François Ier de Médicis

troubles coïncident avec un affaiblissement de l’autorité royale. Les rois François Ier et Henri II n'ont permis aucune contestation de leur pouvoir. Lorsqu’Henri II meurt accidentellement le 10 juillet 1559, ses successeurs François II puis Charles IX sont trop jeunes pour pouvoir imposer leur autorité. Ils ne peuvent pas empêcher les Français de s'entredéchirer. Entre les deux camps belligérants, la reine-mère Catherine de Médicis hésite entre tolérance religieuse et répression, ce qui ne fait qu'accentuer

travers l’adoration qu’il fait jouer cette double articulation entre individu & corps collectif à travers la prière : expression du désir, l’essence de la prière c’est un désir de justice. I. Invention de la peinture italienne 1. Masaccio et Côme de Médicis : la représentation de la cité. Masaccio, Paiement du tribut 1421, chapelle Brancacci > Une volonté de réalisme, on renoue avec un style antique romain. Epuré, face à un groupe d’hommes portant des toges on chasse le merveilleux. Il construit une

droits et fait entrer tous les apanages dans son domaine royal. En Italie, les Etats du pape sont en proie à l’anarchie. Le pays est très morcelé. Dès le XVe, des communes importantes passent aux mains d’individus ou de grandes familles : les Médicis à Florence, les Visconti et les Sforza à Milan, les Este à Ferrare, les Gonzague à Mantoue, les Montefeltre à Urbino, les Malatesta à Rimini. Dans la seconde moitié du XVe, les principautés françaises déclinent alors qu’en Italie, elles triomphent

phénomènes naturels. Dans un style différent, Michel-Ange est la figure même de l'artiste doté d'un génie solitaire. L'universalité de ses talents transparaît dans le tombeau de Jules II (vers 1510-1515), à Saint-Pierre-aux-Liens, à Rome; la chapelle des Médicis (1519-1534), à Florence; la voûte (1508-1512) et la fresque du Jugement dernier (1536-1541) de la chapelle Sixtine; la coupole de la basilique Saint-Pierre (commencée en 1546). Toutes ces créations représentent des chefs-d'œuvre inimitables dans les

(Béarn)[1] | | Décès | 14 mai 1610 (à 56 ans) | | | Paris (France) | | Père | Antoine de Bourbon | | Mère | Jeanne III de Navarre | | Conjoint(s) | Marguerite de ValoisMarie de Médicis | | Descendance | Louis XIII Princesse ÉlisabethPrincesse ChristinePrince N***[2],duc d'OrléansPrince Gaston,duc d'Anjou puis d'OrléansPrincesse Henriette | | Résidence(s) | Palais du Louvre | | Rois de France

- Madame, sœur du roi, avec le duc de Savoie, selon son désir. Le mode de fonctionnement du pouvoir ►Au centre du pouvoir se trouve un roi, gouverné par une femme : François Ier et Mme d’Étampes, Henri II et Diane de Poitiers, François II et Catherine de Médicis. ►Deux clans rivaux se disputent les faveurs de cette femme toute-puissante pour accéder au pouvoir : • Les Montmorency : le connétable, son fils d'Anville, et leur alliés (le prince de Condé

duchesse de Bretagne et reine de France par son premier mariage avec François est l'enjeu central dans les luttes d’influence qui aboutiront après sa mort à l’union de la Bretagne à la France MART: Le château de Blois devient la demeure favorite des rois de France pendant plus d'un siècle. Apres sa mort, sa fille Claude de France épouse son cousin François d'Angoulême en 1514 qui monte sur le trône l'année suivante sous le nom de François I. FEL: Moi, Claude de France , je ne me plait plus au château

dynamisme démographique Dès la moitié du XVè siècle le Royaume de France se dépeuple. Au XVIè siècle, Facilité par la paix, l'abondance de terres fertiles et le besoin de main d'œuvre par ailleurs bien rémunéré, la démographie du royaume. Sous François Ier la population française est de 15 à 16 millions d'habitants, elle grandit jusqu'à 18 millions d'âmes au XVIè siècle. Le poids démographique de la France est plus important qu'avant la désastreuse « Guerre de 100 Ans ». Les villes françaises gagent

l'envers. Il fut ensuite placé comme apprenti dans l'atelier de Andrea del Verrocchio. Verrocchio était un artiste renommé et très éclectique : orfèvre de formation, il était aussi peintre et sculpteur. Il a travaillé pour le compte de Laurent de Médicis. Il confie à son apprenti le soin de terminer ses tableaux. Ses qualités artistiques durent cependant apparaître dès son enfance, puisqu'en 1469, à l'âge de 17 ans, il se trouve déjà depuis trois ans dans l'atelier du peintre et sculpteur florentin

LES GRANDES DAMES DE LA RENAISSANCE Diane de Poithier & Catherine de Médicis I. BIOGRAPHIES RESPECTIVES ET RÔLES DANS LA RENAISSANCE DIANE DE POITHIER Née le 3 septembre 1499 on ne sait où, Diane est la fille aînée du comte Jean de Saint-Vallier, seigneur de Poitiers.Elle est mariée à 16 ans au grand sénéchal de Normandie Louis de Brézé, de 40 ans plus âgé qu'elle. C'est sous le nom de Diane de Brézé qu'elle est dès lors connue de ses contemporains, le nom de Diane de Poitiers lui ayant