François de Guise

magnificence et les plaisirs. Le roi l'avait épousée lorsqu'il était encore duc d'Orléans, et qu'il avait pour aîné le dauphin, qui mourut à Tournon, prince que sa naissance et ses grandes qualités destinaient à remplir dignement la place du roi François premier, son père. L'humeur ambitieuse de la reine lui faisait trouver une grande douceur à régner; il semblait qu'elle souffrît sans peine l'attachement du roi pour la duchesse de Valentinois, et elle n'en témoignait aucune jalousie; mais elle

censure). In ventée en 1435, elle n’arriva à Marseille qu’en 1495, et permis une propagation plus facile d’idées, pour ou contre la politique de l’époque, à travers les journaux. D’où l’importance de la contrôler de la part de l’Etat : En 1537, François 1er ordonne que chaque imprimeur dépose un exemplaire de son journal à la bibliothèque royale. D’un point du vue artistique, de nouvelles technique apparaissent afin de rendre les représentations les plus proches possibles de la réalité (perspective

l’épuration judiciaire. Ce sont à l’évidence eux qui ont présentés ces projets de lois. - Dès son retour au gouvernement, le Générale de Gaulle fait ressurgir l’héroïsme de la résistance, héroïsme trop souvent oublié à l’époque. De Gaulle, en guise de symbole, décide de transférer les cendres de Jean Moulin au Panthéon en 1964. Cette même année, il décide de faire voter une loi sur l’irrévocabilité du jugement pour cime contre l’humanité, ainsi ce crime devient imprescriptible. c) La fin

va peu à peu être délaissé au profit de cette nouvelle résidence. Elle deviendra par le jeu des successions la propriété personnelle de François 1er. Toutefois l'heure du glas va bientôt sonner pour le Marais royal, en effet la Monarchie a goûté à la douceur de la vallée de la Loire et se détournera de la capitale. III Le XVIe ou l'ère des lotissements François 1er ayant hérité des biens de la couronne, se heurte à deux problèmes: d'une part, il nécessite de l'argent frais comme tous les rois de

qui s’attache à des promesses puériles de l’enfance ,et qui n’hésite pas à répondre à l’appel de l’ami en détresse. Le Grand Meaulnes retrace l'histoire d'Augustin Meaulnes, racontée par son ancien camarade de classe, François Seurel, devenu son ami. François Seurel et Augustin Meaulnes sont tous deux écoliers dans un petit village de Sologne près de Vierzon. Lors d'une escapade, Augustin Meaulnes découvre un château mystérieux où se déroule une fête étrange et poétique, pleine d'enfants

réapproprier l'espace urbain. Cet artiste réalise du mobilier éphémère avec du céllophane industriel. Son travail encadre un portrait, au second plan, signé du photographe et vidéaste Jean-François Julian. Seth a même investi les murs qui surplombent le parc de Belleville. Ces derniers ont été décoré à sa guise pendant près de trois ans en accord avec la mairie du XXème arrondissement. Se qualifiant lui-même de "Globe Painter", il a exercé son talent sur les murs de chaque continent, de Pékin

Tu enrichis le sol et, même si ta générosité est parfois envahissante, les jardiniers avertis savent user et abuser de tes talents naturels pour récolter de merveilleuses tomates. Toi, si délicieuse en soupes, en soufflés et en tartes ou encore en guise d’épinards. Tes détracteurs osent t’appeler mauvaise herbe ! Ils persistent à te traiter comme un virus, bien que tu sois une guérisseuse. Le Moyen-Age connaissait tes vertus, les Temps Modernes te renient et te tuent. Parce que tu es injustement honnie

sortie de la prison de Sainte-Pélagie, Ricard ouvre un nouveau salon, politique et littéraire, dans les appartements de sa mère, que fréquentent, outre Verlaine et son ami (et futur biographe) Edmond Lepelletier, Catulle Mendès, José-Maria de Heredia, François Coppée, Villiers de l'Isle-Adam, ou encore Anatole France-Thibault[2]. Les frères Goncourt donneront dans leur Journal une description peu amène de ce cénacle : « C'est dans une maison des Batignolles, chez un M. de Ricard, que s'est abattue toute

Première partie   1) "La princesse de Clèves" de Mme De Lafayette est publié en 1678, le roman se déroule au XVIe siècle sous le règne d'Henri II, fils de François Ier. Sa publication fut anonyme car le genre du roman était assez mal vu à cette époque, puis il fut attribué à Madame de La Fayette. Cette oeuvre se divise en 4 parties. ( le nom de l'auteur est apparu en 1780 sur la couverture) L'auteur : Marie-Madeleine Pioche de La Vergne nait en 1634 à Paris. De très petite noblesse, sa

devient dame d'honneur de la reine Anne d'Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire auprès du grammairien Ménage qui lui enseigne l’italien et le latin. En 1655, Madeleine épouse, à l’âge de 21 ans, un Auvergnat de dix-huit ans son aîné, François Motier, comte de La Fayette dont elle aura deux fils. Elle était une femme de telle importance que La Bruyère a résumé ainsi cette étrange situation : « Nous trouvons à présent une femme qui a tellement éclipsé son mari, que nous ne savons pas s’il