,. On peut dire, que le pauvre renvoie à la religion chrétienne. Cela est caractérisé par le fait que le pauvre s’appelle francisque ce qui renvoie à l'ordre des franciscains . L'ordre a été crée par saint Francois d'assise, il étais très riche mais a décidé de faire vœux de pauvreté , un élément très important pour la religion chrétienne . L'homme d’église a aussi décidé de faire vœux de pauvreté, on peut voir cela lorsqu'il il demande a Don Juan de l'argent en

qui juge les hérétiques et les condamne à la prison ou au bûcher. Le catharisme disparaît à la fin du XIIIe siècle. - Dans l’Eglise, des religieux prêchent également le retour à la pureté et à la pauvreté initiales de l’Evangile. Un Italien, François d’Assise, fonde en 1210 l’ordre des Franciscains, et un Espagnol, Dominique, fonde en 1215 l’ordre des Dominicains. Tous deux s’installent en ville, refusent les dons de terres, vivent d’aumônes et prêchent l’évangile. Les premiers sont appelés Frères

serment. Fief: Tenure qu'un seigneur concède à son vassal en vue de lui assurer les moyens d'existence et de lui permettre de fournir au seigneur le service requis. (partie matérielle de la cérémonie d'hommage) Franciscains: Relatif à Saint François d'Assise et à son ordre. Mendiants aussi appelés Cordeliers (habits marron avec une simple corde) agissent dans les faubourgs dans les villes Haubert: Longue cotte de maille; apparaît fin de l'époque carolingienne et perd de son importance à mesure

obstinée s’explique autant par la crainte du châtiment que par sa foi. Enfin, on apprend dans la liste des personnages que le pauvre s’appelle « Francisque ». On peut donc supposer qu’il s’agit d’un membre de l’ordre religieux fondé par Saint François d’Assise, ordre qui avait fait vœux de pauvreté mendiante et qui ne vivait que de l’aumône. Une telle interprétation renforce alors la dimension polémique et sacrilège de cette scène, car c’est alors à un moine, un homme de dieu que D.J demande de

méditer et de tirer parti d’un tel texte. Mais c’est un appel vigoureux à apprivoiser la mort, à la regarder d’un œil plus doux. C’est une démarche philosophique que propose Montaigne qui peut faire penser à la démarche spirituelle d’un Saint François d’Assise qui vivait en harmonie avec la nature : les oiseaux, le loup de Gubbio, le feu, … et attendait La mort naturelle, dans la paix. Vers la fin de sa vie, il écrira le Cantique du Soleil, chant de louange et d’admiration à l’égard de son Créateur